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Bob Morane (BD - Soleil) tome 1 sur 2

Corbeyran (Autre)Christophe Bec (Autre)Paolo Grella (Autre)
EAN : 9782302091078
56 pages
Soleil (01/09/2021)
3.57/5   15 notes
Résumé :
1952. En pleine guérilla entre le Viet-Minh et les forces françaises, Bob Morane et Bill Ballantine sont parachutés en compagnie de soldats d'élite au nord de l'Indochine. Leur mission est d'aider les troupes françaises à combattre les sympathisants d'Ho Chi Minh, ces derniers s'acharnant à vouloir mettre les français à la porte de leur pays pour en reprendre le contrôle.
Que lire après Bob Morane, tome 1 : Les 100 démons de l'ombre jaune (BD)Voir plus
Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
Pour la petite histoire, il faut savoir que les auteurs Luc Brunschwig et Aurélien Ducoudray avait repris la série des Bob Morane dans une renaissance en 2015-2016 qui ressemblait plus à un enterrement du personnage principale Bob Morane. L'auteur des romans originels Henri Verne n'avait pas du tout apprécié cette reprise qui dénaturait son oeuvre. Au bout du diptyque, les auteurs ont été débarqué du projet.

6 ans après, voilà un nouveau duo et pas des moindres qui s'attelle à la reprise sous la bénédiction de l'auteur Henri Verne qui souligne bien dans la préface qu'il confie les rênes l'esprit tranquille sachant que son oeuvre et ses personnages seront enfin respectés. Cela peut être analysé comme un cinglant message aux auteurs précédents. D'ailleurs, dans les remerciements des deux scénaristes Bec et Corbeyran ainsi que ceux du dessinateur Grella, tout ceux qui avaient fait vivre ce personnage mythique sont cités sauf Luc Brunschwig et Aurélien Ducoudray qui avaient pourtant réalisé un très bon travail. C'est le monde impitoyable de l'édition.

Déjà à l'époque, certains lecteurs pensaient qu'on avaient échappé au pire en ne confiant pas le scénario à Christophe Bec qui peinait avec une série dénommé « Lancaster ». Leur pire cauchemar s'est réalisé. Moi, je n'ai rien contre cet auteur prolifique dont je suis plutôt acheteur. Pour autant, je juge aux résultats et je dois bien avoué que c'est mauvais après lecture.

Je vais commencer par le personnage de Bill qui est le compagnon de route de Bob Morane. Ce dernier fait sa chochotte pour ne pas sauter en parachute au-dessus de la jungle d'Indochine. Résultat: tout le régiment se trouve être massacré sans qu'il éprouve d'ailleurs le moindre remord. Pour autant, ce peureux change complètement de comportement quelques cases après en adoptant une position farouche de guerrier aventureux partant à l'assaut d'une base entière. Si on ajoute les nombreuses pitreries et autres imbécillités qu'il débite toutes les deux pages, on va toucher le pompon. J'ai rarement un personnage aussi stupide après 6350 lectures.

Que dire du reste du scénario concocté par les deux meilleurs de leur génération ? Improbable et complètement désincarné. Les explications sont vaseuses, on n'y croit pas une seule seconde.

Je vais donner un exemple: nous avons un général que Bob Morane a sauvé lors d'une attaque aérienne lors de la dernière guerre mondiale et ce général lui en veut beaucoup de l'avoir aidé au point de se montrer très désagréable et peu coopératif. Bref, l'explication ne m'a absolument pas convaincu car ce n'est pas une réaction normale. Si encore il n'y avait que cet exemple, mais cela va se déployer tout le long de cet album au point de rendre cette lecture assez pénible.

On ajoute un méchant très ridicule et des clones et on frise l'indigestion. C'est hautement paresseux dans la mise en scène. Peut-être fallait-il respecter un certain cahier des charges mais cela a rendu l'ensemble totalement imbuvable et risible entre des guerrières amazones sanguinaires et des monstres extra terrestres à la Alien.

Un mot sur le dessin pour dire qu'il est tout à fait convenable et dans l'esprit des Bob Morane avec une mystérieuse jungle cachant bien des secrets. Paolo Grella s'en sort honorablement. Je reste objectif dans mon analyse. Cependant, pour moi le graphisme ne suffit pas.

Bon, je sais que certains retrouveront la joie de revoir le Bob Morane qu'ils voulaient avoir. Moi, je préférais nettement la version de Brunschwig qui était résolument moderne. Là, on retourne dans le vieillot nostalgique d'une certaine époque disparue. C'est hautement naïf.

C'est clair que cela ne m'a pas du tout convaincu et je suis assez déçu par cette reprise. Espérons tout de même que les ventes seront au rendez-vous afin de relancer la franchise Bob Morane.
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On avait fini par croire que, comme son "commandant" de héros, il était éternel.
Henri Verne nous a quitté l'été dernier, après avoir empli plus d'un siècle d'aventures écrites et vécues, réelles ou fantasmées.
Car, comme Jean Ray qu'il nous fit découvrir, Henri Vernes se voulait être un aventurier.
Mais où commence la légende, où finit la réalité.
Comme dans bon nombre de ses romans, un brouillard épais estompe la frontière entre les deux.
Henri Verne nous a laissé dans cet album, "les 100 démons de l'Ombre jaune" un dernier petit mot en guise d'adieu.
C'est que cet album de bande-dessinée est à la fois une fin et un recommencement.
Il est d'abord un retour au source par rapport aux adaptations précédentes qui étaient loin d'être convaincantes pour un fan de la première heure, ou de la deuxième tel que moi.
Mais l'on sent pourtant ici à quelques détails qu'un chapitre vient de se refermer définitivement.
Bill Ballantine, tout pâle, un peu barbouillé avant un premier saut en parachute, voilà qui a de quoi étonner !
Une première aventure qui commencerait sans l'entendre râler après la faculté du "commandant" de venir s'empêtrer dans le danger et les embrouilles, voilà qui a de quoi rendre perplexe !
Ceci étant dit, le scénario est bien dans la veine.
Le dessin, très modernisé, est splendide.
Le découpage et la colorisation, judicieusement assortis, ajoutent à la fluidité et à la rapidité du récit.
Pourtant ce dernier est teinté d'une sorte de violence dont on n'avait pas l'habitude, et qui éloigne la série du roman populaire dont elle issue.
Cet album est donc un peu déconcertant mais assez réussi.
La bande-dessinée est un habit qui colle bien aux aventures de Bob Morane.
De nombreux dessinateurs et quelques scénaristes se sont frottés au mythe avec plus ou moins de réussite.
Quelques uns des nombreux albums, comme pour les romans d'ailleurs, sont incontournables.
"Les bulles de l'Ombre jaune", de ceux-là, est peut-être le plus remarquable.
Car plus encore que dans "les sortilèges de l'Ombre jaune" auquel il donne suite, le style et la manière de William Vance y font sensation, collent au récit comme une deuxième peau.
Pour en revenir à cet album, "les 100 démons de l'Ombre jaune", il est donc assez réussi et agréable à lire.
Il est une bonne surprise après le gâchis entamé avec "renaissance" qui m'avait littéralement sidéré.
Et puis, l'album m'a été offert pour Noël par la même personne qui, il y a près de cinquante ans, m'avait ouvert, avec un petit roman à la couverture chatoyante -"le tigre des lagunes"-, les portes de l'imaginaire d'Henri Verne.
Merci tonton !
Voilà qui ne nous rajeunit pas ...

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Au dos de la défunte collection 16/22 chez Dargaud, ce texte était noté sur les BD de Bob Morane : « peu de personnages de la bande dessinée, en définitive, sont issus du roman (…) C'est que leurs créateurs, gens de lettres, devaient trouver dans chaque cas le ou les dessinateurs pouvant assimiler, traduire et développer en image ce qu'un père spirituel avait au départ décrit… »
Initialement donc, Bob Morane est paru en roman dès 1953, et en bande dessinée dans Femme Actuelle à partir de 1959 sous les traits de Dino Attanasio. Après lui, Gerald Forton puis William Vance emmèneront le personnage au summum, et aujourd'hui, c'est à Christophe Bec, Corbeyran et Paolo Grella que revient la lourde tâche de reprendre le flambeau. Alors, qu'en est-il de cette nouvelle BD ?
J'avais personnellement décroché de la série depuis plusieurs années. le dernier dessinateur en date, Coria, a certes été un des plus productifs pour Bob Morane, mais, si je lui laisse le mérite de décors toujours superbes, j'ai toujours eu beaucoup de mal avec ses personnages très figés et pour la plupart affligés d'un strabisme certain. Bob Morane en BD s'étiolait lentement en parutions molles. J'avais attendu la première reprise, intitulée Renaissance, avec espoir, mais je n'ai jamais adhéré au parti pris de l'équipe. Histoire trop moderne, aspect du personnage principal à mille lieues de ce qu'avait créé Henri Vernes ? le sujet n'est pas là.
Un mot d'abord sur le contenant: en ayant obtenu l'autorisation des héritiers de William Vance de reproduire la police du nom, mais aussi les illustrations intérieures de couverture, la nouvelle équipe est bien dans une filiation tout autant assumée que rassurante. Avec les 100 démons de l'Ombre Jaune, ce n'est pas à proprement parler une histoire tirée d'un roman d'Henri Vernes à laquelle nous assistons, mais bien plus une adaptation. Bec, Corbeyran et Grella situent l'histoire en Indochine en 1954. Envoyés sur place en plein conflit pour enquêter sur le massacre de soldats français par d'étranges créatures, Bob Morane et son ami Bill Ballantine se retrouveront face à leur vieil ennemi l'Ombre jaune, alias Ming. Certains ont pu s'offusquer que la première rencontre de Bob Morane avec Ming, la couronne de Golconde, a été publiée en 1959, et de ce fait Morane n'aurait pu rencontrer son ennemi en 1954 en Indochine. Amusant, parce que ce n'est certes pas parce qu'un roman est paru une certaine année que l'action s'y déroule automatiquement, sinon, comment feraient tous les auteurs de romans historiques ou de polars à l'ancienne ? Je rappellerai aussi qu'Henri Vernes a souvent pris des libertés avec le temps pour certains personnages, n'hésitant pas à en rajeunir certains au fil des parutions. L'anachronisme, s'il devait être situé, serait sans doute plus sur le matériel utilisé par Ming dans le temple, ou l'explication des clones par le professeur. Pour les puristes, je rappellerai que le premier clonage de grenouille par Briggs et King date de 1952, et il faudra attendre le début des années 60 pour un clonage viable…
L'histoire, dense, peut-être un peu trop pour tenir sur un seul album (mais un diptyque aurait été plus risqué) alterne l'Aventure pure avec la SF. le dessin de Paolo Grella est superbe et à plusieurs reprises je me suis surpris à contempler une page simplement pour mieux l'apprécier. Si Bob Morane demeure assez fidèle aux traits de ses prédécesseurs, volontaire, presque trop sérieux, en revanche, Ballantine parait plus effacé, plus terne, en retrait de celui qui épaule naturellement Morane. Ses traits semblent plus liés à ceux de Follet qu'à ceux de Forton et Vance. Mention spéciale à l'Ombre Jaune, personnage inquiétant à souhait et cette fois bien plus proche des caractéristiques données par Henri Vernes. Comme William Vance n'a jamais hésité à le faire au cours de sa longue carrière, et c'est particulièrement vrai dans la série XIII, Paolo Grella s'inspire de l'acteur Yul Brynner, qui, avouons-le, aurait fait un très beau monsieur Ming. le résultat est impeccable. La bande dessinée est également plus violente que ce à quoi Vernes avait pu nous habituer dans ses romans, mais n'oublions pas qu'à la base les aventures de Bob Morane étaient destinées aux plus jeunes, même si de nos jours en raison d'une politique d'édition autant anarchique qu'anémique seuls quelques assidus nostalgiques ayant dépassé l'âge de l'enfance depuis belle lurette s'accroche encore au personnage. Ici, nous avons une oeuvre plus adulte, plus mature, dont le final lorgne cette fois du côté d'Alien avec sa créature. Cette bascule de genre peut indéniablement surprendre, comme le fait de voir disparaître Ming un peu vite à la fin. C'est peut-être le seul élément qui m'a un peu gêné. Assumer un héritage n'est jamais chose facile, mais le trio s'en tire plus qu'honorablement, et nous livre avec les 100 démons de l'Ombre Jaune un premier opus finalement assez bien maîtrisé. Il donne surtout envie de retrouver Bob Morane tel qu'il a pu être mis en avant à l'époque bénie des Marabout Junior et Pocket. Dans sa préface, Henri Vernes expliquait tout le bien qu'il pensait. Je crois aussi et surtout que Christophe Bec, Eric Corbeyran et Paolo Grella n'ont pas à rougir et que leur album aurait certainement été apprécié par le Maître Vance lui-même. Il ne nous reste qu'à patienter pour la sortie du second tome qu'on espère tout aussi passionnant.
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Et soudain surgit face au vent
Bob Morane le vrai héros de tous les temps ! Ce célèbre couplet d'Indochine illustre à merveille le retour du commandant Morane. Il est mis en scène et illustré par le trio suivant : Bec, Corbeyran et Grella. Équipe adoubé par Vernes en personne ce qui n'est pas rien quand on connaît les mésaventures des précédents auteurs qui avaient essayé de moderniser l'histoire. Ici pas question de reboot! On se retrouve dans les années 50 ou 60 pendant la guerre du Vietnam. Dans le passé on savait que le commandant avait occupé ce poste parce que Bill Ballantine l'appelait comme cela... Dans ce récit, il travaille au sein de l'armée un peu comme un électron libre. Son passé est même évoqué. C'est pour moi une facette intéressante à développer car cela n'a jamais été fait auparavant. Malgré cela c'est un peu perturbant car divers éléments distillés par les scénaristes viennent des albums précédents. Par déduction on pourrait croire qu'il a repris carrière dans l'armée... Là n'est pas le principal sauf si l'on est pointilleux car du côté scénario on retrouve tous les ingrédients des récits précédents. Aventures, mystères et ombre jaune au vu du titre. Au dessin on est proche du dessin de Vance en plus moderne. Paolo Grella donne de la vie aux actions des personnages, ce qui parfois était un peu trop statique dans le passé. Il modernise le tout mais en respectant l'oeuvre. En conclusion, c'est un premier tome réussi pour cet album sorti aux éditions Soleils


Lu et commenté sur izneo


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Et voila à nouveau Bob Morane et Bill Ballantine dans de folles aventures en Asie, se battant contre l'Ombre Jaune. Trame très classique, respectant les personnages crées par Henri Vernes, récemment disparu. Ici Ming a crée une horde d'amazones clonées à la force surnaturelle et évidemment nos deux héros vont lutter contre la soif de pouvoir de l'Ombre Jaune.
Le dessin est plutôt bon, typé année 70 (Vance) avec des couleurs respectueuses de l'ambiance à la fois sombre, poisseuse parfois de la foret.
A suivre mais ce premier tome est plutôt prometteur.
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critiques presse (3)
BDGest
14 octobre 2021
Dans l'ensemble, cette reprise est respectueuse. Elle peine pourtant à séduire. La volonté de moderniser modérément le propos est évidente, mais l'intervention horrifique qui survient dans les dernières planches paraît artificielle. Il faut considérer Les 100 Démons de l'Ombre Jaune comme un galop d'essai. Il permet de constater que les auteurs ont bien révisé leur sujet et se sont appliqués à rendre une copie sans faute majeure. Elle n'a pas beaucoup de saveur non plus.
Lire la critique sur le site : BDGest
LigneClaire
11 octobre 2021
Il reprend donc du service actif le commandant Morane héros de la RAF pendant la guerre avec son copain Ballantine et sous la plume de Corbeyran et Christophe Bec, Paolo Grella au dessin. Une reprise de plus avec un scénario pour le moins étonnant d’après bien sûr l’œuvre de Henri Vernes qui nous a quitté cet été.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
Sceneario
23 août 2021
En conclusion, ce retour du célèbre aventurier ne déçoit pas. Bec et Corbeyran respectent l'esprit d'Henri Vernes, le créateur du personnage, qui vient récemment de nous quitter. Cette lecture est donc une belle façon de rendre hommage à ce romancier qui a su apporter beaucoup de plaisirs aux lecteurs avec les nombreuses aventures de Bob Morane.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Vous êtes un romantique Morane, ça vous perdra !
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- Vous êtes un romantique, Morane ... ça vous perdra !
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Je crois qu'on va avoir un sérieux problème ! ...
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Vidéo de Éric Corbeyran
À l'aube du 2e siècle de notre ère, en Calédonia, les tribus scots sont confrontées à une invasion romaine. Elles s'allient pour l'occasion aux géants Fomôrés, derniers survivants d'un vaisseau échoué jadis près de leurs côtes. Lucius, centurion romain et commandant en chef de la lXe légion, retient en otage Leta, fille du puissant chef de clan scot Galam . Entre haine et passion, leur relation toxique va conduire Leta à trahir celui qui avait fini par lui accorder sa confiance, précipitant les légions romaines vers une défaite cuisante face aux tribus scots et leurs alliés mythologiques, les géants Fomôrés.
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