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Marabout (01/01/1900)
4.09/5   171 notes
Résumé :
" Retour à Dumas père " : ce rappel à l'ordre de Ramon Fernandez, publié dans la NRF du 1er décembre 1941, n'a pas été assez entendu.
La collections Bouquins a bien voulu rééditer Dumas et pour ce faire, a choisi d'établir à partir de manuscrits, un texte qui n'aurait pas subi les multiples attentats des directeurs de feuilletons et des imprimeurs (lectures erronées, standardisation de l'écriture, censure, etc.). A ne pas vouloir relire ses épreuves, Dumas a ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
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Entre histoire, fiction, aventure et spiritualité,Alexandre Dumas nous plonge dans les derniers moments de la monarchie et dans les prémisses de la révolution de 1789, on fait connaissance de prime abord avec un personnage fantastique qui a parcouru le temps et l'espace comme le temps, ayant vécu en tous les siècles, ayant côtoyé tous les hommes qui ont fait l'histoire, ayant connu tous les grands moments de l'histoire du monde depuis l'antiquité et en tout lieu, Joseph de Balsamo se voit confier, après avoir réussies aux diverses épreuves dans une société secrète, une mission spéciale de mener la monarchie à sa déchéance. Mais avant tout dans ce premier module, il est encore question de Louis XV, disant la fin de son règne à l'arrivée de Louis XVI au trône, car d'autres modules vont bien suivre dans la série « Mémoires d'un médecin »...on s'y plonge pour ne plus lâcher! Dumas, c'est bien fluide!
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Joseph Balsamo est un de ces romans impossible à résumer tant le contenu en est riche et dense.
Le personnage éponyme a juré d'abattre la monarchie à travers l'Europe et choisit de commencer par le trône de France, estimant que celui ci entrainera les autres dans sa chute. Nous voici plongé dans le règne de Louis XV, au coeur des intrigues de cour, des complots maçonniques mâtinés de philosophie et nous croisons aussi bien Mme du Barry que Rousseau dans un roman complexe et réellement prenant. Il faut cependant signaler certaines longueurs, familières de Dumas. Si on lui pardonne les dialogues qui tirent très nettement à la ligne, une page entière de répliques à la volée d'un mot où l'un des interlocuteurs se fait tirer l'oreille et son vis à vis proteste d'onomatopées, c'est plus pénible dans les scènes où Balsamo confronte les loges maçonniques: de longs, très longs discours qui alourdissent l'action du roman.

Il n'y a pas de véritables héros dans ce roman, on y retrouve un Dumas plus sombre dont tous les personnages ont une part dure: Gilbert, jeune philosophe en herbe admirateur de Rousseau, se révélera aussi abject que le puissant duc de Richelieu, le roi pense plus à sa maîtresse qu'à administrer son royaume,le vieux maître de Balsamo cherche une victime pour un sacrifice humain et chacun ne pense qu'à poursuivre ses propres intérêts en piétinant autrui tant le cynisme semble être à la mode.
Le tout compose un roman tout à fait captivant, une fois accepté ses longueurs, que les amateurs de romans historiques devraient mettre sur leur liste de lecture à venir!
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Des trois grandes sagas écrites par Alexandre Dumas (il faut préciser Alexandre Dumas ET Auguste Maquet), soit la trilogie des Mousquetaires, la trilogie des Valois, et la tétralogie des Mémoires d'un médecin, la quatrième est la plus imposante, en volume comme en densité. C'est peut-être la raison pour laquelle elle n'a pas le prestige des deux premières, bien que le matériau historique soit aussi important. Mais nous avons changé d'époque : si au XVIème et au XVIIème siècle, les bretteurs avaient la part belle, au XVIIIème siècle l'heure est plutôt aux intrigues de cour, voire d'alcôve et aux sociétés secrètes… Même si le style de l'auteur reste toujours aussi attractif, et même addictif, le sujet abordé est moins susceptible d'exciter les foules, moins emballant pour tout dire.
« Les Mémoires d'un médecin » est un ensemble de quatre romans : « Joseph Balsamo » (1846-1849), « le Collier de la Reine » (1849-1850), « Ange Pitou » (1850) et « La Comtesse de Charny » (1852-1853), qui couvre les dernières années de la monarchie, de 1770 (dernières années du règne de Louis XV, à 1792 (massacres de septembre, en pleine Révolution) ? Bien que ne faisant pas partie de ce cycle, il est d'usage d'y ajouter « le Chevalier de Maison-Rouge » (1846) qui relate les derniers jours de Marie-Antoinette.
Le premier roman « Joseph Balsamo » met en place les personnages et donne le fil rouge de la tétralogie : Joseph Balsamo, comte de Cagliostro, est un personnage mystérieux, grand maître d'une société secrète, se disant sorcier, immortel, alchimiste, devin. Il est surtout manipulateur et joue avec les ambitions ou les sentiments des protagonistes, comme la comtesse du Barry, le duc de Richelieu, ou le Cardinal de Rohan. Son but : manoeuvrer en coulisse pour renverser la monarchie française. Une autre intrigue vient s'insérer dans ce canevas : le baron de Taverney, vieil aristocrate raciste (suprématiste dirions-nous aujourd'hui) est aussi borné que réactionnaire. Il a un fils, Philippe, jeune idéaliste, attiré par la philosophie des Lumières, et une fille, Andrée, fière et imbue de sa noblesse, nouvellement nommée dame d'honneur de la Dauphine (Marie-Antoinette). Autour de la famille on trouve aussi Gilbert, fils de domestiques, amoureux fou d'Andrée, aussi intelligent que têtu, un temps élève de Rousseau, ainsi que Nicole, une soubrette classique, qui a la particularité de ressembler étrangement à la Dauphine (on en reparlera dans « le Collier de la Reine ». On s'en doute, la passion que Gilbert éprouve pour Andrée n'est pas réciproque. Notre philosophe n'en a cure, pour se venger, il la viole et enlève le fils qu'elle a eu de lui (joli coco, n'est-ce pas ?) On le retrouvera dans les volumes suivants, sous l'habit de médecin.
Roman long et dense, « Joseph Balsamo » se lit quand même de façon très agréable grâce au style des auteurs (ce n'est pas une surprise), et aussi grâce à une galerie de portraits d'une grande vraisemblance (celui de la comtesse du Barry est tout à fait exceptionnel de vivacité et d'esprit : on croirait voir Danielle Darrieux !). Plus sombre que la plupart des autres romans signés par les deux auteurs, « Joseph Balsamo » ne ménage pas les portraits négatifs, les âmes noires, et les situations paroxystiques. L'esprit chevaleresque n'a plus sa place dans ce récit où règnent le cynisme, la duplicité et le calcul. Mais Dumas, à son habitude, a le don du dosage, et le lecteur y trouve toujours son compte.
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"Un trop grand bonheur ressemble au point culminant d'une roue de fortune ; à côté de l'apogée, il y a le commencement du déclin".

Cette très belle phrase, extraite du roman de Dumas, illustre fondamentalement les trois histoires racontées dans ce Joseph Balsamo : celle du jeune roturier Gilbert essayant de séduire Andrée, jeune fille imbue de sa noblesse issue d'une ancienne aristocratie, et qui deviendra demoiselle de compagnie de la dauphine Marie-Antoinette ; celle des intrigues de cour et d'influence, mêlant notamment la comtesse du Barry, le duc de Richelieu, Louis XV, le duc de Choiseul ou le cardinal de Rohan ; et enfin celle de Joseph Balsamo, homme mystérieux, se présentant comme sorcier, et ayant la mémoire de toutes les générations antérieures, transposition du personnage historique Cagliostro.

Cagliostro

Comme dans tous ses romans, Alexandre Dumas s'impose à mes yeux comme le maître du roman historique. Par son style, il fait de ses livres de véritables machines à explorer le temps en papier. Nul mieux que lui ne parvient à nous immerger dans une époque. le lecteur a réellement l'impression de se mêler aux personnages d'un ancien temps, de faire partie du décor, d'assister aux scènes contées. Les répliques écrites par Dumas sont extraordinaires, claires et cinglantes. Elles semblent si réelles. Leur puissance comique est inimitable. C'est la grande force des romans de Dumas qui, malgré quelques libertés avec la réalité historique, aide le lecteur à mieux comprendre l'époque décrite.

Alexandre Dumas

Il faut le dire, Joseph Balsamo n'est pas mon Alexandre Dumas préféré. Il manque de ce souffle épique dont bénéficient Les trois Mousquetaires ou le comte de Monte Cristo. Les intrigues de cour tiennent une place trop importante à mon goût dans ce roman de plus de 1000 pages. Certes, elles permettent de mieux se rendre compte de la décrépitude de l'aristocratie française à la veille de la révolution, de la futilité de ses préoccupations pendant que plus des trois quarts du peuple français se tuait à la tâche. Ces intrigues permettent de mieux comprendre sa chute, voire de la souhaiter. L'intérêt est donc historique, et le lecteur ne pourra que se moquer de ces personnages superficiels et futiles, dont la comtesse du Barry et le duc de Richelieu tiennent un haut rang. Mais l'intérêt romanesque s'amenuise au fil des pages, et les intrigues finissent par ennuyer un peu le lecteur.

Madame du Barry

Il faut finalement attendre les trois quarts de l'ouvrage pour qu'un évènement terrible bouscule ce calme plat. J'ai rarement rencontré une fracture aussi violente dans un roman. Un évènement qui entraîne les personnages de cette histoire dans les bas fonds de l'âme humaine, jusqu'à la résolution finale. Il permet de nuancer un peu mon propos, mais pas totalement, car il reste de la lecture un certain regret d'avoir accordé trop d'intérêt aux intrigues et aux préoccupations de personnages peu intéressants et auxquels il est difficile de s'identifier.

Enfin, le roman dépeint la fin du règne de Louis XV sous un angle quelque peu original. Certes, le siècle des Lumières y apparaît sous la forme de Jean-Jacques Rousseau, très présent dans le roman, auquel Dumas prête la parole pour justifier ses choix et sa philosophie. Certes, la révolution semble peu à peu se mettre en place, à travers le personnage de Jean-Paul Marat, déjà si radical, déjà si "ami du peuple". Mais l'originalité du récit tient à la figure de Joseph Balsamo, une sorte de magicien pratiquant l'occultisme, l'hypnose, pouvant prédire l'avenir et faire révéler les secrets même inconscients de tout un chacun. Son objectif est de faire tomber la monarchie française. Il y emploie tous ses pouvoirs et les met au service des intrigues de cour afin d'accélérer la chute de cette aristocratie en déclin. le roman fait apparaître également des sectes et sociétés secrètes de l'époque. Dumas souscrit donc à la théorie selon laquelle ces sociétés auraient eu un poids fondamental dans le déclenchement de la révolution.

Louis XV

En conclusion, Joseph Balsamo, qui inaugure le cycles des Mémoires d'un médecin, auquel succède le collier de la reine, Ange Pilou et La comtesse de Charny, est un très bon roman historique. Son style est élégant et souvent très drôle. Il est historiquement intéressant en ce qu'il aborde une autre face du siècle des Lumières, qui fut également un siècle de l'occultisme et du charlatanisme. Mais la prédominance des intrigues de cour et l'absence d'aventures et de péripéties peut rendre sa lecture parfois ennuyante. Il n'est pas mon Dumas préféré, mais c'est un Dumas !

A peine cet article publié, je me plonge dans la lecture du Collier de la reine, dont je ne manquerai pas de vous donner mon avis !
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Ce livre c'est la fin du règne de Louis XV qui à cette époque n'était plus le Bien-aimé. C'est le début de la fin pour la monarchie française. Ce livre, c'est aussi la vieille noblesse, comme le vieux Taverney ou Richelieu, qui fait face à une noblesse libérale qui a lu les philosophes. C'est aussi un système qui favorise toujours les favoris du roi au détriment de la compétence. Il y a aussi les magouilles de la du Barry. Il y a aussi Joseph Balsamo qui est à la tête du mouvement qui veut mettre un terme à cette vieille monarchie qui n'a plus sa place.

Dans Joseph Balsamo, Dumas a pris soin de faire des personnages nuancés. Ils ont tous leurs qualités et leurs défauts. C'est ce qui les rend plus humains, plus vrais. Tous les personnages ont des zones d'ombre.

Pour moi, Alexandre Dumas est le meilleur auteur. Après avoir lu sa trilogie des mousquetaires et le Comte de Monte Cristo, je redécouvre cet auteur avec la série Les Mémoires d'un médecin.
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Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
"Et pourquoi avez-vous lu ces livres, puisque vous saviez qu'ils étaient mauvais ? continua celui que le vieux savant avait désigné sous le nom d'Acharat.
- Parce que en les ouvrant j'ignorais leur valeur.
-Vous l'avez cependant facilement jugée.
-Oui, monsieur.
-Et vous avez continué de les lire, néanmoins ?
-J'ai continué.
-Dans quel but ?
-Ils m'apprenaient des choses que je ne savais pas.
-Et Le contrat social ?
-Il m'apprend des choses que j'avais devinées.
-Lesquelles ?
-C'est que tous les hommes sont frères, c'est que les sociétés sont mal organisées, qui ont des serfs ou des esclaves ! C'est qu'un jour tous les individus seront égaux.
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Joseph Balsamo, c'est la découverte d'un personnage attachant, invincible, mais dont nous allons vite nous rendre compte de ses faiblesses.

C'est une plongée dans la France du XVIIIème siècle, la France des favorites, des philosophes, la France à la veille de sa révolution.

Nous suivons ici trois histoires parallèles : celles de Gilbert et Andrée, de Louis XV et de Madame du Barry, et enfin celle de Joseph Balsamo.

Ce livre est un régal d'histoire et d'Histoire, où l'on sourit aux répliques de Louis XV tout en espérant que Gilbert arrive à séduire la belle Andrée. L'épisode décisif du roman, aux trois quarts de celui-ci, constitue un des plus merveilleux et révoltant changement de situation de toutes mes lectures romantiques.

Bref, Joseph Balsamo, c'est un roman prenant, attachant, introduisant le lecteur à ses prochaines lectures, puisque ce livre est le premier d'une série de quatre.

Je recommande chaudement !
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- Elle est sans connaissance, sire", ajouta M. de Jussieu en montrant la jeune fille étendue roide et immobile sur le banc où il venait de la déposer.
Le roi s'approcha, reconnut Andrée et s'écria en frissonnant:
"Encore! ... Oh!mais c'est épouvantable, cela; quand on a de pareilles maladies, on reste chez soi; ce n'est pas propre de mourir comme cela toute la journée devant tout le monde!"
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Versailles, comme tout ce qui est grand, est et sera toujours beau.
Que la mousse ronge ses pierres abattues, que ses dieux de plomb, de bronze ou de marbre, gisent disloqués dans ses bassins sans eau, que ses grandes allées d'arbres taillés s'en aillent échevelées vers le ciel, il y aura toujours, fût-ce dans les ruines, un spectacle pompeux et saisissant pour le rêveur ou pour le poète qui, du grand balcon, regardera les horizons éternels après avoir regardé les splendeurs éphémères.
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Versailles, comme tout ce qui est grand, est et sera toujours beau.
Que la mousse ronge ses pierre abattues, que ses dieux de plomb, de bronze ou de marbre, gisent disloqués dans ses bassins sans eau, que ses grandes allées d’arbres taillés s’en aillent échevelées vers le ciel, il y aura toujours, fût-ce dans les ruines, un spectacle pompeux et saisissant pour le rêveur ou pour le poète qui, du grand balcon, regardera les horizons éternels après avoir regardé les splendeurs éphémères.
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R : 0:06 - RÉFLEXION - Jean Cocteau 0:14 - REMARIAGE - Armand Salacrou 0:28 - REMORDS - Pierre Reverdy 0:39 - REPOS - André Prévost 0:50 - RÉVOLUTION - Maurice Chapelan 1:06 - RICHESSE - Félicité de Lamennais 1:18 - RIDICULE - Jules Noriac 1:32 - RIRE - Jean de la Bruyère
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T : 3:29 - TEMPS - Jean Martet 3:41 - TÊTE - Yves Constantin 3:54 - TOMBE - Xavier Forneret 4:04 - TRAVAIL - Jules Renard 4:19 - TROMPERIE - Sainte-Beuve
V : 4:30 - VALEUR - Marivaux 4:40 - VÉRITÉ - Louise d'Épinay 4:51 - VERTU DES FEMMES - Ninon de Lenclos 4:59 - VIE - Louis Aragon 5:10 - VIE ET MORT - Rastignac 5:22 - VIEILLE FEMME - Charles de Talleyrand-Périgord
5:35 - Générique
RÉFÉRENCE BIBLIOGRAPHIQUE : Jean Delacour, Tout l'esprit français, Paris, Albin Michel, 1974.
IMAGES D'ILLUSTRATION : Jean Cocteau : https://filmforum.org/film/jean-cocteaus-orphic-trilogy-testament-of-orpheus Armand Salacrou : https://lotincorp.biz/creation-affiches-publicitaires-etats-des-lieux-ville-douala-1/ Pierre Reverdy : https://lamediathequepatrimoine.files.wordpress.com/2022/09/p5-pr-jeune.jpg Maurice Chapelan : https://www.cambridgescholars.com/news/item/book-in-focus-the-poems-and-aphorisms-of-maurice-chapelan Félicité de Lamennais : https://en.muzeo.com/art-print/felicite-robert-de-lamennais-ecrivain/ary-scheffer Jules Noriac : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jules_Noriac#/media/Fichier:Jules_Noriac_Nadar.jpg Jean de la Bruyère : https://www.ecured.cu/Jean_de_La_Bruyére#/media/File:Bruyere.jpg Henri Duvernois : https://www.delcampe.net/en_GB/collectables/programs/theatre-des-nouveautes-paris-la-guitare-et-le-jazz-de-henri-duvernois-et-robert-dieudonne-1928-1929-1034826850.html Frédéric II : https://www.calendarz.com/fr/on-this-day/november/18/frederick-ii-of-prussia Saint-Évremond : https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_de_Saint-Évremond#/media/Fichier:Charles_de_Marquetel_de_Saint-Evremond_by_Jacques_Parmentier.jpg Louis-Désiré Véron : https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis-Désiré_Véron#/media/Fichier:Louis_Véron_-_engraving_-_Mirecourt_1855-_Google_Books.jpg Romain Coolus : https://picclick.fr/Portrait-Romain-Coolus-René-Max-Weill-Scénariste-Cinéma-225296515824.html#&gid=1&pid=1 Comte de Voisenon : https://www.abebooks.fr/art-affiches/Claude-Henry-Fusée-Voisenon
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