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L'Eau des collines tome 1 sur 2
EAN : 9782877065115
285 pages
Editions de Fallois (25/08/2004)
  Existe en édition audio
4.32/5   1226 notes
Résumé :
Au village des Bastides Blanches, on hait ceux de Crespin. C'est pourquoi lorsque Jean Cadoret, le Bossu, s'installe à la ferme des Romarins, on ne lui parle pas de la source cachée.

Ce qui facilite les manœuvres des Soubeyran, le Papet et son neveu Ugolin. qui veulent lui racheter son domaine à bas prix...

Jean de Florette (1962), premier volume de L'Eau des collines, marque, trente ans après Pirouettes, le retour de Pagnol au roman.... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (96) Voir plus Ajouter une critique
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Quel plaisir de retrouver la langue de Marcel Pagnol que je n'avais plus lu depuis des années.
Jean de Florette : j'avais évidemment vu le film, mais contrairement à la plupart du temps, cela ne m'a pas gênée, peut-etre parce qu'il s'agissait d'une écoute, et que pendant toute celle-ci mes souvenirs des images du film se sont mêlés avec bonheur à la voix du narrateur. Et quel narrateur !
Il s'agit de Vincent Fernandel, petit-fils du célèbre acteur. j'ai beaucoup apprécié sa narration, où il met juste assez d'accent pour faire vivre cette Provence dans nos oreilles, mais sans que cela ne soit jamais exagéré.
Et chose étrange, alors qu'il est seul à lire, j'ai vraiment eu l'impression d'entendre Yves Montand et Daniel Auteuil. Il a su rendre à merveille les craractères de ces deux hommes et surtout celui d'Ugolin, obnubilé par son désir de culture d'oeillets, mais tiraillé par les sentiments d'amitié qu'il éprouve pour monsieur Jean, peu compatibles avec ce que lui impose le Papet.

L'histoire est connue, mais j'ai adoré l'écouter, et j'ai redécouvert la langue de Pagnol, ses descriptions de la nature et des hommes, et ses formules pleines d'humour. Un auteur à relire, sans aucun doute.

Quelques-unes pour le plaisir:
« Il y a trois façons de se ruiner : les femmes, le jeu et l'agriculture. L'agriculture c'est le plus rapide et le moins agréable ! »

« Dans la ferme, quatre hommes venaient de déposer Pique-Bouffigue dans son cercueil. Son visage était si propre qu'il en était méconnaissable, et prouvait clairement que sa dernière toilette avait été la première. »

« - Je parie dix francs qu'il t'a parlé de la routine.
- Qu'est-ce que c'est ?
- Un mot de la ville... La routine, ça veut dire ce que les vieux nous ont appris, et d'après eux, il faut tout foutre en l'air, parce que c'est pas moderne, et que maintenant on a inventé les miracles...
- Peut-être que c'est vrai ?
- de la pure couillonnade, dit le Papet. »

« J'ai pas de mulet, puisque tu me prêtes le tien. J'ai pas de poules ni de chèvres, parce que ça ravage tout. Je porte pas de chaussettes, parce que ça me fait des chatouilles. Alors, une femme, à quoi elle me servirait ? »

Merci à NetGalley et aux éditions Audiolib pour ce partage #JeandeFlorette #NetGalleyFrance
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Jean de Florette constitue le premier tome de l'eau des collines dont l'adaptation cinématographique a contribué à sa grande notoriété aujourd'hui encore.

Par rapport "Aux Souvenirs d'Enfance" on reste dans cette Provence si chère à Marcel Pagnol mais on bascule dans le roman et non plus la biographie. Les personnages sont toujours aussi chatoyants et on retrouve toujours à chaque page le chant des cigales et l'odeur de la lavande.
L'esprit paysan au sens dur du terme y est formidablement bien retranscrit mais on ne peut que s'attacher aux personnages tous emprunt de la bienveillance propre à Pagnol.

Un incontournable de plus dans l'oeuvre écrite trop restreinte de Marcel Pagnol.
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L'histoire principale est celle D'Ugolin/Galinette et son oncle surnommé le Papet, deux paysans vivant aux Bastides, village situé près d'Aubagne, un jour, ils trouvent un marché fructueux dans la cueillette et la revente d'oeillets mais pour développer l'affaire, l'eau est vitale. C'est là que le bât blesse car ils ont trouvé une source cachée et oubliée de presque tous, cette manne se trouve sur le terrain de Jean de Florette, le héros éponyme.
Ce dernier, ancien percepteur, va hériter de la ferme et s'y installe tout en faisant de grands projets agricoles pour sa famille. Ce qui contrarie les projets du Papet et de Galinette.

C'est à partir de là qu'une mécanique infernale va s'enclencher.

En toile de fond, Pagnol décrit longuement la faune et la flore méridionale, c'est dans ce décor aride que les personnages peu scrupuleux, ignorants, incultes, méchants (notamment le Papet et Hugolin) vont parler, décider et agir à l'encontre de Jean de Florette.

Leurs mentalités sont étriquées, les villageois rejettent les étrangers (ceux qui viennent de la ville ou tout simplement d'un autre village) Pagnol décrit aussi les rivalités pour les terres, les possessions, ce sont les animaux qu'on braconne, les fleurs et les légumes que l'on vend. Il y va de la survie de ces paysans. On découvre également les haines viscérales entre les familles qui causeront le malheur des Soubeyran et celle de Jean de Florette et sa famille. La jalousie entre ceux des Bastides dont font partie Hugolin et le Papet et les habitants de Crespin (Jean de Florette) va aller jusqu'à la vengeance et les conduire à la tragédie finale.

A travers ses personnages et leurs actions, l'auteur dénonce la noirceur de l'âme humaine et ses motivations profondes et complexes, ce n'est pas simplement un roman du terroir, Pagnol nous plonge dans les tréfonds de l'âme humaine avec ses vicissitudes et ses recoins obscurs, la peur et la lutte pour la survie également.

Les manigances et les manoeuvres diaboliques du Papet et d'Ugolin pour faire tomber Jean de Florette sont mises au premier plan. Les traits et les caractères des personnages principaux sont grossis, Pagnol en fait ressortir la sauvagerie, leurs actes sont primitifs parfois calculés (notamment ceux du Papet) mais obéissant à leurs instincts et surtout agissant selon leurs intérêts quitte à anéantir son prochain par l'hypocrisie, la manipulation, le mensonge, la duperie, la ruse, la dissimulation, la rétention de l'information. L'ignorance, la peur du manque, la cupidité qui en découle sont aussi à l'oeuvre. C'est l'être humain dans toute sa splendeur qui est mis en scène

Pour donner plus de force à ses personnages souvent incultes, parfois instruits, l'auteur se met au niveau de chacun. Il utilise tous les niveaux de langues pour mieux les ancrer dans leur milieu (la classe sociale, le niveau d'instruction), leur environnement (le Midi) et leur époque (le début du 20e siècle.) L'auteur fait un large usage de la langue orale locale, régionale notamment dans les dialogues ; les expressions régionales et l'accent méridional sont déployées à merveille. On lit et on entend les personnages parler une langue naturelle sans fioriture qui se contrefiche des conventions linguistiques, une langue fonctionnelle et pragmatique, celle de la communication directe en ce qui concerne les paysans ignorants et une langue plus académique lorsqu'il est question des gens de la ville, instruits.

Ce duel pour l'eau, la source opposant les Soubeyran et Jean de Florette captive l'intérêt du lecteur et le sidère par sa nature outrancière et dichotomique ; la haine poussant la Bêtise d'une part, la candeur et l'aveuglement de l'autre. L'intrigue n'en est que renforcée. C'est une véritable déclaration de guerre pour l'eau qui véhicule l'argent !

Le malheur final et la réaction d'Ugolin à celui-ci montre qu'il a gardé une once d'humanité, il a été manipulé par son oncle pervers bien que tenant toujours à son projet, quant à Jean de Florette, il est victime à la fois et paradoxalement de son savoir, de sa générosité, son idéalisme, son désir absolu de retour à la terre de ses ancêtres assortie malheureusement de son ignorance sur la réalité des lieux et des mentalités.

Lorsque j'ai lu le livre, je revoyais les scènes du film de Claude Berri que j'ai trouvé assez fidèles mais je suis surtout épatée par le choix des acteurs (D. Auteuil, G. Depardieu, la petite fille/ Manon, Y. Montand) qui jouent à merveille les rôles attribués avec beaucoup de précision et correspondent tout à fait aux personnages du roman. La musique du générique est magistrale.

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Le vieux Pique-Bouffigue est mort. Il s'est fendu le crâne en tombant d'un arbre – dit-on – et personne dans le petit village des Bastides Blanches ne regrettera la présence de cet asocial grossier et querelleur. Au contraire, certains pourraient même s'en réjouir car le vieux laisse derrière lui une très belle terre arrosée par une source cachée dans les massifs de thym. Et cette jolie petite terre ferait bien l'affaire des Soubeyran, la famille le plus aisée de la région, dont le dernier descendant, Ugolin, s'est mis en tête de débuter le commerce des oeillets, entreprise lucrative mais très coûteuse en eau. Certes, la terre revient aux héritiers de Pique-Bouffigue, mais ceux-ci sont des parisiens et probablement peu désireux d'aller se perdre au fin fond de la Provence…

Manque de chance, l'héritier en question, Jean Cadoret, est un original, un amoureux de la Nature frustré dans son travail peu reluisant de percepteur des impôts. Non seulement il refuse de vendre le terrain mais décide de s'y installer avec sa femme et sa fillette pour y commencer un ambitieux programme d'élevage de lapins ! Si César Soubeyran, « le Papet » de la famille, ne doute pas de l'échec du projet du « fada » citadin, il n'en grince pas moins des dents et décide d'aider le sort en bouchant discrètement la source du terrain avec son neveu Ugolin. Pas de source, pas d'eau. Pas d'eau, pas de lapins. Pas de lapins et au diable les parisiens ! Mais Jean Cadoret s'obstine : malgré la sécheresse et l'hostilité des villageois, il lutte pour réaliser son rêve et se tue à la tâche, sans comprendre que ses malheurs ne viennent pas tant de la rigueur des éléments que de la froide et calculatrice méchanceté des hommes.

Je reconnais avoir commencé ce roman avec une vision un brin condescendante de l'oeuvre de Marcel Pagnol… Je l'ai tant de fois entendu présenter comme le chantre de la Provence, l'amoureux des champs verdoyants et du chant des cigales, que je m'attendais à lire un roman gentiment bucolique, un poil passéiste et dégoulinant de bons sentiments. Et j'ai le plaisir de dire que je me fourrais le doigt dans l'oeil jusqu'au coude ! Déjà, pas de longues descriptions lyriques chez Pagnol, comme on aurait pu légitimement s'y attendre : la Provence est bien présente, mais seulement comme un arrière-plan aux apparences idylliques dont la beauté fait ressortit par contraste la mesquinerie des comportements humains.

Car ils ne sont pas très aimables, les paysans de Pagnol… Rudes, égocentriques, d'une méfiance paranoïaque envers les étrangers, capables d'une cruauté étonnante par bassesse ou pure indifférence, ils n'inspirent guère la sympathie au premier abord. On est très loin d'une vision paradisiaque de la campagne et de ces joyeux habitants ! le personnage de Jean est traité avec plus de douceur, malgré sa naïveté presque agaçante, et sa foi profonde en la bonté de ses semblables ne peut que susciter la pitié, surtout quand on voit comment cette foi est récompensée. Loin d'être un joli conte pour enfant, « Jean de Florette » est donc un roman plutôt dur, lucide mais sans férocité sur la nature humaine, et qui prendra même des airs de tragédie grecque dans sa suite directe, « Manon des Sources ».
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Époustouflant roman, magistral récit !

Dans les collines d'Aubagne recuites au soleil ardent du Sud, entre les pinèdes et les oliveraies, dans les parfums de la sèche garrigue, le village des Bastides Blanches cache de son mieux ses maisons et ses fermes. L’ancestral terroir est impénétrable au progrès, aux étrangers et à tout ce qui n'est pas issu de ses traditions et de son sol. Or vint à passer un homme de la ville, Jean Cadoret, bossu, utopiste, entreprenant, différent. Ses intérêts - pourtant bien légitimes puisqu'il hérite de sa propriété - créent un conflit d'intérêt avec son voisin Ugolin qui rêvait de faire main basse sur ses champs. Un conflit sourd et muet, qui croît dans l'ombre du secret et dans le mystère du crime, un conflit entretenu par une ambition tenace et une soif de richesse aussi chimérique que malhonnête.

Connaissant l'histoire avant de débuter ma lecture, je ne m'attendais absolument pas à être entraînée dans un tel tourbillon d'émotions ni à ressentir une telle angoisse, digne d'un bon polar. Pagnol est un formidable conteur qui, d'une plume simple et concise, donne vie à un incroyable décor, à des personnages à la réalité palpable et à la vraisemblance troublante.

Le duo formé par Jean et Ugolin est tout simplement hypnotisant. A l'instar de la relation entre Abel et Caïn, leur fraternité de dupes frappe le lecteur au cœur, lui qui voudrait pouvoir crier à l'injustice et prévenir l'homicide mais qui reste impuissant à changer l'âme humaine comme à gouverner les éléments naturels.

Un chef d'oeuvre.


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Citations et extraits (89) Voir plus Ajouter une citation
Vous devez vous demander, cher voisin, pourquoi I'intellectuel que je suis a résolu de s'installer ici ?

Ça oui, dit Ugolin, en secouant la tête, je me le demande !

Eh bien, voilà : après avoir beauvoup travaillé - parle du travail de l'esprit - après avoir longuement médité et PHILOSOPHE, je suis arrivé la concusion irréfutable que le seul bonheur possible c'est d'être un homme de la Nature. J'ai besoin d'air, j'ai besoin d'espace pour que ma pensée se cristallise. Je ne mintéresse plus qu'à ce qui est vrai, sincère, pur, large, en un seul mot, l'AUTHENTIQUE, et je suis venu ici pour cultiver l'AUTHENTIQUE. Jespère que vous me comprenez ?

Oui, dit Ugolin. Évidemment.
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Un soir, après le diner, Jean Cadoret dit à sa femme
― Demain, c’est dimanche, nous irons tous les trois à la messe aux Bastides remercier le Seigneur.
― Après ce que notre ami nous a dit de ces gens-là, j’aimerais mieux y aller à l’autre village.
― Justement, il ne faut pas se cacher. Je n’ai peur de personne, et je suis décidé à le montrer. […].
(A la sortie de messe) ils passèrent devant l’aire, où les esprits forts qui n’allaient pas à la messe finissaient une partie de boules.
Il passa devant eux, en affectant de ne voir personne
― C’est le voisin d’Ugolin, dit Pamphile. […].
Cabridan […] visa longuement, fit trois bonds, et la manqua, comme d’habitude ; mais sa propre boule, rebondissant sur la tête ronde d’une roche enterrée, s’envola par-dessus les kermès qui bordaient la route, plongea dans le vallon et alla frapper les reins du bossu, qui marchait le dernier. Fou de colère, il ramassa le dangereux projectile, et de toutes ses forces il le lança vers les joueurs qu’il ne voyait pas.
― Alors, pas assez d’être bossu, il faut encore que vous soyez fou ?
Jeans Cadoret ne daigna pas répondre à ces injures. […].
― Ma mère avait raison, dit-il. Ce sont des brutes, des sauvages, et je suis tout honteux de leur être vaguement apparenté.
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― Il est exact, dit le bossu, que je m’appelle Jean et que ma mère s’appelle Florette.
― Si vous étiez né ici, on vous appellerait Jean de Florette.
― Vous avez donc connu ma mère ?
― Non, dit Ugolin, mais j’ai connu son frère Marius qu’on appelait Pique-Bouffigue. C’était un bon ami, et j’allais lu faire ses commissions au village…
― Je ne l’ai vu qu’une fois, dit le bossu. Il m’a laissé le souvenir d’un sauvage, mais je lui suis reconnaissant d’avoir légué cette ferme à ma mère qui, à son tour, me l’a laissé !
Ugolin avait conservé un doute mais la chose était dite : c’était bien l’héritier ;
Le bossu leva son verre, et dit avec une certaine solennité :
― Je bois à la Mère Nature, aux collines odorantes, je bois aux cigales, à la pinède, à la brise, aux roches millénaires, je bois à l’azur !
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La petite Manon allait sur ses dix ans. […].
Le vent des collines, l’amitié des arbres, le silence des solitudes en avait fait une petite bête sauvage, légère et vive comme un renard. Son grand amour, c’était Baptistine, qu’elle admirait comme un personnage des contes de fées, et la Piémontaise l’adorait. Tous les matins sur les plateaux de la garrigue, elle gardaient leurs chèvres ensemble. Baptistine lui enseignait les soins à donner aux bêtes, l’art de tendre des pièges, et les milles secrets des collines : ce fut d’abord dans un français incompréhensible, mais éclairé par des gestes ; au bout de quelques semaines, la fillette fut en état de comprendre, puis de parler, le rude patois du Piémont. Elle redescendait aux Romarins, montée sur l’ânesse galopante, en poussant des cris de victoire, et elle rapportait dans les poches du bât des nourritures sauvages : des champignons sanguins, de grosses pignes amandières, des morilles, des escargots nourris de thym, et souvent des merles parfumés de myrte, ou de grives gorgées de genièvre.
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Je bois à la Mère Nature, aux collines odorantes, je bois aux cigales, à la pinède, à la brise, aux roches millénaires, je bois à l'azur !
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Dans le cadre de cette émission spéciale Festival de Cannes, Augustin Trapenard reçoit Daniel Auteuil pour son film "Le Fil", adapté de "Au guet-apens : chroniques de la justice pénale ordinaire", de Maître Mô ; Philippe Claudel, écrivain et réalisateur, au sujet de l'art de l'adaptation ; Zabou Breitman, pour évoquer son travail de réalisatrice et pour la lecture d'un texte de Marcel Pagnol ; Nicolas Pagnol, petit-fils de Marcel Pagnol, pour rendre hommage à l'écrivain disparu il y a cinquante ans ; Irène Frain, pour parler également de Marcel Pagnol.
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