Lorsqu’elle évoque ses souvenirs de pensionnat, Alexandra ne fait jamais référence à des maîtres, des professeurs ou des directeurs de conscience qui auraient pu l’impressionner : aucun d’eux ne semble donc l’avoir véritablement influencée. D’elle-même elle approfondit les sujets qui l’intéressent et se forge une philosophie personnelle de l’existence.
L’expérience directe du mysticisme n’est-elle pas le moyen le plus orgueilleux de dépasser la médiocrité de la condition humaine ? La quête spirituelle chez Alexandra procède, dès l’enfance, de cette démarche.