Un très bon polar.
L'auteur nous emmène au coeur de la culture basque.
Plusieurs jeunes hommes sont retrouvés successivement noyés. Ils étaient tous bascophones. Leur attachement à la culture basque seble être le point commun des victimes.
Gotzon Peyrat, basque lui aussi a été celui qui a découvert le premier noyé.
Interrogé par la police et potentiel suspect, il s'intéresse de près à l'enquête.
Petit à petit, au fil des morts, Gotzon va se trouver mélé à l'enquête.
Une enigme subtile, des dialogues savoureux entre Gotzon et le commissaire chargé de l'enquête. Gotzon est un ardent défenseur de l'imparfait du subjonctif et ne se prive pas de reprendre ses interlocuteurs lorsque le temps grammatical employé est erroné.
Le tension monte progressivement et les ressorts de l'intrigue sont plutôt bien construits.
Un auteur que je découvre avec plaisir et dont je pense je lirai d'autres ouvrages.
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#eugènegreen #langues #cultureprime
"De même qu'il faut protéger la terre, il faut protéger toutes les langues. Pas protéger dans un sens de les isoler mais au contraire il faut les faire rentrer dans la vie puisqu'elles constituent une part très importante de la vie." C'est ce que défend le cinéaste Eugène Green qui à l'occasion de la sortie de son dernier film, "Atarrabi et Mikelats", nous livre une tribune pour la défense des langues régionales.
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