« À quelques reprises, j'ai tenté d'aborder le sujet avec ma mère, mais aussitôt qu'il est question de sexualité, elle devient presque enragée et me rabroue. Sans même prendre le temps de m'écouter, elle me taxe de vicieuse. - T'as pas honte de m'parler d'ces cochonneries-là, espèce de salope. Meurtrie, je recule, révoltée par la pensée que mon amour pour Irène soit considéré comme une saloperie. Me sentant méprisée, mal aimée et incomprise, je me replie sur moi-même. »
« On m’avait élevée à attendre le prince charmant, mais c’est une princesse charmante que j’attendais. »