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Bleach tome 1 sur 74

Kodachiko Kureru (Traducteur)
EAN : 9782723442275
192 pages
Glénat (01/07/2003)
4.04/5   396 notes
Résumé :
Adolescent de quinze ans, Ichigo Kurosaki possède un don particulier : celui de voir les esprits. Un jour, il croise la route d'une belle shinigami (un être spirituel) en train de pourchasser une "âme perdue", un esprit maléfique qui hante notre monde et n'arrive pas à trouver le repos. Mise en difficulté par son ennemi, la jeune fille décide alors de prêter une partie de ses pouvoirs à Ichigo, mais ce dernier hérite finalement de toute la puissance de la shinigami.... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (39) Voir plus Ajouter une critique
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Je suis bien embêté pour parler de "Bleach", car si globalement j’ai trouvé cela très sympa pour un début de manga, force a été pour moi de constater que les bonnes qualités côtoient pas mal de défauts/limitations… Faute d’intrigue principale clairement identifiée, va-t-on vers un bon shonen nekkestu des familles ou un shonen maintream à rallonge où à chaque arc on recommence exactement la même chose que dans l’arc précédent ?


Ichigo Kurosaki est un adolescent qui peut voir les esprits (archétype désormais classique de la plupart des shonen de type fantastique), mais par un concours de circonstance il se retrouve doté des pouvoirs de la shinigami Rukia Kuchiki âgée de 700 ans et c’est à sa place qu’il va devoir guider les gentils fantômes vers le Soul Society et envoyer les méchants fantômes en enfer (les Hollows, équivalent des traditionnels yokai dans l’univers crée par l’auteur).
C’est basique, c’est classique mais c’est solide ! La série ne vise pas l’originalité et s’en moque royalement car à bien des égards Tite Kubo rafraîchit, modernise et améliore le mythe du chasseur de yokai avec au départ des tomes bien écrits car bien remplis et bien rythmés sans être précipités. Mais les éléments fantastiques du manga ne cessent de se contredire, et j’ai vite compris pourquoi : on reprend à la fois "Yuyu Hakusho", où les instances célestes voulaient empêcher les démons de venir semer la destruction dans le monde des humains, et d’"Ushio et Tora", où les autorités spirituelles voulaient empêcher les âmes dévoyées de se transformer en démons destructeurs (donc j’imagine que par la suite, comme dans ces 2 mangas, on verra qu’il y a quelque chose de pourri au royaume de la Soul Society ^^). Le manga recycle ces 2 grands classiques des années 1990, sauf que leurs backgrounds ne sont pas compatibles sans un effort de worlbuilding qu’il a pu ou voulu faire d’où les incohérences qui apparaissent de ci de là.
J’ai bien aimé le côté "Men In Black" du manga, et le duo Ichiro / Rukia marche à merveille (même s’il emprunte initialement au duo Yusuke / Botan de "Yuyu Hakusho"). Rukia squatte la chambre d’Ichiro (au plutôt son placard ^^), Rukia le suit comme son ombre au lycée… Mais cela aurait été gentil d’expliquer cette histoire de gant magique qui permet en frappant Ichiro à la tête de le faire passer en mode samouraï du monde des esprit (même si je sais bien que cette dissociation corps / esprit est là pour amener des quiproquos marrant).
C’est vraiment dommage de ne pas avoir davantage travaillé sur le duo (et d’éliminer quelques bonnes vieilles incohérence des familles : je ne supporte pas quand une œuvre contredit les règles qu’elle vient juste d’édicter…) Personnellement, je pense qu’il y aurait eu mieux à faire s’y avait du cohabiter dans le même corps avec une Ichiro devant assumer le rôle de shinigami de Rukia en ne sachant rien du monde des esprits, et Rukia devant assumer le rôle de lycéen d’Ichiro en ne sachant rien du monde des ados : Cela aurait vachement bien ! (en plus le mangaka l’a fait avec Kon le temps d’un récit, donc il y avait moyen de développer le truc). Et puis on pouvait approfondir encore le truc avec Rukia ne pouvant pas ou ne voulant pas regagner la Soul Society (de peur d’être réprimandée ou humiliée), mais j’en demande sans doute trop…

Pourquoi rajouter un côté sitcom/drama familial pour ne pas en faire grande chose ? Dès qu’on aborde le sujet, tout le monde semble passer en mode cabotinage. C’est con, il y avait mieux à faire avec un père veuf dépassé par ses responsabilité, un grand frère endossant le rôle de sa mère, et deux petites sœurs craignant de se le faire piquer et de le voir voler ses propres ailes en dehors du cercle familial.
Pourquoi rajouter un côté school life pour ne pas en faire grande chose ? Dès qu’on aborde le sujet, tout le monde semble passer en mode cabotinage. Et puis pas super discrets du tout les archétypes de la séductrice lesbienne et du bon copain otomen… Et ne parle même d’Orihime Inoue et Tatsuki Arisawa qui sont un gros plagiat des personnages féminins d’"Ushio et Tora", Mayuko Inoue et Asako Nakamura … Par contre pas de fanservice relou pour otaku, et ça c’est bien, mise à part la copine pas très maline d’Ichiro qui est qualifiée de « beauté à grosse poitrine » (peut-être un clin d’œil à Tomoko Nomura de "GTO" ^^).
D’un autre côté avec des shinigami habillés et équipés comme des samouraïs, je devais bien me douter qu’on irait vers un shonen à bastons dans la plus grande tradition… Et après tout c’est peut-être très bien ainsi car les combats sont cool (à condition de ne pas lire les dialogues principalement faits de « je vais te bouffer connard » / « non, c’est moi qui vais te trucider salopard »… j’ose espérer que le niveau est plus relevé en VO).

J’aime bien le style graphique du mangaka : c’est clair, c’est fluide, c’est dynamique. Le découpage sent la maîtrise et il pioche vachement bien dans la boîte à outils du dessinateur de shonens (bravo pour l’utilisation des lignes de vitesse !). Son charadesign est plutôt simple mais très efficace, et on s’attache assez vite à toutes ses créations. Et puis j’adore comment d’un seul trait Ichiro passe de looser à héros, ou Rukia de rassurante à inquiétante…
Sauf que ne n’accroche pas du tout au look vidéoludique des ses monstres, qui pour moi finisse par avoir des airs de pokémons/digimons chelou et sinistres.
Sauf que n’ai pas compris pourquoi des arrière-plans étaient trop souvent désespérément vides alors qu’il a du talent… Pour dessiner aussi vite qu’Eiichiro Oda ou pour gratter de l’argent sur le dos de ses assistants ? Mystère…

Et pour finir, GROS point noir :
Sérieux, j’en ai archimarre que Glénat laisse sévir le dénommé Bakayaro ! (qui en japonais veut dire « gros connard débile » donc tout un programme). Ce mec sabote peu ou prou la plupart les mangas qu’il touche avec un traitement des onomatopées parfois digne d’un kikoo de 7 ans… Bon, il s’est un peu calmé depuis qu’il a ruiné "Dragon Ball" et "Kenshin le vagabond" à la fin des années 1990. Mais c’est un fils-à-papa intouchable ou quoi ? Cela fait 20 ans qu’il effectue un travail médiocre, et j’ai même arrêté des super mangas à cause de lui tellement il avait dégueulassé les planches d’excellents mangakas (voir son œuvre de destruction sur le travail d’Akira Toriyama) Vivement qu’il quitte monde de l’édition ce mec-là : je ne le regretterai pas


Ce tome 1 comprend principalement deux récits avant d’en débuter un troisième :
- dans le 1er récit fait la rencontre de Rukia et hérite de ses pouvoirs
- dans le 2e récit, Ichiro doit sauver Orihime du fantôme de son grand-frère transformé en hollow
- dans le 3e récit, Chad met la main sur un perroquet possédé par le fantôme d’un petit garçon
C’est bien fait et cela avance vite et bien ! (surtout quand Ichiro arrive à purifier l’âme de Kurosaki)
Bref un super manga shonen pour les easy readers (les hardcore readers eux se feront leur propre opinion).
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Loin d'être un adolescent ordinaire, Ichigo Kurosaki peut voir les esprits. Ce rouquin au sang chaud vit déjà dans un monde assez étrange. Mais il n'aurait pourtant jamais imaginé rencontrer un jour un Shinigami. Rukia Kuchiki arrive de son monde pour faire son boulot et éliminer un Hollow, fantôme qui a perdu son coeur et vient dévorer l'âme des humains. Mais pendant sa mission, Rukia est blessée. Elle se voit contrainte de donner une partie de ses pouvoirs à Ichigo. Sauf que le plus jeune lui prend tout ses pouvoirs et devient à son tour un Shinigami… Il semblerait que notre héros va devoir apprendre à chasser les mauvais esprits tout en continuant de vivre sa vie !

On peut dire que Bleach commence très fort avec un premier volume riche en action. Tite Kubo nous propose un shônen qui promet de nous embarquer dans une folle histoire, mêlant mystère, combat et esprits avec une petite touche d'humour tout à fait bienvenue. Quant au style des dessins du mangaka, il est très agréable à l'oeil et vient compléter l'intrigue de ce tome complet.
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Bleach Tome 1.. Ou quand tu lis le titre tu te demande mais c'est quoi cette histoire de fraises ? qu'est ce que ça vient faire là ?...

Pitch (même si je me demande si ça sert à quelque chose, vu que depuis le temps... Bleach c'est connu.. j'arrive un peu après la bataille... bref...)

Pitch:
On a Kurosaki Ichigo, un jeune ado qui a la particularité de voir des fantômes, de parler avec les fantômes.. et heu c'est un peu relou. Si quand même faut bien l'admettre, ça laisse pas beaucoup de place à l'intimité... Alors si en plus de ça y a une fille cheloue qui fait son apparition en même temps qu'une sorte de gros monstre.. là rien ne va plus...
Renseignements pris c'est une Shinigami, un dieu de la mort.. elle est plutôt choupette pour un dieux de la mort... enfin ça dépend de quoi on parle aussi...

Alors du Shonen surnaturel que je qualifierais de classique ( ou est devenu classique, suite à la profusion de shonen sorti ensuite se basant sur ce postulat, c'est que c'est devenu une référence Bleach). Classique et efficace, qui marche bien. Bon on voit bien que Kubo a aussi pioché lui-même dans des mangas déjà fait ( j'ai pensé à Yuyu Hakusho), mais je n'arrive pas à définir si c'est du plagia pur et dur, ou un hommage, ou juste de l'inspiration, voir du dépoussiérage...
Mais bon faire du neuf avec du vieux, il ne serait pas le premier, et clairement pas le dernier...

Dynamique, vivant, niveaux dessins, mise en page, découpage. Des perso avec des émotions bien visibles et de toutes sortes, et que ça se voit sur leur visage... et ça c'est bien... j'en ai un peu mare de voir des persos avec toujours les mêmes têtes à n'importe quel moment sorte de veaux dans la luzerne.. (vu certain manga que me ramène ma gamine en ce moment), et là non pas du tout ! Et c'est bien.

Je ne parlerais pas de la traduction qui me semble quand même pas terrible... parce qu'à bien des moments ça frôle quand même la pâquerette... Mais bon... ça j'en sais rien non plus... je fais avec.

Oui on va donc avoir le duo, RuKia la Shinigami (maître) qui va devoir apprendre des trucs à Ichigo (élève), mais qui est complètement à côté de la plaque pour le reste et va devenir un ressort comique.
On va avoir l'action à cause de tous ces vilains Hollow qu'il faut dézinguer.. donc de la baston pleine de fumée, de pouvoir et de tout un tas truc.. ( c'te classe quand il se transforme... il a la classe)
On va avoir les problèmes que tout ça cause à Ichigo dans sa vie réelle (école, potes, famille) et que c'est que le début...

Alors c'est une relecture, et je me souvenais pas que c'était aussi drôle... je me suis bien marée...

Ce que j'ai bien aimé, c'est que le manga oscille constamment entre un humour assez déjanté ( spéciale dédicace au père, il est complément secoué je l'adore !)
et le mode sérieux quant à la mort, le respects des défunts, des traditions, et le raccrochage de wagon vis-à-vis de leur coutumes, croyances, etc ( mais ça c'est dans la culture nippone de base...)
Je me doute d'ailleurs à ce niveau-là que y a plein trucs que je ne repère pas, mais qui coule de source pour un lecteur japonais...
Il sont fort à ce niveau-là, faire passer leur traditions, mythes, coutumes, et culture jusque dans les mangas (c'est d'ailleurs une des raisons pour lesquelles j'aime les manga, un merveilleux mélange ^^).


Et heu pour répondre à ma question du début, ça a rien a voir avec la choucroute, parce que si certes Ichigo (le nom du héros) peut vouloir dire fraise, il veut surtout dire
Ichi=1
C'est donc un prénom souvent donné à l'aîné, c'est le premier, donc Ichi et les fraises n'ont pas grand chose à voir.. encore un délire de traducteur sans doute.. Mais ça date un peu Bleach et je crois bien qu'à cette époque les traducteurs en avaient un peu rien à foutre de tout ça.... Mais ça me fait me poser encore plus de question sur la trad complète de ce manga...
Et puis aussi je me trompe peut-être...
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Etant fan de shôjo, je n'ai quand même pas pu résister à ce shonen qui est dans la lignée de Shaman king. Les personnages sont délirants, l'humour est garantie et les scènes de combat aussi. La psychologie des personnages n'est pas pour autant laissée pour compte. Bien au contraire. Les différentes personnalités s'affinent avec l'histoire et il est difficile, mais alors très difficile de ne pas s'attacher aux personnages.

Cette série est actuellement l'un des succès du Weekly Jump (magazine spécialisé au Japon). Cela est en grande partie dû à son originalité. L'auteur impose un rythme très particulier à son histoire et le maîtrise. le dessin est plaisant même si, encore une fois, l'originalité est présente. On remarque tout de suite le style de Tite Kubo.
L'humour est toujours présent grâce à des personnages comme Kon ou le père d'Ichigo. le scènes de combat sont un contraste fabuleux avec une impression plus noire et mature dans le dessin. Et quand au scénario en lui même, même si le sujet semble difficile à maîtriser, Kubo-senseï s'en sort avec brio.
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Bleach, c'est LA série à succès de Tite Kubo, qui un peu comme Toriyama semble avoir du mal à rebondir derrière pour proposer un nouveau titre aussi accrocheur. Il faut dire qu'après 74 tomes, ça ne doit pas être simple de sortir d'un tel univers. Il y était d'ailleurs encore plongé en plein dedans récemment avec, pour les 20 ans du manga, une exposition à Tokyo du 18 décembre 2021 au 16 janvier 2022. Il a même sorti l'an passé, en août, un chapitre spécial qui serait, selon certains fans, l'annonce d'un nouvel arc à venir après la publication de sa série actuelle : Burn the Witch. Affaire à suivre.

Moi, en tout cas, je repars du début de la série et si ce premier tome n'est clairement pas mon préféré de la série, ce fut une bonne relecture avec un premier chapitre qui frappe fort, un univers déjà original avec une belle utilisation des shinigamis et un héros bien badass, malgré un humour un peu lourd. On sent déjà bien le potentiel dramatique de la série.

Mais pour les non initiés, de quoi est-ce que ça parle ? Bleach fait partie de cette lignée de shonen manga nekketsu à l'histoire très ancré dans le cadre urbain de Tokyo (ou autre ville japonaise) au début, qui va peu à peu basculer dans le fantastique. Comme Yuyu Hakusho avec qui je vois une grosse filiation, le héros a d'importants pouvoirs psychiques, il peut voir les fantômes et leur file souvent un coup de main, mais un jour cela va dépasser le cadre de ce qu'il peut faire d'habitude et il va avoir besoin de l'aide de Rukia, une shinigami de passage, pour vaincre non pas un fantôme mais un Hollow, une âme qui a mal tourné. Pour cela, il va devoir lui emprunter ses pouvoirs et devenir à son tour un shinigami.

Le début de l'histoire est assez classique en soi mais il se dégage un truc avec ce héros très urbain, version un peu moderne et soft du loubard, avec ses cheveux oranges, son caractère explosif et sa grande gueule. Tite Kubo remplit son titre de vannes et d'humour. On sent qu'on est dans un titre qui se la joue « cool ». Ça passe ou ça casse avec le lecteur. Si je ne connaissais pas un peu la suite, je ne sais pas si ce serait passé tant j'ai trouvé la narration lourdingue de ce côté-là. de plus, le côté très formaté des premiers chapitres dû à la charte du Jump (magazine où le titre était prépublié), rend tout cela un peu rigide et répétitif.

Cependant, la série dégage aussi un joli potentiel avec ce travail sur les âmes, je me répète, comme dans les débuts de Yuyu ou de DGray-Man (son quasi contemporain). Avant Death Note, qui rendra les shinigami très célèbre, l'auteur s'intéresse déjà à cette figure du folklore japonais pour en faire le moteur de son histoire. Sans rien en connaître, on ne peut qu'être intrigué par cette « Soul Society » évoquée et par le travail des shinigami sur les âmes, fantômes ou hollow, dont on voit les prémices. Alors oui, ce premier tome est un peu léger. Il ne met pas grand-chose en place, car l'humour prend beaucoup (trop) de place, mais cela donne un début de ton et tempo.

Surtout, le trait de Tite Kubo accroche l'oeil. Il a quelque chose de très personnel dans ces visages taillés à la serpe, dans son travail sur les créatures, les Hollow, inspirés du folklore japonais mais modernisés, mais aussi sur les drapés du costume de combat des shinigami et les combats qui sont justement bien classe. C'est tape à l'oeil et ça marque. On imagine le potentiel pour un auteur qui débute presque ici, car ça faisait à peine 5 ans qu'il publiait quelques chapitres par-ci par-là.

Ce premier tome n'est peut-être pas la meilleure introduction que j'ai pu lire à un shonen d'action, mais il dégage vraiment quelque chose sous ses couches et ses couches d'humour un peu lourd. Je comprends très bien comment le lecteur à l'époque à pu découvrir et accrocher à ce concept novateur, s'il n'avait pas lu Yuyu Hakusho quelques années plus tôt, et craquer pour ces dessins classes et singuliers dans leur trait. Je vais donc poursuivre avec plaisir cette redécouverte !
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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critiques presse (1)
Telerama
22 novembre 2022
C’est aussi l’occasion de profiter de ses nombreux personnages très travaillés, entre lesquels Kubo tisse minutieusement des relations qu’il développe sur des centaines de chapitres, interrogeant à travers elles le rapport des individus à la mort et au deuil.
Lire la critique sur le site : Telerama
Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
[Rukia] Un shinigami ne doit pas faire de distinction entre les âmes à sauver ! Ne sauver que ceux qui sont à portée de la main ou même à portée du regard ne sert à rien ! Ne va pas au secours de cet enfant avec cette façon de penser ! Si tu veux le sauver, alors tu dois être prêt à devoir les sauver tous ! A aller n’importe où pour eux, et même à sacrifier ta propre vie pour les sauver !
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Que l’on meure ou que l’on vive, c’est la même chose, les deux cotés souffrent de solitude. Il faut être égoïste pour s’imaginer qu’on est le seul à souffrir.
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C'est la même chose, qu'on meure ou qu'on vive, les deux cotés souffrent de la solitude.
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- Dans ce genre de moment, il faut sauter sur l’occase, comma ça. Klak !
- Klak ?
- Ouaip ! S’il te dit « je te raccompagne ? », il faut répondre du tac au tac « Oh, oui ! », et t’accrocher à son épaule en te servant de ta douleur à la jambe comme excuse ! Ensuite, quand vous arrivez dans un endroit sans temoins, tu l’obliges à aller dans un coin sombre… ET TU LUI SAUTES DESSUS !!
- Tata-tatata-tatsukiii !
- T’inquiètes pas, avec les lolos que t’as, tu n’as qu’à guider sa main vers eux et ce sera lui qui te sauteras dessus ! Comme ça, c’est lui le responsable !
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- Donne-moi ce sabre, shinigami ! On va essayer ton pla !
- Je suis shinigami, mais j'ai un nom... C'est Rukia Kuchiki.
- Ah bon... Moi c'est Ichigo Kurosoki. Prions pour que ce salut ne soit pas... Notre dernier.
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