L'auteur qui a rendu célèbre Matt Damon dans le film "La Mémoire dans la peau"
Robert Ludlum & Brian Freeman - Philippe Vigneron (traduit par)
Collection : Suspense - Date de parution : 23/11/2023
« Freeman, auteur chevronné de thrillers, devait redonner vie à Jason Bourne. Mission accomplie ! » Booklist
Deux ans ont passé depuis que l'ex-tueur de la CIA a perdu la femme qu'il aimait lors d'une fusillade à Las Vegas.
Il a désormais quitté Treadstone, l'agence qui l'employait. Nouveaux commanditaires, nouvelle mission : découvrir les intentions de Medusa, une organisation secrète.
Mais lorsqu'un membre du Congrès est assassiné à New York, Jason Bourne est accusé du crime. Pour garder une longueur d'avance sur ses ennemis et découvrir qui l'a piégé, il fait équipe avec une journaliste, Abbey Laurent.
Une course contre la montre s'engage. Pour sauver sa peau, il n'a plus qu'une solution : infiltrer Medusa… Un Jason Bourne plus combatif et déterminé que jamais !
BIOGRAPHIE :
Disparu en 2001, Robert Ludlum, le célèbre auteur de thrillers, n'a rédigé que les trois premiers épisodes de la série. Désormais, Brian Freeman, auteur de 20 suspenses, traduits en 22 langues, apporte sa plume vigoureuse à cette franchise mettant en scène Jason Bourne, immortalisé au cinéma par Matt Damon.
https://www.lisez.com/livre-grand-format/jason-bourne-la-mutation-dans-la-peau/9782809847321
Robert LudlumKyle MillsCovert-One / Réseau bouclier tome 8 sur 12
/5 27 notes
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Résumé :
Dans le nord de l'Ouganda, une unité spéciale des forces américaines est exterminée par de paisibles villageois, soudain assoiffés de sang et animés d'une force surhumaine qui les rend insensibles à la douleur, aux blessures et à la peur. Seul le chef des opérations, le lieutenant Craig Rivera, parvient à échapper à cette horde enragée…
Le colonel Jonathan Smith, le microbiologiste de la très secrète organisation Covert-One, est dépêché sur les lieux ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (3)
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Opération Arès , encore un manuscrit inachevé de l'auteur à succès Robert Ludlum. Aussi
depuis sa mort un certain nombre d'auteurs se chargent d'achever et de mettre au goût du jour des manuscrits non encore publiés de Robert Ludlum. Kyles Mills fait partie des écrivains de thriller qui se sont essayés à l'exercice. Et il le fait plutôt avec brio
Mais alors que nous raconte cette « Opération Arès »
Microbiologiste au sein de l'unité secrète Covert-One, le colonel Jon Smith est envoyé dans le nord de l'Ouganda, où une unité spéciale des forces américaines a été décimée par de paisibles villageois soudain assoiffés de sang et animés d'une force surhumaine. Il s'agit d'une infection parasitaire, apparue sporadiquement au fil des siècles, mais transformée en une épidémie fort peu naturelle...
Un thriller à l'américaine comme on les aime. Actions, rebondissements et angoisses sont au programme. La lecture est addictive, ça fonctionne plutôt bien et en passe un bon moment et il est fort à parier que l'on retrouvera le colonel Jon Smith, de l'unité Covert-One dans d'autres aventures dès lors
Lien : https://collectifpolar.com/
depuis sa mort un certain nombre d'auteurs se chargent d'achever et de mettre au goût du jour des manuscrits non encore publiés de Robert Ludlum. Kyles Mills fait partie des écrivains de thriller qui se sont essayés à l'exercice. Et il le fait plutôt avec brio
Mais alors que nous raconte cette « Opération Arès »
Microbiologiste au sein de l'unité secrète Covert-One, le colonel Jon Smith est envoyé dans le nord de l'Ouganda, où une unité spéciale des forces américaines a été décimée par de paisibles villageois soudain assoiffés de sang et animés d'une force surhumaine. Il s'agit d'une infection parasitaire, apparue sporadiquement au fil des siècles, mais transformée en une épidémie fort peu naturelle...
Un thriller à l'américaine comme on les aime. Actions, rebondissements et angoisses sont au programme. La lecture est addictive, ça fonctionne plutôt bien et en passe un bon moment et il est fort à parier que l'on retrouvera le colonel Jon Smith, de l'unité Covert-One dans d'autres aventures dès lors
Lien : https://collectifpolar.com/
Très bon scénario mais aurait gagné en intensité en supprimant 1 ou 2 sous-aventures de nos héros américains.
Je trouve qu'il est bien un des descendant de ludlum.
Citations et extraits (29)
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LE DOCTEUR SARIE VAN KEUREN RETIRA sa main en grimaçant. Elle venait de saisir une branche épineuse par inadvertance. Il n’était pas tombé une goutte de pluie depuis des semaines. La terre assoiffée de la pente qu’elle gravissait soutenait difficilement ses cinquante-quatre kilos.
Ignorant le sang qui roulait sur sa paume moite, elle se hissa tant bien que mal jusqu’à la caméra vidéo posée sur un pied, au sommet de la butte.
D’un souffle, elle fit voler la poussière qui salissait l’objectif puis se retourna vers le buisson feuillu sur lequel la caméra était braquée. Malgré la clarté du soleil africain, elle mit quelques secondes à repérer la bestiole qui l’intéressait, perdue au milieu des feuilles et des baies. Une fourmi détachée de sa colonie.
Normalement, les individus de cette espèce étaient des fouisseurs de couleur noire et de taille modeste. Pas celle-ci. Depuis qu’elle était habitée par un minuscule parasite, son aspect et son comportement avaient changé. Son abdomen, gonflé et rouge vif, imitait à merveille les baies qui l’entouraient. Pire encore, le parasite ayant affecté son cerveau, la fourmi agissait bizarrement. Elle avait grimpé tout en haut du buisson, mordu dans une tige et elle était restée coincée là, à exhiber son gros ventre vermeil.
Ignorant le sang qui roulait sur sa paume moite, elle se hissa tant bien que mal jusqu’à la caméra vidéo posée sur un pied, au sommet de la butte.
D’un souffle, elle fit voler la poussière qui salissait l’objectif puis se retourna vers le buisson feuillu sur lequel la caméra était braquée. Malgré la clarté du soleil africain, elle mit quelques secondes à repérer la bestiole qui l’intéressait, perdue au milieu des feuilles et des baies. Une fourmi détachée de sa colonie.
Normalement, les individus de cette espèce étaient des fouisseurs de couleur noire et de taille modeste. Pas celle-ci. Depuis qu’elle était habitée par un minuscule parasite, son aspect et son comportement avaient changé. Son abdomen, gonflé et rouge vif, imitait à merveille les baies qui l’entouraient. Pire encore, le parasite ayant affecté son cerveau, la fourmi agissait bizarrement. Elle avait grimpé tout en haut du buisson, mordu dans une tige et elle était restée coincée là, à exhiber son gros ventre vermeil.
On frappa discrètement à la porte. Le capitaine qui entra fut gratifié par son supérieur d’un regard empreint de reconnaissance.
« La transmission fonctionne, messieurs. Veuillez me suivre, je vous prie. »
Le centre de contrôle était enfoui dans les profondeurs d’une carrière – un espace restreint, conçu pour surveiller des événements qui n’étaient censés paraître dans aucun journal.
Les deux femmes assises devant les consoles informatiques sophistiquées se levèrent d’un bond quand l’amiral et son hôte ougandais entrèrent. Un geste signifiant repos leur fit réintégrer leurs sièges.
« Ce sont des vues prises par vos soldats ? » demanda Sembutu en désignant les cinq moniteurs allumés dont chacun projetait une lueur verdâtre. Des images embrumées de la jungle africaine défilaient lentement sur les écrans.
« Chaque commando est équipé d’une caméra accrochée à son uniforme. Ces images nous parviennent par satellite », expliqua Kaye.
Pendant que Sembutu s’approchait pour déchiffrer les noms des soldats griffonnés au bas de chaque moniteur, Kaye composa un numéro sur une ligne sécurisée.
« La transmission fonctionne, messieurs. Veuillez me suivre, je vous prie. »
Le centre de contrôle était enfoui dans les profondeurs d’une carrière – un espace restreint, conçu pour surveiller des événements qui n’étaient censés paraître dans aucun journal.
Les deux femmes assises devant les consoles informatiques sophistiquées se levèrent d’un bond quand l’amiral et son hôte ougandais entrèrent. Un geste signifiant repos leur fit réintégrer leurs sièges.
« Ce sont des vues prises par vos soldats ? » demanda Sembutu en désignant les cinq moniteurs allumés dont chacun projetait une lueur verdâtre. Des images embrumées de la jungle africaine défilaient lentement sur les écrans.
« Chaque commando est équipé d’une caméra accrochée à son uniforme. Ces images nous parviennent par satellite », expliqua Kaye.
Pendant que Sembutu s’approchait pour déchiffrer les noms des soldats griffonnés au bas de chaque moniteur, Kaye composa un numéro sur une ligne sécurisée.
Rivera leva le poing, s’accroupit et tourna le canon de son AK vers l’éclair fauve qui venait de scintiller entre les arbres. Derrière lui, il n’entendait rien mais savait que ses hommes se déployaient en dispositif de défense.
Allongé sur le ventre, il se mit à ramper, contrôlant son souffle et ses gestes pour ne pas agiter les buissons. Il lui fallut plus de cinq minutes pour parcourir vingt mètres. Finalement la jungle s’éclaircit. Il émergea aux abords d’un petit village.
Tout avait brûlé, hormis le mur en paille tressée de la hutte qui se dressait devant lui. Des cadavres calcinés s’entassaient, impossible de les dénombrer avec précision tant ils étaient entremêlés. Quarante, peut-être. Les infos étaient exactes. C’était bien le pays de Bahame.
Un grognement étouffé retentit dans son dos, puis un bruit sourd, comme celui d’un corps heurtant le sol. En jurant entre ses dents, il pivota sur lui-même, le doigt sur la détente.
Allongé sur le ventre, il se mit à ramper, contrôlant son souffle et ses gestes pour ne pas agiter les buissons. Il lui fallut plus de cinq minutes pour parcourir vingt mètres. Finalement la jungle s’éclaircit. Il émergea aux abords d’un petit village.
Tout avait brûlé, hormis le mur en paille tressée de la hutte qui se dressait devant lui. Des cadavres calcinés s’entassaient, impossible de les dénombrer avec précision tant ils étaient entremêlés. Quarante, peut-être. Les infos étaient exactes. C’était bien le pays de Bahame.
Un grognement étouffé retentit dans son dos, puis un bruit sourd, comme celui d’un corps heurtant le sol. En jurant entre ses dents, il pivota sur lui-même, le doigt sur la détente.
À chaque sonnerie, il sentait croître son malaise. Pour lui, la violence était la condition naturelle de l’Afrique – dans ces pays, ce n’était pas la guerre qui éclatait de manière sporadique, mais la paix. Envoyer ses gars régler une situation qu’ils ne maîtrisaient pas totalement et qui, à son avis, ne concernait nullement l’Amérique, lui rappelait trop la Somalie. Mais il n’avait pas son mot à dire. La présente mission n’avait rien de commun avec ces opérations insensées issues du cerveau enfiévré d’un quelconque décideur planqué au fond du Pentagone. Vraiment rien.
Après un léger déclic, la voix inimitable de Sam Adams Castilla retentit.
« Oui, amiral ?
– Ils ont pris contact. Ils avancent.
– Aucun blessé à déplorer durant le saut ?
– Non, monsieur le Président. Pour l’instant, tout se passe comme prévu. »
Après un léger déclic, la voix inimitable de Sam Adams Castilla retentit.
« Oui, amiral ?
– Ils ont pris contact. Ils avancent.
– Aucun blessé à déplorer durant le saut ?
– Non, monsieur le Président. Pour l’instant, tout se passe comme prévu. »
Charles Sembutu cracha la fumée d’un cigare tiré de la réserve particulière de l’amiral Jamison Kaye et se remit à pontifier sur la dette morale que le monde avait contractée envers le pays qu’il gouvernait.
Kaye demeurait impassible. À force de travail sur lui-même, il avait acquis le talent de cacher son mépris envers les politiciens. Il avait grandi dans une famille de fermiers du Kentucky sans le sou. Ces gens n’avaient jamais demandé d’aide à personne, même dans les pires moments. Quand il était enfant, son vieux briscard de père lui avait répété jusqu’à plus soif qu’on ne devait compter que sur soi-même. Soit on s’en sortait tout seul, soit on restait dans sa merde.
« Vous saisissez donc l’importance de notre action, amiral. Vous mesurez l’ampleur de la menace.
– Oui, monsieur le Président. »
Kaye demeurait impassible. À force de travail sur lui-même, il avait acquis le talent de cacher son mépris envers les politiciens. Il avait grandi dans une famille de fermiers du Kentucky sans le sou. Ces gens n’avaient jamais demandé d’aide à personne, même dans les pires moments. Quand il était enfant, son vieux briscard de père lui avait répété jusqu’à plus soif qu’on ne devait compter que sur soi-même. Soit on s’en sortait tout seul, soit on restait dans sa merde.
« Vous saisissez donc l’importance de notre action, amiral. Vous mesurez l’ampleur de la menace.
– Oui, monsieur le Président. »
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Au début du roman, combien de temps Jason Bourne reste-t-il chez le docteur Geoffrey Washburn ?
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