Syncopes

«L’hôpital était un endroit sinistre et désert qui suscitait plutôt la peur que l’espoir. Le silence l’intimidait car il n’y avait pas d’explication évidente à son réveil soudain. Il se sentait inexplicablement paralysé par une impression de terreur aiguë»

Robin Cook est un auteur que j’affectionne beaucoup. Je découvre ce livre sur Babelio. Je dévore «Syncopes» en quelques jours. Je suis trop contente de me remettre dans l’ambiance d’un Robin Cook.

«Quand tu as fini une autopsie, il est frustrant de ne pas avoir la vraie cause du décès. Et quand tu as une série de cas semblables, c’est démoralisant. C’est trouver la solution qui rend la pathologie passionnante.»

Préface sur l’auteur :
Robin Cook a abonné le scalpel pour écrire des romans. C’est un ancien chirurgien. Par ses thrillers, il veut sensibiliser les gens sur les dangers que le progrès médical amène dans le monde hospitalier. Il aborde beaucoup le sujet de l’industrie.

«Les chirurgiens s’habituent à ce genre de choses, dit Cassi. Ça devient comme un tonique. D’un certain côté, ils aiment ça.»

Le livre «Syncopes» se passe à l’hôpital de Boston. On fait la connaissance de Cassi, notre héroïne. C’est une jeune interne, elle épouse le chirurgien cardiaque, le plus célèbre sur la côte Est. Il se prénomme Thomas. Thomas se consacre tellement à son travail qu’il s’éloigne d’elle et les liens entre eux ne sont plus pareils. Thomas change aussi de comportement alors Cassi éprouve des doutes. De plus, il se passe des choses qui surviennent fréquemment comme la mort de post-opératoire de certains patients. Cassi devient inquiète et avec l’aide de son ami Robert, qui est légiste, ils font une enquête. Qu’est-ce qu’ils vont découvrir ?

«Alarmant», «Terrifiant» et «Captivant», c’est trois mots qui définissent bien le livre «Syncopes». C’est toujours inquiétant d’être vulnérable à l’hôpital surtout si il y en a qui décide de ton sort. Qu’est-ce qui doit vivre et qu’est-ce qui doit mourir ? C’est un des thèmes importants que l’auteur Robin Cook mentionne dans «Syncopes».

«Le service de pathologie constituait un monde à part, complètement séparé du reste de l’hôpital. Elle pénétra dans un monde futurisme, blanc, en carrelage, formica, acier inox et verre. Pas de spécimens, pas de fouillis, et même pas d’odeurs bizarrement repoussantes.»

Quand on ouvre «syncopes», tu crois vraiment que tu es à l’hôpital et tu ressens vraiment l’atmosphère terne et déprimante. Je trouve qu’un des points forts du livre c’est l’histoire des deux personnages principaux : Cassi et Thomas. On les voit cheminer à l’hôpital, dans leurs départements, et ensuite on les suit dans leur vie privée. Cassie dégage une personnalité audacieuse et Thomas possède un tempérament bouillonnant.

«Les autres médecins qui prennent des drogues souffrent d’impuissance et cherchent des liaisons.»

Qu’est-ce que j’aime dans le livre «Syncopes» ? Dès le début, Robin Cook t’enveloppe dans un climat de crainte. Tu te demandes ce qui arrive à des patients, et ensuite tu suis Cassi qui poursuit son enquête. Elle veut trouver la cause des décès et en plus elle suspecte quelqu’un. Il faut que Cassi se fasse opérer et elle reste à l’hôpital. Au cours d’une nuit, il lui arrive un événement inattendu. Quelqu’un s’en prend à elle, elle ne peut pas le voir, avec un bandeau sur les yeux. Elle ressent de la terreur, elle est effrayée. Elle veut à tout prix trouver le coupable car il y a là une urgence. Elle a même peur pour sa vie. C’est une course, contre la montre qu’elle entreprend.

«Pour Cassi, c’était comme un coup mortel. Bien sûr, tout le monde est inquiet en entrant à l’hôpital, mais pas plus sérieusement qu’on n’espère gagner le gros lot en achetant un billet de loterie. Il y a un risque, mais si infinitésimal que ça ne vaut pas la peine d’y penser. »

Dans ce roman, l’auteur nous fait réfléchir sur nos responsabilités en tant que patient et ceux qui travaillent dans le milieu hospitalier. On a tous nos responsabilités dans le processus de guérison. Il démontre aussi de faire attention quand on pense connaître une personne et parfois ce n’est pas l’image de ce qu’elle projette.

«Les psychiatres sont tous des merdeux et je n’en laisserai aucun me juger. »

Conclusion :
C’est un bon moment de lecture à cause des personnages qui entrent en scène, de la tension qui y règne et l’action n’arrête pas. Tu veux toujours savoir ce qui va arriver. Quand Cassi se met à enquêter, tu veux découvrir le coupable. J’ai eu quelques doutes mais je n’étais pas certaine. C’est certain qui peut y avoir des longueurs mais les sujets sont intéressants pour le lecteur. Et la finale, j’adore, Robin Cook nous sort sa belle plume. Je recommande pendant que j'y suis quelques-uns de mes coups de cœur : Toxine, Vengeance Aveugle et Vertiges. Robin Cook sait nous donner une bonne dose d'angoisse, de frayeur et de vertige. C’est un peu à ça que ça sert un thriller non ?


P.S : Je parle ici de Vertiges de Robin Cook et non de Vertige de Franck Thilliez. C'est deux livres différents même si on peut avoir le vertige dans les deux livres.

Cassandra cassidy jeune
interne à l,hôpital de Boston.épouse thomas
Kingsley le plus brillant
chirurgien cardiaque,mais
le conte de fée, va tourner
au cauchemar.quand il va
se comporté de façon étrange , et surtout qu'a
l,hôpital les morts suspectes se multiplient.
un triller palpitant a vous
glacé le sang, a éviter si vous devez aller vous faire
hospitalisé.vous verriez plus l,hôpital de la même façon.👍

Cook Robin
Syncopes
Comme presque tous les livres de cet auteur se passe dans les hôpitaux ou les laboratoires, celui-ci ne fait pas l'exception.
Une jeune interne Cassy épouse un des grands pontes de la chirurgie cardiaque.
Mais depuis un moment, il passe plus de temps à l'hôpital que chez lui et semble toujours sur les nerfs.
On sait que c'est stressant d'avoir entre ses mains la vie d'autres personnes mais lui pour cela a recours parfois mais de plus en plus souvent à des médicaments, des drogues en somme.
Sa femme s'en rend bien compte car par moment il deviendrait assez violent.
Il faut dire aussi qu'au sein de l'hôpital l'ambiance n'est pas au beau fixe, beaucoup de discussions, de divergences de vues, les façons de se répartir le travail, le désire de certains de faire un choix dans les patients, suivant leur âge, leur état etc, mais surtout le choix d'un chef de clinique ce qui donne à chacun une forme de compétition qui ne semble pas aller avec ce métier de chirurgien. D'ailleurs l'auteur ne manque pas par moment de faire une critique sur ces réglementations et les lois aux sein des hôpitaux, donc sur le gouvernement et les ministres de la santé qui régissent toute cette législation.
Quelque chose de troublant depuis un certain temps le pourcentage de décès post-opératoire en cardiologie est assez élevé. Cassy qui a travaillé en anatomo-pathologie, mais vue son diabète a préféré refaire un genre de master en psychiatrie, a conservé des amis dans la place.
Ce dernier, Robert, d'inquiète de cela car il ne trouve pas la raison de ces décès et pour se faire établi des graphiques, des tableaux, avec tous les critères possible et imaginable.
Certains pensent que c'est plutôt dans ce service, plutôt dans un autre, un chirurgien plutôt qu'un autre, l'ambiance est tendue.
Robert doit subir une petite intervention pratiquement en même temps que Cassy, elle pour les yeux, en cause son diabète. le soir, elle rend visite à Robert avant son intervention et ce dernier lui confie son dossier avec toutes ses remarques et analyse.
De retour dans sa chambre, elle qui est paniquée par son opération commence à regarder, mais se dit que demain, elle sera pus dispo pour cela. Malheureusement ses yeux son bandés et son amie vient lui annoncer que Robert est décédé pratiquement dans les mêmes circonstances que les vingt autres patients, mais ici pas en cardiologie.
Elle est paniquée au plus haut point, bien qu'ayant les yeux bandés, elle tâtonne dans son tiroir, mais le dossier a disparu.
La suite à vous de voir….
Mais on sent que l'auteur était lui aussi chirurgien, tout est bien expliqué, le pourquoi d'un tel médicament, plutôt qu'un autre, la logistique qui régit la vie d'un hôpital, les analyses poussées bien expliquées aussi, c'est loin d'être un livre de médecine mais on y apprend pas mal de choses.
Et parsemé parmi toutes ces informations pour un néophyte, sont disséminés de petits indices du pourquoi et du comment.
Comme d'habitude Robin Cook se lit d'une traite, on tourne et on tourne les pages en se posant plein de questions.

Un thriller dans le milieu hospitalier qui a plutôt vieilli, mais qui nous entraîne grâce à une plume alerte et fluide. Pas de surprise, assez caricatural (une jeune femme plutôt jolie qui mène l'enquête et qui se retrouve assez seule) mais détendant et parfait pour une lecture estivale! bref, parfait pour ces vacances!

Cassandra, une jeune interne en psychiatrie (diabétique), mariée à Thomas Kingsley, brillant chirurgien en cardiologie, mène une vie de couple a priori heureuse, quand une série de morts douteuses va survenir dans le service où Thomas travaille.
Cassandra et son ami légiste Robert, vont mener l'enquête jusqu'à ce que...
Une histoire rondement menée par le maitre du polar.
Robin Cook connait bien le milieu médical, et pour cause chirurgien de profession, il décrit à la perfection les pathologies et les symptômes qui en résultent nous faisant presque ressentir les mille maux du malade.
L'auteur nous amène à la réflexion suivante: le chirurgien peut il choisir ses patients en fonction de certains critères raciaux, sociaux...? A t'il le droit de vie et de mort sur eux?
Un roman qui n'a pas le temps de prendre la poussière .