Décidément Martine aime la nature! Après la ferme, la campagne, le jardin, "Martine au parc" nous permet de partager une journée ensoleillée avec ses amis et le chien Patapouf.
Je suis attachée à mes lectures d'enfance d'autant plus que je m'appelle Martine et que mon mari m'a fait un clin d'oeil en m'offrant un coffret de la collection farandole avec huit albums de la petite fille qui ne me ressemble pas.
Avec le recul on se rend compte que la condition des femmes a un peu progressée, heureusement. Dès la deuxième page il est écrit que ces messieurs lisent le journal sur un banc pendant que les dames font tourner leur ombrelle et bavardent.
Et puis les filles jouent à la poupée et les garçons font naviguer leur bateau dans le bassin. Oh la la, de quoi me faire bondir!
Il est vrai qu'on est en 1967 mais à l'époque tout le monde n'avait pas cette vision stéréotypée sur les hommes et les femmes.
Martine la petite fille modèle a un côté gnangnan mais ce que j'adore c'est le décor. Au parc, il y a le kiosque à musique, les rochers sur lesquels on peut grimper, l'étang avec des poissons rouges, la promenade en barque ou en voiture à cheval, le bac à sable, le toboggan , les balançoires, le manège, l'échelle de corde, les anneaux, l'échafaudage, et Guignol qui attend les enfants. Il y a surtout une grosse surprise dans cet album car pour la première fois je vois les parents de Martine qui sont venus la chercher pour prendre un jus de fruit et une crème à la vanille en cette fin d'après-midi. Alors cela vaut bien une mention spéciale.
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A l'occasion de vacances chez papi et mamie, nous avons exhumé Martine au parc de la bibliothèque... et on peut dire que Martine est très vintage. Certes l'histoire est banale et facilement compréhensible pour l'enfant mais c'est quelque peu démodé tant du point de vue de certaines activités (petites filles qui font du tricot au parc) que du vocabulaire (une jolie voiture pour dire poussette) et de certaines tournures de phrases qui m'ont bien fait rire (pardi, il faut bien qu'ils s'amusent). Bref Martine a quelque peu vieillit... cela ne sera pas notre lecture favorite.
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Martine va au parc pour jouer avec ses amis.
Ils courent, grimpent, glissent, se bousculent, jouent à la poupée et à cache cache, font du vélo, du toboggan, de la balançoire, regardent un spectacle de Guignol.
Encore une journée bien remplie.
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Histoire encore une fois peuplées de petits faits quotidiens magnifiquement illustrés. Il n'y a rien de bien original, mais les images sont superbes et les enfants aiment bien les anecdotes de la vie de Martine.
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Quel lieu est extraordinaire et merveilleux pour les enfants ? le parc ! D'ailleurs Martine s'y amuse beaucoup avec tous ses amis. Elle peut y courir sans soucis, faire de la barque, observer la nature. C'est un endroit plein de liberté et d'aventures qui fait oublier les devoirs d'école. Vivement mercredi prochain !
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La séance de guignol est terminée. C'est le soir. Le soleil commence à descendre derrière les arbres.
Pour lui faire une surprise, les parents de Martine sont venus la chercher au parc.
Mais avant de rentrer à la maison, tout le monde est allé se reposer sous les parasols, à la terrasse de la pâtisserie, pour y déguster des jus de fruits et de la crème à la vanille. Ainsi s'achève l'après-midi de Martine au parc. An après-midi merveilleux.
Les messieurs lisent le journal sur le banc. Les dames, en faisant tourner leurs ombrelles, bavardent. Un merle siffle dans le buisson. Le jardinier jardine, le peintre peint, le gazon gazonne, le marronnier donne des marrons et le rosier des roses.
Là, ni métro, ni voiture, ni autobus.
C'est un endroit merveilleux. On se croirait vraiment à la campagne.
Les messieurs lisent le journal sur le banc. Les dames, en faisant tourner leurs ombrelles, bavardent. Un merle siffle dans le buisson. Le jardinier jardine, le peintre peint, le gazon gazonne, le marronnier donne des marrons et le rosier des roses
Aujourd'hui, comme il fait beau, Martine vient jouer au parc avec ses petits amis.
– Bonjour, monsieur Julien, dit-elle au gardien.
– Bonjour, les enfants. Amusez-vous bien. Mais surtout n'abîmez pas les fleurs!
– C'est promis, monsieur Julien. Et maintenant, courons dans le parc.
Là, ni métro, ni voitures, ni autobus.
C’est un endroit merveilleux. On se croirait vraiment à la campagne. Les messieurs lisent le journal sur le banc. Les dames, en faisant tourner leurs ombrelles, bavardent.