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La Saga des Médicis tome 3 sur 3
EAN : 9782253114642
602 pages
Le Livre de Poche (11/01/2006)
3.7/5   85 notes
Résumé :

Suite et fin de la grande saga des Médicis, dont Contessina et Le Lys de Florence, les deux premiers volumes, ont connu un très grand succès, Lorenzo met à nouveau en scène une Florence plus florissante que jamais, berceau des arts et des lettres, enviée de tous les autres Etats, où se déroulent fêtes somptueuses mais aussi conspirations de clans rivaux attisées par Rome et ses papes dépravés. Lo... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
Dans ce troisième et dernier volume de la saga des Médicis, Sarah Frydman nous emporte aux côtés de Lorenzo le Magnifique qui offrit à Florence sa magnificence avant que l'obscurantisme, incarné par l'arrivée du moine Savonarole, ne vienne mettre un terme à cette faste période, si riche sur le plan culturel.
Comme les deux précédents volumes, c'est particulièrement bien écrit et bien conté, et on termine cette saga avec autant de plaisir qu'on l'a entamée.
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La saga s'achève comme elle a commencé. La recette ne change pas et fonctionne toujours aussi bien !
Pour autant, ce n'est pas mon tome préféré. Pas qu'il n'ait pas rempli son contrat (bien au contraire !), mais comme le titre l'annonce, c'est la fin...

Cette fois, c'est la troisième génération des puissants Médicis. Leur gloire, leur puissance et leur popularité n'a jamais été aussi importante. Et c'est toujours au côté d'une femme que l'on suit la fin de la saga.
La première génération, celle de Cosimo et de Contessina s'éteint peu à peu. Lorenzo Il Magnifico, le plus connu des Médicis, fait son entrée et marche sur les traces de ses prédécesseurs. Mais la splendeur de Florence est en péril tout comme les arts et la fête avec la venue de Savonarola ainsi que du "Bûcher des Vanités"...

Après m'être attaché aux membres de cette famille, ce fut plutôt difficile et triste de les quitter et de leur dire adieu. Cette saga nous fait partager leurs joies et leurs peines dans une trilogie de qualité.
Une conclusion donc pour une saga qui aura su me faire vibrer le temps de quelques pages.
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Comme dans les deux tomes précédents, la "petite" histoire (celle du clan Médicis et de Lorenzo) se mêle à la grande, en insistant surtout sur la vie privée de ses héros : l'essentiel du roman est en effet consacrée à la relation entre Lorenzo et Lucrezia Donati, amour digne des plus grands romans et contrarié par les obligations politiques et financières des Médicis. C'est d'un côté très divertissant mais cela manque aussi d'originalité car on se retrouve très vite dans un triangle (voire un carré) amoureux et un schéma qui rappelle énormément le trio Vernio / Lucrezia / Pietro du deuxième tome, c'est un peu dommage !

L'autre élément qui m'a un peu déçue dans ce troisième tome, c'est justement la place trop grande accordée aux amours contrariés de Lorenzo et des autres membres du clan Médicis : le roman se déroule à une période fascinante pour l'histoire de l'art (l'essor et l'âge d'or de la Renaissance italienne) et cela est finalement assez peu évoqué, à peine quelques mots ou phrases au détour d'un paragraphe de temps en temps. de même, je trouve que l'autrice passe assez rapidement sur des évènements importants de cette époque, comme la célèbre conjuration des Pazzi ou même la montée en puissance de Savonarole et la chute des Médicis. C'est vraiment dommage car c'est ce que je m'attendais surtout à découvrir dans ce roman.

Malgré tout, ce Lorenzo... reste un bon roman historique : l'intrigue reste plaisante (malgré les défauts que j'ai évoqué) et est digne d'une saga historique, avec ses rebondissements, ses moments de joie et de peine, le plaisir de voir grandir et évoluer les personnages au fil des chapitres...
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Trois volumes : « Contessina », « Le Lys de Florence » et « Lorenzo ou la fin des Médicis » pour raconter l'histoire assez exceptionnelle de l'ascension de la famille Médicis à Florence. Très bien documenté, vocabulaire riche et pertinent pour l'époque, à savoir le 15ème siècle, par contre répétitions multiples assez lourdes. En effet, même si les sujets philosophiques tels que l'amour, le bonheur, la vie sont importants vu l'érudition des personnages, faire dire à tous les mêmes paroles devient vite lassant ! le thème du mariage imposé est lui aussi récurrent, répété à chaque générations avec les mêmes expressions et ce par plusieurs familles. Un roman à lire pour se documenter sur la famille Médicis d'une manière un peu plus ludique que sur wikipédia. En conclusion, histoire passionnante mais écriture décevante !
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Un peu trop d'enrobage sentimental. Entre les mariages de raison, ceux où l'amour arrive à la fin, les "en....ges" dans les coins avec les soubrettes, les rencontres fortuites des femmes titrés avec leur amoureux, les batards, les légitimes, les neveux, nièces etc...etc... ça rempli, c'est sympa mais trop, c'es trop.
Enfin : si les Médicis peuvent mettre la fleur de lys sur leur blason c'est à la suite de la rencontre entre Pierre et le roi de France à Florence.
Les papes de ce temps ont des enfants qui sont à la fois leur fils et leur neveu et pourquoi pas leur petit fils puisqu'ils couchent avec la gente féminine de leur famille, soeur, mère et belle mère tant qu'on y est, oui, j'en rajoute.
Laurent est magnifique non parce qu'il est beau, mais parce qu'il est généreux.
Bref une saga intéressante quand même.
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Alors, soudain, ce fut l'apothéose. Lorenzo apparut et la foule debout hurla sa joie, son amour, son enthousiasme pour ce jeune homme si laid et si rayonnant. Il était l'élu, le bien-aimé, le maître attendu et choisi, le fils de Cosimo donc le Fils de Dieu.
Il se tenait très droit sur son cheval blanc, ne perdant pas un pouce de sa haute taille flexible. Sa laideur puissante, presque magnétique, s'adoucissait d'un sourire joyeux et comme étonné des acclamations qui le saluaient.
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Toi, tu es ma jeunesse...Et c’est toujours vers le printemps et sa jeunesse que l’on se retourne à l’automne de sa vie.
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Tous disparus, sans laisser d’autres traces que dans la mémoire de ceux qui les avaient aimés et connus, et qui disparaîtraient tout à fait lorsque ceux-là même qui se souvenaient allaient disparaître à leur tour. Elle serait comme eux. Un souvenir impalpable, imprécis dans une mémoire de plus en plus défaillante. Qui donc se souviendrait combien, elle était belle en ses quinze ans, le jour de son mariage en 1415 ?...
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