J'ai adoré pourvoir lire un roman mettant en scène ma belle ville de Fougères. J'ai pu visualiser chaque évenement dans les rues et les différents endroits de la ville, j'ai vraiment que l'on mette Fougères à l'honneur. Il s'agit d'une histoire de recherches généalogiques très intéressante et émouvante avec des retournement de situations vraiment palpitant ! J'ai trouvé la fin très touchante. Petit bémol, pour le style d'écriture un peu trop simpliste à mon goût, mais qui rend ce roman très accessible ce qui est très agréable et sympa pour un livre historique. J'aime l'idée qu'il soit acessible au plus grand nombre ( de fougerais notament ). Je recommande chaudement ce roman pour tous les fougerais (et les autre aussi évidemment), qui vous parlera surement, qui est très simple à lire, très agréable et émouvant!
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J'ai pris plaisir à connaître et suivre l'histoire des personnages de ce roman. Une bonne intrigue dans une ville que je connais assez bien mais que j'ai redecouverte au travers de ces lignes. Comme tout bon roman, finir ce livre entraîne une petite nostalgie... Une belle evasion
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Histoire passionnante qui nous tient captivés dès les premières pages.
Les deux protagonistes : Blanche en 1944 et Gwen en 2010 sont deux femmes sourdes et attachantes.
L'auteur nous dévoile au fil des pages leur intimité empreinte de joies et drames.
Une histoire tissée dans la région de Fougères qu'on a de ce fait envie de redécouvrir.
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Magnifique et très émouvant !
Un voyage à travers deux époques : 1943, Fougères, sous l'occupation et 2010, au coeur d'un secret de famille. Nous découvrons alors la vie sous l'occupation allemande…
Un vrai bonheur : Une fois qu'on commence le roman, on ne peut qu'avoir envie de le terminer !
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Chaque matin, je fais le même trajet. Je dois prendre mon service à la clinique pour huit heures précises. Tous les jours, je fais un détour afin d’accompagner Madeline à son travail et rapporter les pièces réalisées par Maman qui effectue des travaux de piqûre sur chaussures de cuir pour l’atelier Bodel. J’aime sentir l'odeur de cette matière. Dès que c'est possible, j’essaie de l’aider dans son travail. Petite, déjà, j’adorais l’observer, assise dans l’escalier de bois qui descend au sous-sol de la maison. Peu à peu, je me suis approchée et j’ai tenté de l’imiter. Un jour, elle s’est décidée à me confier quelques-uns de ses travaux. J’aurais tant aimé travailler avec ma sœur. Malheureusement, son patron a refusé de me prendre à l’usine. Depuis le début de cette maudite guerre, le travail manque. Ils ont accepté de garder Madeline et de confier quelques travaux réguliers à Maman. Je ne peux rien dire. C’est toujours ainsi : Madeline oui, mais moi, la sourde, non.
Myriam Chenard présente son roman «Le disparu de la plage» (Stéphane Batigne Éditeur)