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Harley Quinn tome 1 sur 6
EAN : 9782365779814
Urban Comics Editions (30/03/2016)
3.86/5   184 notes
Résumé :
L'ancienne psychiatre Harleen Quinzel n'est pas le genre de femme à se satisfaire d'une vie convenable et tranquille. Elle fuit la routine comme la peste et cherche par tous les moyens à faire de sa vie une aventure. Sa toute fraîche installation à Coney Island est donc l'occasion rêvée d'en commencer un nouveau chapitre ! Avec son entrée fracassante dans l'équipe locale de roller derby, l'approche de la Saint-Valentin et la découverte d'un contrat mis sur sa tête, ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (44) Voir plus Ajouter une critique
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J'étais très impatient de pouvoir me procurer ce premier tome d'Harley Quinn, car il y a quelques mois j'avais pu lire le deux premiers chapitres.

Merci donc à Babelio et à leur nouvelle opération Masse Critique pour m'avoir offert ce premier volume !

DC Comics a tardé pour lancer ce personnage dans son univers New 52, c'est pour cela que le premier tome ne sort que maintenant et que le second n'est pas près d'arriver. (Ie premier chapitre date de début 2014 alors que les New 52 datent de 2011)

Si vous ne connaissez pas Harley Quinn, ce premier tome est un point de départ parfait. On découvre ses origines, son parcours (Amie du Joker, membre du Suicide Squad etc...)

La jeune femme complètement loufoque vient 'installer a Connie Island sans se la jouer super-héroine pour autant. Car à la base elle fait quand même partie des Vilains, même si elle est plutôt du style à servir ses propres intérêts.

Elle ne se prends pas au sérieux et on découvre tout au long des dix chapitres répartis sur 232 pages, que sous ses airs de femme délurée elle à quand même des sentiments et qu'elle ne tolère pas l'injustice. Ce personnage mériterait à être plus connue car elle sort des sentiers battus et ne tombe pas des les clichés de pauvre fille éploré.

Un bémol sur le choix e la couverture. Quand on voit les autres couvertures glissé à la fin du tome, couvertures qui correspondent au chapitres publiés au US, on regrette que Urban Comics ait choisi celle ou elle se trouve avec le Joker. C'est une belle couverture, certes, mais ce n'est pas celle qui représente la mieux notre chère Harley Quinn. Mais sans doute que le Joker attirait plus l'oeil que si elle s'était retrouvée seule.

Vivement le tome 2 !
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C'est franchement cool les 48 heures BD ça te permet de t'acheter des BD, comic's ou manga que tu n'aurais pas nécessairement acheté autrement .. et j'avoue que c'est le cas pour harley Quinn.

J'aime bien les comic's mais je ne suis pas trop fan des Superman, spiderman et bataman.. alors quand j'ai vu la psy du Joker en couverture je me suis dit "bhen pourquoi pas !"

J'ai trouvé ce comic's pas trop bien équilibré : le chapitre 0 n'a pour moi aucune utilité au niveau de l'histoire (graphiquement je dis pourquoi pas !). mais quand on rentre dans l'histoire on a déjà du lire plusieurs chapitre avant de se dire "Ah bhen oui quand même !".
Pour le personnage principal il faut dire qu'elle est sympa avec son caractère bien trempé et sa déjante... et elle peut être gentille mais comme on dit gentil n'a qu'un oeil.
J'ai aussi apprécié les graphismes , très colorés et le côté de temps a autre hyper sexy de Harley ne gache rien.

Pour être honnete, je ne suivrais les aventures de Harley Quinn que si je les trouve a un prix abordable.. c'est pas mal mais ça ne casse quand même pas 3 pattes à un canard.
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Ce tome comprend les épisodes 0 à 8 d'une série ayant débuté en 2013, ainsi que la partie consacrée à Harley Quinn dans "Secret origins" 4. Tous les scénarios sont écrits par Jimmy Palmiotti et Amanda Conner. Les couvertures ont été dessinées et encrées par Amanda Conner. L'épisode zéro a été dessiné par une vingtaine de dessinateurs différents, à raison d'une page par dessinateur. Chad Hardin a dessiné et encré les épisodes 1, 2 (en partie), 3, 5 à 8. Stéphane Roux a dessiné et encré une partie de l'épisode 2 et l'épisode 4 en entier.

Dans l'épisode zéro, Harley Quinn (en costume) passe d'une situation loufoque à une autre, d'une page à l'autre, chacune étant dessinée par un dessinateur différent, avec un prologue et un épilogue dessiné par Chad Hardin. Elle finit par apprendre qu'elle a hérité d'un building à Coney Island, dans le Bronx à New York. Elle se rend sur place et prend possession des lieux, avec un étage réservé pour elle, des commerces au rez-de-chaussée, un étage vide (le troisième), et 8 locataires au premier étage. Elle a également accès à la terrasse.

Au cours des 8 épisodes, le docteur Dr. Harleen Frances Quinzel va devoir faire face à des tentatives récurrentes d'assassinat sur sa personne (car un contrat a été passé sur sa tête). Elle va s'engager une équipe féminine de course à roller (un peu violente), elle va postuler pour un emploi de psychologue dans une maison de retraite (car il faut qu'elle paye les frais d'entretien et les charges de son building). Avec l'aide de Poison Ivy (Pamela Isley), elle va libérer des animaux de compagnie promis à l'euthanasie. Elle va aider une vieille dame dont les enfants et petits-enfants ne lui rendent jamais visite à la maison de retraite. Enfin, elle va aider Sy Borgman (un autre pensionnaire en fauteuil roulant, ex espion) à assassiner 4 espions russes, pour clore une affaire remontant à la guerre froide.

Harley Quinn fait partie des personnages gravitant autour de Batman, à Gotham, mais d'assez loin. Sa première apparition à eu lieu dans la série de dessins animés télévisés (supervisée par Bruce Timm) dans un épisode de 1992. En 1999, elle a été transposée en comics dans No man's land (un long crossover des séries Batman). Puis, elle a bénéficié d'une très belle histoire réalisée par Paul Dini et Bruce Timm lui-même (Mad Love), puis de sa propre série en 2000 (à commencer par Preludes and knock-knock jokes).

L'entrée en matière déstabilise le lecteur. Pour créer l'événement autour du lancement de cette nouvelle série, les scénaristes et les responsables éditoriaux ont choisi de faire appel à un maximum de dessinateurs de renom. C'est ainsi que l'épisode zéro est dessiné à tour de rôle (à raison d'une page par artiste) par Amanda Conner, Becky Cloonan, Tony S. Daniel (encré par Sandu Flora), Stéphane Roux, Dan Panosian, Walter Simonson, Jim Lee (encré par Scott Williams), Bruce Timm, Charlie Adlard, Adam Hughes, Art Balthazar, Trad Moore, Dave Johnson, Jeremy Roberts, Sam Kieth et Darwyn Cooke.

Le résultat de cet épisode zéro est très drôle, très décousu, car les pages ne sont raccord l'une avec l'autre que par le biais des phylactères. Par exemple, Quinn ne porte pas le même costume d'une page sur l'autre, ne se trouve pas au même endroit, et la situation de la dernière case d'une page, est oubliée dans la première case de la suivante. Il s'agit donc d'une suite de saynètes mêlant action et humour grâce aux dialogues. En effet, Conner et Palmiotti embrassent pleinement l'absurde de cette construction artificielle, en n'hésitant pas à briser le quatrième mur. Par exemple pour la page dessinée par Stéphane Roux, les cellules de texte indiquent qu'au vu de la qualité de dessins, il reviendra pour dessiner une partie de l'épisode 2 (ce qui fut dit, fut fait). Lorsque Chad Hardin dessine quelques pages, les commentaires commencent par faire observer qu'il serait parfait pour dessiner la série régulière, puis soulignent le fait qu'il ne réussira pas à tenir le rythme mensuel (ce qui ne l'a pas empêché d'avoir le poste).

Cet épisode zéro est ébouriffant à condition d'accepter de ne pas le prendre au premier degré, et de voir cet exercice de style comme une forme de persiflage enlevé et drôle, sans une once de méchanceté. Certaines pages sont absolument magnifiques en capturant parfaitement un aspect iconique des superhéros ou des récits d'aventure. Cela va de l'évocation des robots géants japonais (Tony S. Daniel), à un hommage au film "Thelma & Louise" (Tradd Moore), en passant par une imitation du superhéros Manhunter (Walt Simonson), ou des pages très représentatives des forces d'Adam Hughes (où Conner et Palmiotti se moquent de son incapacité à réaliser un comics mensuel), ou de Bruce Timm (et ses images très dessin animé).

C'est sûr qu'après un épisode pareil, la suite risque de paraître un peu fade et sage. En fait Conner et Palmiotti profitent pleinement du positionnement du personnage du côté des criminels à tendance psychotique. le lecteur ne sait donc pas trop à quoi s'attendre d'un épisode à l'autre quant à la nature des actions d'Harley Quinn. Elle peut aussi bien aider une petite vieille délaissée, qu'estropier les membres de l'équipe adversaire de roller.

Les scénaristes servent donc des scénarios frappés du sceau de l'humour noir. Harley Quinn est fofolle et armée (avec son énorme marteau). Elle n'hésite pas à tuer et à assassiner quand elle en a envie ; elle se montre une copine attachante et frapadingue avec Pamela Isley. Elle a un coeur gros comme ça avec les animaux maltraités. Elle accepte les ordres de Sy Borgman (dont les propos sont émaillés de termes yiddish), sans broncher. de scène en scène, Conner et Palmiotti font apparaître en creux sa personnalité troublée, à la fois meurtrière, enjouée et sympathique, décidée et constructive, sans être à l'abri des erreurs et de grosses bourdes.

L'humour noir est présent tout au long des épisodes, sans devenir la principale source d'intérêt, et sans prendre le pas sur les intrigues (qui ne sont pas toutes renversantes). Harley Quinn échappe au juste châtiment qui devrait être le sien pour ses actes criminels, mais elle est vraiment dérangée (son meilleur confident est une peluche de castor, un peu calciné sur les bords, qu'elle entend parler dans sa tête).
Sans être très sophistiquée ou raffinée, la densité humoristique est assez élevée et enjouée pour générer un sourire sur le visage du lecteur, tout au long du tome. Certes, à quelques reprises, Conner et Palmiotti ne refusent pas de faire dans le crade. le moins politiquement correct est atteint quand les occupants du building utilisent une catapulte pour se débarrasser de sacs poubelles remplis des excréments des animaux domestiques occupant le troisième étage. Un de ces sacs s'écrase et éclate contre la vitre d'un immeuble, au niveau d'une salle de réunion où Dan Didio et Jim Lee (et quelques responsables éditoriaux) sont en train d'évoquer une nouvelle remise à zéro satirique et délirante de l'univers partagé DC.

Chad Hardin et Stéphane Roux se montrent à la hauteur de la démesure du personnage principal et de ses aventures rocambolesques, allant de la violence extrême au loufoque. Il dessine dans un registre plutôt réaliste avec un petit degré de simplification. Ils s'émancipent de dessiner des arrières plans régulièrement (comme c'est la norme dans les comics), mais avec une fréquence raisonnable, et avec un savoir-faire qui permet que ça ne se voit pas trop. Les cadrages ne donnent jamais l'impression de regarder des acteurs gesticuler sur une scène vide.
Hardin et Roux prennent le temps de personnaliser chaque décor, de manière à ce qu'ils ne soient pas génériques. Les dessins reflètent de manière chronique les spécificités urbaines de Brooklyn, mais sans que le lecteur puisse avoir l'impression de faire du tourisme. Les scènes d'action respirent un dynamisme satisfaisant pour un comics de superhéros, avec le niveau d'exagération voulu pour les actions délirantes ou loufoques.

Chad Hardin se révèle très compétent pour croquer des expressions de visages normales ou exagérées à souhait pour les emportements émotionnels d'Harley Quinn, ou les réactions affolées de son entourage. Stéphane Roux réussit des expressions plus justes empreintes d'un second degré savoureux.

-
- Secret origin (12 pages, dessins et encrage de Stéphane Roux) – Comme son titre l'indique, il s'agit d'une version des origines d'Harley Quinn. Comme elle le dit elle-même, il s'agit d'une version légèrement différente, sous-entendant qu'elle brode de manière différente à chaque fois qu'elle la raconte. Conner et Palmiotti proposent une version cohérente en termes de tonalité narrative avec les épisodes de la série mensuelle.
Stéphane Roux réalisent de belles planches, très léchées, avec des personnages aux visages très expressifs.

Un personnage comme Harley Quinn représente un vrai défi pour les créateurs qui doivent à la fois rendre compte de son comportement relevant de graves troubles psychiatriques, de ses actes criminels et meurtriers, tout en la rendant sympathique, sans oublier son côté humoristique. Contre toute probabilité, Amanda Conner, Jimmy Palmiotti et Chad Hardin (avec Stéphane Roux) réussissent à combiner tous ces aspects dans une incarnation à craquer (grâce à un côté un peu fofolle), avec des scénarios bien construits qui ne sont pas noyés ou déstructurés par l'humour ou la personnalité de Quinn. Les auteurs se payent même le luxe d'un épisode zéro, fait de bric et de broc, totalement absurde et complètement divertissant, avec une forme de commentaire sur la nature industrielle des comics, et sur le rythme infernal de l'industrie du divertissement.
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Tout d'abord, je tiens à remercier Babelio avec sa dernière Masse Critique et les éditions Urban Comics, pour m'avoir permis de découvrir le premier tome des aventures de la loufoque Harley Quinn.

Harley Quinn, ex-petite amie du Joker, et ex-psychiatre vient d'apprendre qu'un de ses anciens patients est décédé, lui léguant ainsi un immeuble à Coney Island. C'est donc l'occasion pour elle de prendre un nouveau départ dans sa vie. Mais c'est sans compter que sa tête est mise à prix, qu'elle doit aussi trouver un travail pour payer les charges de son immeuble... Elle a donc du pain sur la planche et sa vie ne va pas être de tout repos...

Je connaissais vaguement le personnage d'Harley Quinn. Mais cette nouvelle série d'aventures m'a permis d'approfondir la découverte de cette super-héroïne totalement loufoque. Harley Quinn, accompagnée de son marteau géant, est toujours prête à se battre pour avoir la paix. Très attachée à la Justice elle essayera de faire au mieux pour faire régner l'ordre. Même si ses méthodes sont plutôt violentes, malsaines ou peu conventionnelles, Harley Quinn demeure néanmoins un personnage sympathique. Amoureuse des animaux, dévouée à ses amis (comme Poison Ivy), sa fraicheur et sa loufoquerie donnent un aspect comique à l'intrigue. C'est donc une héroïne attachante, amusante.

Pour ce qui est de l'intrigue, je dirais que je l'ai trouvée vachement décousue, même si le fil conducteur était la mise à prix de sa tête. En réalité, il s'agissait plutôt d'une succession de mini-intrigues (La Saint-valentin, l'élimination des ennemis avec Mr Borgman, la vengeance de la petite vieille sur sa famille peu aimante, le sauvetage des animaux voués à l'euthanasie etc....). Certaines d'entre elles n'étaient pas déplaisantes, mais dans l'ensemble je n'ai pas adhéré à 100% à la construction du récit. de plus, concernant le prologue de cette histoire, j'ai trouvé l'idée relativement bonne, mais cela n'en finissait pas. Il s'agissait de faire intervenir plusieurs dessinateurs pour représenter Harley Quinn à travers des scénettes. Mais j'ai trouvé celles-ci assez ridicules, décousues, et elles se succédaient interminablement. Bref ce test difficile dépassé, nous sommes enfin dans le récit.. Je ne critique pas les planches qui sont très belles, mais cela donnait un sentiment de lourdeur, et le récit peinait à venir. A l'inverse, j'ai bien aimé le bonus sur la jeunesse d'Harley Quinn et la naissance de ses problèmes psychologiques.

Comme bilan, je dirais que j'ai apprécié le personnage d'Harley Quinn, qui est frais, distrayant, très joli. A contrario, j'ai trouvé l'intrigue décousue, peu addictive et travaillée. Certaines scènes étaient un peu ridicules ou pleines de lourdeur. Petit reproche pour le prologue, mais félicitations pour le bonus et les belles couvertures présentées à la fin du tome. Si l'occasion se présente, je lirais le tome 2, mais ce n'est pas le meilleur comic que j'ai lu.
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Nostalgique de mon enfance où Batman était l'un de mes héros préférés, j'ai décidé de me lancer dans ce tome sur les nouvelles aventures d'Harley Quinn ( parce qu'il va sans dire que les personnages féminins sont toujours plus intéressants ^^).

On retrouve bien l'univers déjanté de DC Comics, avec des contrastes de couleurs plus modernes, plus vives qui donnent bien le ton à l'atmosphère.
De ce côté, la ballade sur Memory Lane est comblée, de même lorsqu'on voit des apparitions, même furtives de Poison Ivy et du Joker.

Le petit bémol que je mettrai concerne le scénario un peu répétitif et la mise en place vraiment très (trop) longue. En fait, le premier chapitre ne sert vraiment à rien !
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critiques presse (5)
Sceneario
25 juillet 2016
Je vous recommande sans hésiter un instant cette "nouvelle" série qui nous change un peu de l'ambiance plus dramatique des autres titres !
Lire la critique sur le site : Sceneario
Sceneario
06 avril 2016
Cette série ne restera peut-être pas dans les mémoires, mais elle permet au moins de redécouvrir ce personnage bientôt mis en scène dans le film sur la Suicide Squad qui sort cette année !
Lire la critique sur le site : Sceneario
Sceneario
30 juillet 2015
Je vous recommande sans hésiter un instant cette "nouvelle" série DC, Harley Quinn, qui nous change un peu de l'ambiance plus dramatique des autres titres !
Lire la critique sur le site : Sceneario
Sceneario
28 juillet 2015
Je vous recommande sans hésiter un instant cette "nouvelle" série DC, Harley Quinn, qui nous change un peu de l'ambiance plus dramatique des autres titres !
Lire la critique sur le site : Sceneario
ActuaBD
28 juillet 2015
Une entrée en matière jubilatoire !
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Citations et extraits (17) Voir plus Ajouter une citation
Je crois que la St Valentin est la fête la plus vicieuse qui soit. Quand on n'a personne, on se sent mal. Et quand on a quelqu'un, on est obligé de faire tout un cinéma et de se ruiner dans le même temps, sinon, on finit à la niche.
(Harley)
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Ce qu'il y a de plus horrible quand on vieillit, c'est d'avoir son cerveau de vingt-quatre ans qui essaie de communiquer avec son corps cabossé.
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- Mince ! J'ai vu un paquet de choses transpercer un coeur, mais une corne de rhino, ça pour moi, c'est une première ! J'ai l'impression d'avoir la même en plein coeur.
- Ah. Sa mort vous rend triste ?
- Soit ça, soit j'ai oublié de prendre mes cachets pour la tension.
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Humm. Elle sent l’essence qui prend feu. J’ai envie de lui faire craquer mon allumette.
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- Ne me pousse pas à te jeter dans les toilettes et à tirer la chasse, sale bête en peluche !
- Humm ! Insulte-moi en allemand.

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