Constantin, un personnage haut en couleur, va se retrouver malgré lui au coeur d'une sordide histoire, en partant à le recherche de la belle Giada et tenter de comprendre pourquoi elle avait en sa possession, une valise au contenu si étrange...
Mais alors que son l'intrigue aurait pu être intéressante, je l'ai au contraire trouvé lassante. Malgré les nombreuses péripéties et les mauvaises rencontres faites par Constantin, je n'ai pas retrouvé dans ce roman, le côté noir annoncé.
De plus, l'auteur nous perd un peu avec ces nombreuses descriptions (paysages, culinaires,...). Elles sont certes nécessaires pour que l'on s'imprégne de l'ambiance sicilienne mais pour moi, c'était trop.
Il en est de même pour les différentes rencontres : la plupart des personnages sont bienveillants et solaires envers Constantin mais cela apportait un côté naïf au récit qui contrastait trop avec la "noirceur" de l'histoire.
Quand au dénouement, je trouve qu'il colle bien avec l'histoire et le style de l'auteur. Cependant, je m'attendais pas à ça mais avec un peu de recul, c'est divertissant.
En bref : Un roman qui fait voyager et une enquête au coeur de la mafia, en font un livre agréable à lire mais qui tend plutôt vers la comédie noire.
Mais personnellement n'ai pas réussi à entrer dans l'histoire , ni pleinement apprécier le style.
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Parmi les poètes qui ont marqué l'histoire de la Grèce, Cavafy chante l'exil et la nostalgie du pays perdu, Ritsos est le poète militant par excellence qui élève sa voix contre la dictature et Séféris, prix Nobel de littérature en 1963, affirme son appartenance à "l'immense espace spirituel du Grand Hellénisme dans sa continuité ininterrompue".
Le temps d'un spectacle musical, la comédienne Anna Mouglalis lit des poèmes choisis. Comme un écho venu d'ailleurs, le plus grec des journalistes français, Nikos Aliagas, lira les mêmes poèmes en grec. Une lecture sublimée par les chansons de Stavros Siolas, une des stars montantes de la chanson grecque contemporaine. Accompagnement musical par Marios-Ivan Papoulias au violon, Georgios Pappas au luth et à la mandoline et Evangila Mavridou au piano.
Avec le soutien de la Fondation Hellénique pour la Culture, du Centre Culturel Hellénique et de la Fondation Michalski..
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