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EAN : 9782702438459
349 pages
Le Masque (01/02/2013)
3.81/5   54 notes
Résumé :
Fitz, Deborah et Moussah forment un inséparable trio de noctambules parisiens. Et voilà Moussah en couple et amoureux. D’une mannequin, pour couronner le tout. Mais la superbe Cerise disparaît du jour au lendemain, à l’aube d’un concours qui aurait pu changer sa vie. A-t-elle décidé de tout plaquer sur un coup de tête ? À la demande de Moussah, Fitz enfile le manteau d’enquêteur qui lui va si mal. Bien sûr, les autres participantes ont tout intérêt à éliminer Cerise... >Voir plus
Que lire après Les mannequins ne sont pas des filles modèlesVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (24) Voir plus Ajouter une critique
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Mon avis : L'année dernière, j'avais lu "Les talons hauts rapprochent les filles du ciel" d'Olivier Gay et j'avais vraiment envie de retrouver les personnages car j'avais passé un très bon moment en compagnie de ce trio de pieds nickelés.

C'est un événement : Moussah est amoureux d' une pulpeuse black, mannequin de profession. Il présente Cerise Bonnétoile à Fitz et Deborah et celle ci les invite à venir la soutenir à la pré-sélection du concours Miss Podium, un concours de beauté.

Cerise passe haut la main le casting et est sélectionnée pour une semaine de stage intensif avec douze autres concurrentes et surtout en compagnie d'Aurélie, une magnifique rousse incendiaire dont Fitz tombe éperdument amoureux au premier coup d'oeil.

Quelques jours avant le stage Cerise disparaît, Moussah fou de douleur part à sa recherche et entraîne nos héros dans une chevauchée fantastique.

Un chouette trio de trublions qui compense toujours une intrigue un peu poussive. C'est une véritable bouffée d'oxygène de retrouver Fitz, Deborah et Moussah, on rit avec cet humour assez caustique et décalé.

Fitz et ses deux compères sont une véritable farce à eux seuls ; attention les anti-héros sont de sortie mais seulement cette fois ci, ils feraient bien de se méfier pour ne pas y laisser des dents.

J'ai trouvé ce deuxième tome bien meilleur que le premier, je me suis régalée. J'aime bien la façon qu'a Olivier Gay de transformer ses romans en pièce de théâtre.

Il faut vraiment faire connaissance avec nos clubbeurs, sniffeurs, branleurs, looseurs des nuits parisiennes et ne pas trop s'attacher à l'enquête même si je ne m'attendais pas du tout à cette fin. Une véritable surprise.

J'ai commandé le troisième roman, il me tarde de recevoir "Mais je fais quoi du corps ?"
Lien : http://lisalor.loulou.over-b..
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J'ai moins apprécié ce tome par rapport au premier, même si il était tout aussi fun et déjanté.

Le nouvelle copine de Moussah, l'ami de Fitz est une mannequin qui rêve de gloire. Mais alors qu'elle participe au plus grand concours de sa carrière, elle disparaît mystérieusement.
Stress? Enlèvement? Evidemment Fitz et sa bande ne peuvent décidément pas laisser passer ça ...

En fait mon principal reproche a été le fait qu'il n'y ai pas vraiment d'enquête. Tout le roman n'est qu'une succession de moments ou ils cherchent, puis ils arrêtent, puis ils reprennent, sans rien trouver ... avant la toute fin.

A la fin j'avais l'impression que l'enquête avait à peine avancé et j'attendais une avancée. du coup j'ai été un peu déçue.

Mais ceci dit, l'ambiance est toujours aussi sympa, avec ce groupe de losers au grands coeurs qui essayent de faire bien en ne réussissant rien.
Et la fin est vraiment bien trouvée ! Je n'aurais jamais pu imaginer ça, ça c'est sur.

Au final j'ai tout de même bien apprécié ma lecture malgré tout, et je lirais la suite.

15/20
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C'est que j'y prendrai gout aux polars. J'avais passé une excellent moment avec "les talons hauts" en me disant qu'à l'occasion je lirai les autres tomes et puis l'occasion je l'ai provoquée bien plus tôt que prévue.

Fitz n'a pas eu le temps de me manquer et pourtant j'étais déjà contente de le retrouver. Une lecture pleine de bonne humeur grâce à des personnages plein de fraîcheur, de naturel, des réparties qui fusent, des réflexions d'un autre monde. Je ne compte pas mes rires tellement j'en ai eu souvent, mais qu'est-ce que ça fait du bien, même si parfois je maudissais Olivier de me mettre des chansons pourries dans la tête grrr. Les petits clins d'oeil au premier tome, comme à lui même sont assez sympas à lire aussi. Il y a de la spontanéité dans l'écriture et ça rend la lecture tellement plus fun.

L'enquête est encore une fois prenante, on passe de fausses révélations à fausses révélations et on ne découvre le "coupable" qu'à la fin, surprenant jusqu'au dernier moment. J'avoue que je prend un malin plaisir à voir Fitz dans le pétrin, on passe de "non mais comment il a fait pour se retrouver là dedans?" à des "rolala mais comment il va se sortir de là maintenant?". le trio qu'il forme avec Moussah et Deborah est extraordinaire, ils sont en décalage complet avec la réalité des fois mais ça fait leur charme, ils sont complémentaires, c'est une amitié pas commune mais au combien attachante et vraiment je les adore.

J'ai déjà hâte de les retrouver dans les prochains tomes.
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Les mannequins ne sont pas des filles modèles” est un roman agréable car le style est accessible et fluide, les péripéties s'enchaînent tranquillement, et enfin les personnages sont amusants et sympathiques (bien que très très peu fouillés pour les copains du héros ce qui les fait être des faire-valoir – d'ailleurs Moussah ne sert un peu à rien [ou juste à la fin] pourtant c'est lui le principal intéressé par la disparition, non ?).

J'ai quand même failli lâcher la lecture au début, car c'était tellement facile, tranquille, que c'en était ennuyeux. Toutefois l'envie de savoir le nom du coupable m'a fait patienter quelques pages et enfin ! Ça se précipite vers la fin et on rit de tout ce tohu-bohu (peut-être que ce n'était pas le but mais ça m'a beaucoup fait rire) et notre attention s'aiguise de lignes en lignes...
N'empêche ça ne me me donne pas plus envie de suivre une autre aventure de Fitz. Dommage car je perçois quelque chose sous sa carapace de clubber, dommage car le ton du roman (jubilatoire, amusant, agressif, moderne, sens dessus-dessous) m'amuse et me plaît bien. Mais il n'y a pas la petite chose en plus qui me fait sauter le pas, ça reste un moment de détente, un moment de lecture assez plat.
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Revoilà Fitz et ses amis pour une nouvelle "enquête". Je mets délibérément ce mot entre guillemets car aucun des trois n'a la stature d'un détective privé ou l'étoffe d'un héros. Ils font des recherches avec les moyens du bord, trouvent ou échouent, mais à chaque fois commettent des gaffes ou partent sur des mauvaises pistes assez évidentes. On est loin des fins limiers qui flairent le tueur dès le début de leurs investigations grâce à leur instinct et qui le traquent jusqu'à l'ultime ligne du bouquin. J'avais déjà apprécié la première apparition du trio dans Les talons hauts rapprochent les filles du ciel -Olivier Gay a de l'inspiration également pour ses titres- et je renouvelle mon plaisir avec cette deuxième aventure -et sans doute pas la dernière, quelques indices laissant penser à une (ou des) suites. Chouette !.
Fitz étant un dragueur, un homme à filles, superficiel et fier de l'être, il est ravi de pouvoir assister aux répétitions du show des mannequins pour glaner des informations. Il réussit à assouvir le fantasme des hommes : être entouré d'une trentaine de filles toutes plus belles les unes que les autres. Il est dans son élément, drague, profite de la vue et des atours visibles des filles. Mais Aurélie, sa nouvelle conquête guette, de même que l'organisateur du spectacle, Nathan, qui le cerne très vite
Voilà, c'est ça Fitz, ce talent naturel et un dilettantisme évident. Il ne fait rien à fond : ne s'engage jamais vraiment dans une relation, ne vend de la drogue que pour se payer son studio aux Champs-Élysées et pour les faux-frais, commence une enquête mais la stoppe dès les premiers obstacles, ... Un mec quoi, me diront quelques unes des filles -non, pas toutes ?- qui me lisent de temps en temps. Il est humain quoi ! Donc crédible.
Dans la forme, Olivier Gay ne change pas -il aurait tort d'ailleurs-, toujours le même ton : humour et dérision -voire même auto-dérision-, situations à peine réalistes ou pour le moins pas sérieuses dans le genre polar. Il se moque gentiment des jet-setteurs, des gens de la nuit, mais aussi des mannequins, des truands, en fait de tout le monde. Rien de bien méchant, juste une ou deux saillies
Ça me rappelle certains livres de la collection jaune du masque que je lisais lorsque j'étais plus jeune, certains Exbrayat par exemple : une intrigue, des personnages sympas, de l'humour, un cocktail pas trop fort, on peut en prendre deux ou trois à la suite (donc si vous n'avez pas encore lu Les talons hauts..., n'hésitez pas, puis enchaînez avec Les mannequins...), qu'on apprécie sur le moment et dont on garde le goût en mémoire avec grand bonheur. Dès qu'il est passé au shaker de l'écrivain puis à celui de l'éditeur, j'en reprendrai bien un troisième moi !
Lien : http://www.lyvres.over-blog...
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Citations et extraits (22) Voir plus Ajouter une citation
Quand on a vu une chorégraphie on les a toutes vue. Après tout, il ne s'agit que de suivre des mouvements en rythme, en tentant de se montrer le plus sensuel possible. N'importe qui en était capable. Pas moi, mais c'était dû à une déficience naturelle à la naissance qui m'avait laissé avec le sens du tempo d'une épagneul atrophié.
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Tu sais, trente ans de mariage, ce n'est pas quelque chose de facile. Comme dans tous les couples, comme au vélo, il y a des côtes, des descentes et des plats. Mais c'est les plats qui finissent pas nous épuiser. Tout doucement, insidieusement, on finit par perdre le désir, le plaisir de voir l'autre. Ce n'est plus de l'amour mais de la colocation. On s'ennuie, on se lasse, c'est humain. p.285
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"Tu sais quoi, Mouss, les filles, c'est comme la vodka."
Il me regarda stupidement, le regard encore embrumé de sommeil.
- Quoi, c'est des patates fermentées ?
- Non, mais ça donne vraiment mal au crâne le matin.
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Je composai le code, puis montai au quatrième. J'étais beau comme un abricot, sensuel comme un pêche melba, fier comme un paon, excité comme une comparaison qui ne me venait pas à l'esprit.
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Un mètre quatre-vingt, un visage d'ange, des côtes saillantes ? Si elle n'était pas mannequin, elle revenait d'un séjour sportif au Darfour.
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