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Rafael Scavone (Autre)Dave Stewart (Autre)David Guelou (Traducteur)Rafael Albuquerque (Autre)
EAN : 9782384260010
88 pages
Black river (02/06/2022)
3.66/5   45 notes
Résumé :
L'éventreur frappe à Londres et seul le plus grand détective du monde saura l'arrêter !
Face à un étrange assassinat d'horreur cosmique, un détective de génie et son partenaire sont appelés à l'aide. Dans un monde où Sherlock Holmes et Chtulhu cohabitent, ce mystère surnaturel conduira les deux enquêteurs de Baker Street jusqu'au Palais de la Reine afin de résoudre un meurtre transcendant le genre humain.
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Critiques, Analyses et Avis (14) Voir plus Ajouter une critique
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Rache
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Ce tome correspond à une adaptation en bande dessinée d'une nouvelle écrite par Neil Gaiman et publiée pour la première fois en 2003. Il est initialement paru en 2018. L'adaptation a été réalisée par Rafael Albuquerque en ce qui concerne le découpage de l'histoire et sa mise en images. L'adaptation en script a été faite en collaboration avec Rafael Scavone. La mise en couleurs a été réalisée par Dave Stewart. L'histoire a été gardée intacte, et les auteurs ont conservé les phrases de Neil Gaiman. le tome se termine avec 10 pages d'études graphiques d'Albuquerque.

Dans la ville de Londres a été placardée une affiche qui indique que la troupe The Strand Players va prochainement présenter un spectacle comprenant trois parties mêlant comédie et tragédie, avec Mon frère identique Tom, La plus petite vendeuse de violettes, Les grands anciens arrivent. À Londres dans les années 1880, un fiacre dépose un fiacre dépose un homme qui marche à l'aide d'une canne devant un immeuble. Il montre les marches pour accéder au couloir et ouvre une porte. Un homme l'accueille est lui disant qu'il voit qu'il a fait la guerre en Afghanistan. le détective lui explique comment il est arrivé à cette déduction, et exposé ainsi cela devient une évidence lumineuse. L'ex-soldat se rend bien compte de la puissance de déduction du détective et se souvient de ce qu'il a enduré lors de cette campagne lorsqu'il s'est retrouvé dans une grotte où une créature d'un autre monde l'a touché à l'épaule droite avec un de ses tentacules. L'ex-soldat indique qu'il lui arrive de se réveiller en hurlant la nuit ; le détective lui indique qu'il lui arrive de ronfler. Ils décident d'emménager ensemble dans un appartement de Baker Street.

Ayant emménagé, l'ex-soldat a appris à respecter le besoin d'intimité du détective, se retirant de lui-même dans sa chambre quand le détective reçoit un client. Un matin alors qu'ils prennent leur petit-déjeuner ensemble, le détective informe son compagnon qu'ils vont recevoir un visiteur dans 3 minutes. Ayant demandé à la cuisinière de préparer des saucisses supplémentaires, le détective explique comment il est arrivé à cette conclusion. Ça ne rate pas : l'inspecteur Lestrade frappe à la porte exactement 3 minutes plus tard. Alors que Lestrade accepte bien volontiers le petit-déjeuner, le détective se livre à une série de déduction dont il a le secret et expose que Lestrade est venu demander leur aide pour une affaire impliquant une tête couronnée, et qu'ils doivent se rendre dans le quartier de Shoreditch pour constater les faits. Ça ne rate pas : il a raison sur toute la ligne. Cette fois-ci, il demande à l'ex-soldat de l'accompagner dans cette enquête, ce qu'il n'avait jamais fait auparavant. L'inspecteur Lestrade les emmène en fiacre jusqu'au lieu du crime.

Pour des raisons commerciales évidentes, l'éditeur Dark Horse s'est lancé de longue date dans la mise en chantier d'adaptation de nouvelles de Neil Gaiman : de The Facts in the Case of the Departure of Miss Finch par Michael Zulli à Forbidden Brides of the Faceless Slaves in the Secret House of the Night of Dread Desire par Shane Oakley. C'est le même éditeur qui a publié l'adaptation en comics du roman American Gods par P. Craig Russell et Scott Hampton. Cet éditeur a donc su établir une relation de confiance avec l'auteur concernant la qualité desdites adaptations. le lecteur remarque tout de suite le titre étrange de cette histoire extraite du recueil Miroirs et fumées (2006). Même s'il ne situe pas la référence immédiatement, il se rend compte qu'il lit une version personnelle d'une enquête de Sherlock Holmes, une variation sur la nouvelle Une étude en rouge (1887), celle qui contient la première apparition de Sherlock Holmes. Pour des raisons non explicitées, l'auteur préfère ne pas utiliser les noms de Sherlock Holmes et du docteur John Watson, mais il n'y a pas à s'y tromper. de plus, Gaiman s'est amusé à changer la couleur du sang, d'écarlate à émeraude. L'affiche de la première page ne laisse pas de place au doute : cette couleur verte correspond au fluide vital d'une créature venant du Dehors, appartenant à la mythologie des Grands Anciens imaginées par Howard Philips Lovecraft (1890-1937). Il a donc écrit un pastiche, ou plutôt à un hommage au héros de Sir Arthur Conan Doyle (1859-1930, un contemporain de Lovecraft), en le croisant avec une autre mythologie.

Ayant bien compris le principe de ce mélange, le lecteur découvre l'enquête sans en être dupe un seul instant. Il est assez amusant de découvrir à quoi Gaiman à assimilé ces grands anciens. le lecteur savoure l'utilisation des conventions des récits de Sherlock Holmes : sa capacité à se déguiser, son sens affuté de l'observation, ses capacités extraordinaires de déduction. Il ne manque que son addiction à la cocaïne et sa manie de torturer les cordes d'un violon. Afin de pouvoir raconter l'histoire qu'il souhaite, Gaiman a également aménagé l'histoire personnelle de Watson qui reste un vétéran de la seconde guerre d'Afghanistan (1879-1880) mais qui n'est un médecin, mais un ancien tireur d'élite dont la blessure a annihilé ses compétences en la matière. Se montrant respectueux, il a décidé de ne pas utiliser les noms de Sherlock Holmes et John Watson pour ses personnages. le lecteur se laisse donc emmener aux côtés du détective et de son assistant pour récolter les indices et trouver qui a assassiné la victime qui est effectivement de sang royal. Il sourit en relevant les références à l'époque victorienne et à la littérature comme les poudres du docteur Jekyll, aux bottes de Jack Talons-à-ressort, à la potion du docteur Victor Moreau pour réveiller la bête en vous, ou encore au procédé d'exsanguination d'un certain V. Tepes.

Rafael Albuquerque a acquis sa renommée en travaillant avec Scott Snyder, en particulier en illustrant sa série American Vampire. Il a depuis collaboré avec d'autres scénaristes en vue comme Mark Millar pour Huck. La couverture est évocatrice à souhait avec ce fluide vert, et ce personnage dont la tête est invisible qui manipule un coupe-chou évoquant la dextérité et le sadisme de Jack l'éventreur. La finition de l'ouvrage est impeccable avec de jolies têtes de chapitres et une mise en couleurs sophistiquées et maîtrisée de Dave Stewart. Les affiches bénéficient d'un lettrage imitant le style de l'époque, réalisé par le vétéran Todd Klein. le récit s'ouvre avec un dessin en pleine page représentant une rue londonienne dans laquelle circule le fiacre emmenant l'ex-soldat vers le détective. le lecteur peut voir les façades, à moitié mangée par les ténèbres, une coupole au loin, les lampadaires, les trottoirs et la chaussée. Il remarque que le dessinateur ne s'attarde pas trop sur les détails, que ce soit la texture de la chaussée, la hauteur des trottoirs ou encore l'exactitude des façades. Il se rend même compte que du fait de l'étroitesse de la chaussée, 2 fiacres ne peuvent pas s'y croiser. Or l'image montre clairement que c'est pourtant ce qui vient de se passer. de la même manière dans la page suivante, l'ex-soldat monte quelques marches pour accéder à la porte d'entrée de l'immeuble alors que la case juste au-dessus montre une entrée de plain-pied. Avec ces 2 premières pages, le lecteur a bien compris qu'il ne doit pas s'attendre à une reconstitution historique très détaillée en ce qui concerne les différents environnements. D'ailleurs, Rafael Albuquerque utilise les trucs et astuces classiques des comics mensuels pour s'économiser en ne dessinant pas les arrière-plans quand ce n'est pas strictement nécessaire, par exemple lors des conversations durant plus d'une case.

D'un côté, cette façon d'envisager la représentation d'un récit d'époque sans trop s'investir dans la reconstitution est pratique courant dans les comics. de l'autre côté, c'est un peu frustrant dans un projet de prestige, misant sur le nom du romancier pour attirer le lecteur. Rafael Albuquerque s'investit plus pour donner vie aux personnages, avec des visages aisément reconnaissables, des morphologies distinctes, et des expressions de visage très parlantes. Il fait des efforts de mise en scène pour éviter les enfilades de têtes en train de parler, même si elles représentent quand même une proportion significative des cases. Il sait s'y prendre mettre en scène les manifestations des Grands Anciens, de telle sort à en montrer assez pour faire apparaître leur caractère monstrueux, mais pas trop pour ne pas donner l'impression de grosses bestioles en caoutchouc. le lecteur constate par lui-même qu'Albuquerque est bien l'auteur de cette adaptation dans la mesure où il l'a pensée de manière visuelle, avec des mises en scène vivantes, plutôt que des scènes de dialogues parfois entrecoupées de déplacements. Cela donne une lecture rythmée et variée, sans impression statique ou trop appliquée à suivre et à respecter le texte à la lettre.

S'il est familier de la nouvelle d'Arthur Conan Doyle, le lecteur sourit en découvrant d'autres éléments très précis comme l'inscription Rache sur le mur, ou la signature d'un personnage avec les initiales S et M qui renvoient à Sebastian Moran, un personnage apparaissant dans une autre aventure de Sherlock Holmes. Il retrouve également la chute du récit, tout aussi bien amenée que dans la nouvelle, ayant conservé tout son impact. Il s'agit donc d'une lecture sympathique que ce soit une découverte ou non, que le lecteur soit familier de la nouvelle de L'étude en rouge, ou non. Cependant, le lecteur ne peut pas s'empêcher de regretter que Rafael Albuquerque ne se soit pas plus investi dans ses dessins pour réaliser une reconstitution historique qui ne soit pas en carton-pâte.
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On retrouve le célèbre Neil Gaiman qui va mélanger Arthur Conan Doyle et son célèbre détective Sherlock Holmes dans un monde à la H.P Lovecraft où le Chtulhu cohabite. Cela donne un résultat assez original et parfois surprenant. On reste dans le domaine de l'étrange, dans la même veine que son fameux Sandman.

Le récit est plutôt bien amené à travers cette enquête policière suite à l'assassinat d'un membre de la famille royale. L'immersion est totale via des personnages connus comme Sherlock Holmes et son ami le Docteur Watson. A noter une surprise de taille en milieu d'album. La reine Victoria ne sera pas comme vous vous l'imaginez !

Le reproche que je ferai est que c'est assez court alors qu'il aurait fallu sans doute un peu plus développé. On dirait qu'il s'agit d'une simple nouvelle qui a fait l'objet d'une publication pour surfer sur la vague du succès de l'adaptation télévisée de Sandman et de la notoriété de Neil Gaiman.

J'ai beaucoup aimé l'élégance de ce graphisme qui sert bien l'histoire. L'utilisation de la colorisation est réalisée à bon escient. Que dire également d'un découpage impeccable ! Sur la forme, il n'y a rien à redire.

Certes, ce comics est divertissant et bien rythmé. Cependant, il me laisse sur un petit sentiment de frustration.
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Et si Sherlock Holmes qui enquêtait sur Cthulhu?

C'est l'idée de départ de cette nouvelle — ici adaptée en BD —de Neil Gaiman. le dessin y est bien travaillé, et la plume de l'auteur réussit à rendre hommage à la fois à Conan Doyle et à Lovecraft.

Quand la froide logique rencontre la folie pure.
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Ce comics met en scène la rencontre de Holmes et Watson au Barts (hôpital) et leur aménagement au 221b, Baker Street, mais avec quelques changements…

Notamment dans l'origine de la blessure de Watson, qui n'a rien à voir avec la balle Jezail reçue, mais plutôt à une rencontre bizarre avec une créature qui ressemble fort à une sorte de Grand Ancien…

Jamais l'auteur ne nommera les noms de nos deux personnages, mais on nous parle de Baker Street, de détective, de l'inspecteur Lestrade… Cela y ressemble fort, même si Watson n'est pas médecin, mais tireur d'élite. Bizarre, non ? Là, j'étais perdue.

Le plus dur, ce furent les dessins, qui ne cassaient pas trois pattes à un pigeon (oui, foutons un peu la paix aux canards) et étaient assez moches à regarder. le cheval et son attelage ne ressemblaient à rien. D'ailleurs, dans la réalité, je n'ai jamais vu d'attelages et de harnachements pareils !

À se demander comment l'animal arrive à tracter le cab avec des limons (brancards) aussi éloigné de ses flancs et cette barre devant son poitrail…

Pire, un de ses postérieurs adopte même une position totalement impossible physiquement (un antérieur oui, pas un postérieur). Autant où cela passe avec les chevaux dans un Picsou, autant où c'est inconcevable ici.

Non, une jambe arrière de cheval, ça ne plie pas dans ce sens-là !

Quant à Watson et Holmes, c'est une catastrophe ! Les gros favoris de Holmes lui donnaient un visage bestial et la barbe de Watson m'a fait penser au visage d'un homme des cavernes. Bref, ça commençait mal, très mal !

Malgré tout, un bon point pour le costume sobre de Holmes et le chapeau haut de forme (et non ce foutu macfarlane et ce deerstalker que l'on ne porte qu'à la campagne !). Ah oui, pardon, rien n'indique qu'il s'agisse d'Holmes et Watson…

L'enquête se présente comme "Une étude en rouge", sauf que le truc étalé au mur n'a pas la couleur rouge du sang, mais d'une couleur verte, comme issue d'une boîte de slime de notre enfance. le mort n'était pas humain… Fox Mulder est demandé sur la scène de crime.

Nous sommes clairement dans du fantastique. La reine Victoria est un poulpe vert et elle règne depuis 700 ans au moins. Cthulhu, sors de son corps, cochon ! Ah, ces Grands Anciens qui nous ont envahis… Ça doit puer le poulpe partout (et la marée aussi).

Bon, je ne vais pas vous raconter des craques, je n'aimais pas cette adaptation de « Une étude en rouge », en version fantastique. Holmes et Watson méritaient mieux.

Ah, mais oui, suis-je bête, j'ai encore oublié que, vu qu'on ne les nomme jamais, ils pourraient aussi bien être "Bonhommet et Tilapin", nos deux personnages.

D'ailleurs… en relevant quelques indices, que je ne nommerais pas, pour ne pas divulgâcher… Nom de Zeus, bon sang, mais c'est bien sûr !! Eureka, j'ai trouvé ! Fiat lux !

Voilà ce qui arrive lorsque l'on écrit sa chronique tout en lisant : on écrit ses impressions à chaud et une fois parvenu à la fin de l'album, on se rend compte que le final est excellent et qu'il troue le cul. Note pour plus tard : ne plus écrire ses impressions à chaud en lisant !

Si je ne suis pas fan des enquêtes de Sherlock Holmes dans l'univers du fantastique et encore moins avec les Grands Anciens, je dois dire que lorsqu'on termine cette lecture, elle est beaucoup plus intéressante qu'au départ, car l'auteur a réussi à en faire une autre adaptation et là, j'avoue qu'elle m'a sciée, dans le bon sens du terme.

Hélas, les dessins sont moches, les décors ressemblent à du carton pâte, les attelages de cab ne ressemblent à rien, un cheval a son canon (bas de sa jambe arrière) qui se plie dans un sens impossible…

Bref, si les scénaristes ont fait preuve de créativité (même en pompant chez Lovecraft) lors de leur adaptation de « Une étude en rouge », le dessinateur, lui, ne s'est pas foulé.

Bien que j'aie râlé plein ma panse en commençant, en finissant cette lecture, elle est remontée dans mon estime (sauf pour les gribouillis).

Comme quoi, tout est possible et la vérité était ailleurs.

Un comic à réserver aux fans de Sherlock Holmes à la sauce fantastique et qui aiment les vrais morceaux de poulpe.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Je suis passé par plusieurs avis sur cette BD tout d'abord un peu d'agacement ...encore une variation sur Sherlock et Cthulhu ma créature lovecraftienne préférée ( je l'ai déjà écrit par ailleurs et je ne veux pas me fâcher avec les fans de Philip ) mais ses divinités céphalopodes ( les pieds dans la tête franchement c' est sérieux ça c est le cas de le dire c est marcher sur la tête ) donc elles ne déclenchent chez moi que des crises de rires moqueurs au mieux je pouffe poliment en mettant mes tentacules ..... oups pardon ma main devant ma bouche . Mais revenons à notre étude en émeraude au fil des pages des questions se posent on crédite le détective d un livre écrit par un autre dans le canon Holmesien Watson n est pas docteur mais tireur d'élite, les dieux de l auteur cité plus haut ont gagné et maintiennent la paix sur terre , mais des opposants veulent annihiler leur domination en les zigouillant .Alors oui cela devient original , mais à aucun prix je ne veux divulgâcher cette passionnante BD , alors croyez moi sur paroles en tant qu' amateur de BD et de mon pote Sherlock foncez ( mais c est vous qui voyez bien sûr )
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critiques presse (4)
Sceneario
03 août 2022
On aurait peut-être souhaité que cela soit davantage développé, mais ne boudons pas notre plaisir, ce volume nous réserve un bon moment de lecture, c'est le principal !
Lire la critique sur le site : Sceneario
BoDoi
29 juillet 2022
Le scénario est un plaisir d’initiés qui tient beaucoup sur le degré de familiarité avec la mythologie holmesienne. Familiarité heureusement élémentaire, mon cher Watson. Rien que ne saurait rattraper le lecteur novice avec l’aide du plus grand détective du XXIe siècle, Google, bien sûr.
Lire la critique sur le site : BoDoi
LesComics
26 juillet 2022
L’auteur britannique s’entoure des artistes brésiliens Albuquerque et Scavone pour retranscrire son œuvre. Celle-ci mêle avec brio les univers policier de Sir Arthur Conan Doyle et horrifique de H.P. Lovecraft. Un recueil tout aussi prenant et surprenant dans son déroulement que frustrant de par sa rapidité de lecture.
Lire la critique sur le site : LesComics
BDGest
19 juillet 2022
Subtil mélange de Sherlock Holmes et de Chtulhu, Une étude en émeraude est un récit court délicieux, truffé de clins d’œil et d’hommages, qui marque une entrée en matière intéressante pour Black River, dernière-née des maisons d’édition dédiées aux comics.
Lire la critique sur le site : BDGest
Citations et extraits (1) Ajouter une citation
S'il y a une chose que l'étude de l'Histoire nous a apprise, c'est que les choses peuvent toujours empirer.
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Bea Wolf raconte aux enfants une épopée glorieuse, mordante, profondément stupide et drôlement profonde." – Neil Gaiman Dessins de : Boulet Texte de : Zach Weinersmith Traducteur : Aude Pasquier
Plus d'infos : https://www.albin-michel.fr/bea-wolf-9782226479235
+ Lire la suite
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