AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

Christopher Wahamaki (Autre)
EAN : 9782957265916
182 pages
Editions Anti-spleen (06/06/2020)
3.92/5   33 notes
Résumé :
Ce livre est réservé à un public averti

La veille d’Halloween, Nézi et ses copains oublient leurs misères en se défonçant dans des clubs, tout en écoutant de la Hard Techno jusqu’à pas d’heure. Quand se présente l’opportunité d’un cambriolage, ces éternels fauchés imaginent un plan de rêve qui changera leur vie... Mais ils sont très loin de se douter de ce qui les attend, entre les murs de cette villa isolée... Dans la campagne profonde, les monstres ... >Voir plus
Que lire après Tout est mal qui finit pireVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (18) Voir plus Ajouter une critique
3,92

sur 33 notes
5
12 avis
4
4 avis
3
0 avis
2
0 avis
1
0 avis
Voici un titre qui tient toutes ses promesses.....

* A SAVOIR
- paru en juin 2020 , aux éditions , 117 pages ( considéré comme une black novella) , 9,99 euros
- one shot
- romans du même auteur : L'ogre ( quadrilogie prévue par l'auteur autour de ce personnage) dont j'ai fait un retour, et le secret de HP lovevraft qui vient tout juste de sortir

*CA DONNE QUOI ?
Chose que je n'avais encore jamais vu sur de mes lectures , Il est indiqué sur la 4eme de couv que ce livre est réservé à un public averti…et c'est vraiment un sage conseil . Il en faut beaucoup pour me dégôuter mais la quand même ce bouquin est vraiment trash par moments (surtout seconde moitié du livre ) , tout comme l'Ogre a pu l'être d'ailleurs . Ca ressemble pas mal à l'Ogre : c'est sombre ( noir +++) , glauque et sordide, révoltant, cynique , on retrouve au départ une histoire de pote pour qui ca va vraiment chauffer …
On retrouve donc une bande d'amis qui ont une vie très compliquée et notamment des histoires familiales très traumatiques ( et il a de l'imagination en la matière l'auteur) , parfois excessivement, , qui pour survivre ou plutôt essayer de survivre, se droguent et vont vouloir se faire un max d'argent facile pour améliorer leurs ordinaires . Et comme dans l'ogre , ils vont se faire piéger ( bien mal acquis ne profite jamais… )
Dans le même temps, il y a des disparitions d'enfants dans le coin …
Déjà , la maison de rêve qu'ils vont « déménager » va leur révéler bien des surprises, et en premier lieu une décoration d'un genre très très spécial ( alors ceux qui trouvent que valérie damidot a des gouts de chiottes vont surement réviser leurs jugements) …et ils vont voir ce qu'ils n'auraient jamais du voir
Alors comme dans l'ogre, Louis de Mauboy est très doué pour nous décrire l'horreur tant son imagination en a la matière est fertile (il lui en restait sous le pied avec l'Ogre) . . Toutes ces violences et ces horreurs vont vite s'enchainer , parfois trop vite , mais format de nouvelle oblige .
Comme dans l'ogre j'ai trouvé les personnages un peu caricaturaux, et également qu'il y avait un peu trop d'accumulation de misères ( .. même si je ne suis pas fan du tout le monde il est beau tout le monde il est gentil et des excès de bons sentiments ) , mais sur ce point je pense que j'aurais dû espacer le temps entre la lecture de l'ogre et celle- ci, le temps de digérer le premier . Concernant le vocabulaire qui va surement en dérangé plus d'un, l'auteur explique au début du livre son désir d'adapter le vocabulaire à ses personnages, donc on est prévenu .
L'action, bien qu' un peu trop longue a démarrer à mon gout, est rythmée grâce a des chapitres courts ( voir très très courts pour certains) , et j'ai bien aimé le fait que chaque chapitre nous fasse rentrer dans la peau d'un personnage .
Toutefois, au milieu de toute cette noirceur , j'ai parfois souri ( l'anecdote sur le prénom tcheuk j'ai vraiment adoré ) .
Si j'ai préféré l'Ogre ( dont je lirai la suite ) , je vous conseille cette lecture qui assume son côté sombre ,très sombre qui est bien écrit , vitaminé, angoissant et qui vous fera passer un bon moment de lecture (quand vous savez à quoi vous attendre) , car quoi qu'on en dise, cet auteur OSE . J'aurais apprécié avoir sous la main un oui oui ou un petit ours brun pour me remonter le moral moi après cette lecture 😂

Commenter  J’apprécie          30
J'avais beaucoup aimé le roman "L'Ogre" de l'auteur, c'est donc avec grand plaisir que j'ai accepté de lire la première version de cette novella, dans les coulisses de sa conception, il y a quelques semaines. Si je viens vous en parler aujourd'hui c'est parce que j'ai aussi pris le temps d'en (re)lire la version définitive, après remaniements et ajouts de Louis.

Comme lors de ma première lecture, j'ai vraiment apprécié la plume. Elle se veut précise et parfaitement adaptée à son récit. le vocabulaire est choisi avec soin et tout du long j'ai été embarquée par le soin apporté au phrasé. C'est un point que Louis a vraiment travaillé pour offrir au lecteur dans ce roman choral une immersion des plus parfaites. Les dialogues sont vivants, crédibles et renforcent le réalisme. On se sent là-bas, on se glisse carrément dans la peau des personnages, on ne fait plus qu'un avec ces jeunes. On se retrouve plongé dans le monde de la toxicomanie et de leur quotidien

Si vous avez l'habitude de me suivre et de lire mes chroniques, vous savez que je lis de l'horreur, mais avec parcimonie. Pas parce que je n'en suis pas friande mais plutôt parce que je suis très exigeante avec ce genre. Je déteste le gore pour le gore. Il faut absolument que le dosage soit irréprochable et surtout que les scènes qui nous amènent au bord de la nausée existent pour une seule bonne raison : celle de servir l'intrigue et de faire vibrer le lecteur sans exagération gratuite. Et c'est sur ce point particulièrement que je veux féliciter Louis car ici il nous sert un récit époustouflant, sans jamais tomber dans l'outrance. Il y a une véritable intrigue qui nous tient en haleine, il y a aussi toute cette bande de jeunes attachante faite de personnages travaillés et construits comme il se doit, et il y a... énormément d'émotions. On passe de l'empathie à l'horreur en quelques mots, en quelques pages et j'ai adoré ça. C'est incontestablement un genre qu'il maîtrise et c'est pour cela que je vous invite à découvrir cette histoire. On sent qu'il y met toutes ses tripes, on découvre aussi beaucoup de connaissances, de références, glissées judicieusement pour en faire une intrigue intelligente. J'ai également fort aimé les petits clins d'oeil en rapport avec "L'Ogre".

Le déroulement de l'histoire est fluide, on est pris au jeu de l'horreur qui monte crescendo et on reste assez ahuri par la curiosité malsaine qui nous habite. La tension dramatique se montre admirable. La mise en place peut sembler un peu longue, on se demande quand la frontière vers le Mal va être franchie mais la présentation complète, précise, détaillée se veut nécessaire pour amener les personnages et attiser la curiosité du lecteur. Quand arrive le cambriolage, on a le coeur à 100 à l'heure, on sait qu'on est lancé dans un monde de violence et de cruauté ! Les descriptions sont époustouflantes et les scènes choc criantes de vérité sombre...
On se régale de leurs noires péripéties et les thèmes bien présentés sont exploités avec brio (je n'en dis pas plus pour ne pas spoiler), je vous laisse l'entière découverte.

Arrivé au dénouement percutant, on n'a qu'un seul regret : que cela soit si court... Mais je vous garantis un moment d'évasion intense qui ne devrait pas vous laisser indemne.
Bon voyage avec Nezi, ses amis et ses ennemis.
Commenter  J’apprécie          20
🩸Louis de Mauboy« Tout est mal qui finit pire » (également auteur de l'ogre) terminé pour moi... 🙀

🌛"La lune est l'ennemie des voleurs..."🌜

🩸Mon avis :

🔪Nous allons rencontrer une bande d'amis, aimants faire la fête, sniffer et se taper de la femme (pour rester correcte). Lors d'une soirée l'un d'eux proposera un cambriolage qui pourrait faire basculer leur misérable vie de toxico. Que demander de plus quand on se trouve en bas de l'échelle sociale sans argent ? Une occasion en or pour cette bande, pourtant... Rien ne va se passer comme prévu...

🩸Monsieur de Mauboy va nous faire découvrir que l'horreur peut se trouver à n'importe quel coin de rue. Il suffit pour ça d'ouvrir les yeux. Les plus belles choses peuvent s'avérer les plus dangereuse... .😥

🔪 Aujourd'hui, j'ai redécouvert que l'horreur n'est pas toujours celle que l'on croit connaître. Que les méchants loups ne sont pas toujours ceux que l'on pourrait penser. Et croyez-moi vous n'êtes pas au bout de vos peines ! 😅🔪

🩸Pour moi, l'argot utilisé ne gêne en rien la compréhension (quand on y est habitué, bien évidemment !). Les petits clins d'oeil au premier roman (« L'ogre ») ne gênent en rien (si vous ne l'avez pas lu, rassurez-vous !!). Ils sont d'autant plus appréciés !!

🔪Comme pour "L'ogre" les indications temporelle ont un petit effet en plus sur la lecture ainsi que le ressenti de chaque personnage, leur vision de ce qu'ils sont en train de vivre, leurs émotions et leurs terreurs. Plus les pages tournent, plus on s'attache à chacun d'eux... Mon petit chouchou était Doudou ! ❤Je me suis demandé ce qu'il fessait dans ce livre.. 😥🙀

🩸J'ai adoré passé cette nuit d'halloween avec notre bande d'amis, malgré l'angoisse.La fin était tellement intense et inattendue ! 😅 J'en suis resté bouche be... 😥

🔪 Alors oseriez-vous suivre Nézi et ses amis au coeur de cette villa !? Arriveriez-vous à affronter les murs de cet endroit !? Une chose est sûre… Personne ne ressort indemne d'une telle aventure! 🙀

🩸Encore merci pour cette nuit de grands frissons ! 😁
Commenter  J’apprécie          40
😊 A la découverte de 🤗
Tout est mal qui finit pire de Louis de Mauboy
Éditions Anti-Spleen

En ce jour de la Saint-Valentin, Louis de Mauboy sort son tout nouveau livre!
J'ai découvert l'auteur assez récemment avec L'Ogre qui a été un vrai coup de coeur. du coup, je suis très heureuse que l'auteur me renouvelle sa confiance en me confiant ce qu'il définit comme un court apéritif avant la suite de l'Ogre!

Trois zonards, défoncés à la cocaïne, imaginent le cambriolage qui les rendra riches. On rentre petit à petit dans leur vie, on les découvre et on apprend à les aimer ces gamins perdus. Doudou est celui pour lequel on a immédiatement de l'empathie. Il a vécu l'innommable mais on décèle en lui une telle naïveté et bienveillance! C'est lui qui nous fait aussi aimer les autres, en nous dévoilant leur part de lumière et leurs douloureuses épreuves passées.
Ce cambriolage va leur révéler un monde au-delà de ce qu'ils imaginaient, une plongée dans l'horreur.

L'auteur a beau nous prévenir en prologue, le langage utilisé dans ce roman est déroutant quand on commence le livre : une retranscription du parler oral, de l'argot, du verlan... Puis au fil des chapitres, on n'y fait même plus attention car ce parler correspond tout à fait aux personnages du livre.
L'histoire se déroule dans un laps de temps assez court, le temps d'un week-end. de ce fait ça s'enchaîne assez vite, passant d'un personnage à l'autre par le biais de chapitres très courts.

Le livre nous plonge tout doucement mais sûrement dans l'horreur. Au fil des pages la perversité grandit et on se demande où cela ça s'arrêter. On a une vraie montée en puissance de ce que l'humain peut inventer quand il laisse libre court à ses instincts les plus sombres.

Comme dans l'ogre, je retrouve une analyse sociale dans ces lignes. On suit ces jeunes qui ont des parcours chaotiques, des enfances défavorisées voire de la maltraitance infantile. Quoique l'on en dise, on ne naît pas tous égaux, y compris en France, et on n'a pas tous les mêmes chances de réussir.
On a une vraie opposition de valeurs. du côté de nos jeunes de banlieue, certes ils se droguent et cambriolent une villa, mais ils ont un lourd passif et conservent en eux l'entraide, l'intérêt pour les autres. de l'autre, des personnalités qui détiennent argent et pouvoir et qui se complaisent dans le sadisme, la perversité et la torture.

Encore une fois, l'auteur nous démontre une grande maîtrise pour plonger dans l'horreur. Un live court, dynamique qui vous fera frémir jusqu'à la toute dernière page.

Pour retrouver le livre, c'est par ici https://www.amazon.fr/Tout-est-mal-finit-pire/dp/2957265915
Commenter  J’apprécie          20
Tout est mal qui finit pire est le genre de roman que vous n'allez jamais oublier. Non, je n'utilise pas ce terme galvaudé pour rien… Louis de Mauboy est un auteur sale gosse qui va s'insinuer en vous comme un véritable poison. Ça tombe bien, on entre dans l'univers de la drogue dans cette histoire. Pas la douce, celle qui peut laisser un goût rêveur ou de nostalgie d'un soir d'été autour d'un feu de camp, mais bien la dure… Celle qui te fait plonger petit à petit en enfer, celle qui te transforme, celle qui déforme la réalité, quitte à la rendre encore un peu plus misérable.
Ce roman, c'est de la bonne grosse bombe en barre. C'est le genre que tu ouvres et que tu refermes dans la même journée, tant on est pris dans le récit. On entre dans un univers inconnu, dangereux et on ne veut pas en ressortir avant d'avoir le fin mot de l'histoire.

Tout est mal qui finit pire est un roman de cambriolage dans la plus pure tradition, mais aussi un véritable hommage au genre du Home-invasion. On sait que l'idée générale va mal tourner, on le sent dès les premières pages, dès l'idée de génie énoncée par un des personnages. le plan semble trop simple. C'est avec une sincérité déconcertante que Louis de Mauboy nous entraîne dans ce cambriolage qui tourne mal, sauf que l'on est encore loin du compte. Je ne dirais rien de plus, histoire de ne rien gâcher.


Seulement, retenez bien que ce roman m'a plongé dans une tension intense, si bien que j'ai fini par complétement perdre les pédales dans le dernier tiers. J'ai pu en parler avec l'auteur, ce n'était pas volontaire. Tout est mal qui finit pire s'est terminé en véritable bad-trip pour moi. de nombreuses sensations sont venues se télescoper, si bien que je revoie encore certaines scènes au ralenti. Tout me semble encore irréel, complètement dingue et j'avais véritablement l'impression d'être en enfer. Les sons, les odeurs, les couleurs étaient décuplés, pour le meilleur et pour le pire.

Cerise sur le gâteau : Tout est mal qui finit pire est bien plus qu'un simple roman noir. Outre son aspect horrifique qui nous aspire dans les tréfonds des enfer, le roman nous entraîne dans une analyse sociale des plus intéressantes. Louis de Mauboy nous parle d'une jeunesse chaotique, de laissés-pour-compte qui n'auront pas eu les meilleures chances dans la vie pour avancer. C'est avec quelques flashbacks bien sentis que l'auteur nous plonge dans la psyché de ses personnages. La violence est au rendez-vous dès la naissance et ce n'est que le début, malheureusement. Cependant, le romancier nous montre aussi une envie d'aller au-delà, de se serrer les coudes, de se battre ensemble pour avoir plus. Les actes sont répréhensibles, mais la rage de vivre en ressort sans effort et vous verrez que dans un pays où “nous sommes tous égaux”, il y en a qui font bien pire…

Le roman est court, intense et vous n'en ressortirez clairement pas indemne. Louis de Mauboy joue les équilibristes entre plusieurs genres et on sent une sincérité dans sa façon d'écrire qui fait plaisir à lire. L'auteur réussit facilement à passer du home-invasion classique, à un passage véritablement choquant, voire très gore et qui n'est pas sans rappeler le travail de Pascal Laugier pour ne citer que lui (j'avais déjà pu faire cette comparaison lorsque j'avais découvert son précédent roman). Bref, Tout est mal qui finit pire est une véritable expérience qu'il faut vivre. Allez-y, n'hésitez pas et laissez-vous prendre par l'univers percutant du romancier.
Lien : https://tomabooks.com/2021/0..
Commenter  J’apprécie          10

Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
La gueule de Tcheuk se crispe méchamment, ses mâchoires tendues par le speed et ses pupilles dilatées n’annoncent rien de bon. Tous ces signaux hurlent : « baston », mais il referme sa grande bouche et serre les dents. S’il n’y avait pas autant de bruit ici, je suis sûr que j’entendrais grincer ses ratiches tellement sa mâchoire est crispée. Il doit crever d’envie de lui dire qu’il est pas son pote, qu’il a pas fait les foyers comme nous, et que c’est qu’un putain de Norm' Man, mais il la boucle poliment. Lui aussi doit avoir besoin de liquidité.
Commenter  J’apprécie          40
Perso, j’ai entendu ce que Chanelle a susurré dans le creux de l’oreille de son heureux élu, mais je me tais par respect. Tout ce que je peux te dire, c’est que cette coquine le mène à la b(r)aguette et, à 100 euros le gramme, ça doit lui coûter cher la gâterie ; mais ça, c’est une autre histoire. « Et si on revenait au business », je propose, pas qu’un peu intéressé, vu que chuis grave sur la brèche
Commenter  J’apprécie          40
Le son tombe des nues, puis vient un silence bizarre qui fait siffler mes oreilles. C’est l’heure où le club du Troisième Œil ferme ses paupières. Impitoyables, les lumières s’allument et jettent leur lucidité cruelle sur nos faces de déterrés ; pourtant, même après une nuit blanche, ma nouvelle copine reste carrément potable avec ses cheveux bleus et le bel ovale de son visage.
Commenter  J’apprécie          40
Faut pas que je me perde dans mes souvenirs. Il faut que je l’arrête avant que cette histoire tourne au drame. Y a trop de témoins et Tcheuk finirait en prison. Et ça, je crois qu’il ne le supporterait pas. Et moi non plus ; parce que c’est de ma faute s’il en est là. Il est encore venu à mon secours. Toujours le même schéma ! Un peu comme une malédiction...
Commenter  J’apprécie          30
Pour de vrai. Pas dans un bureau à la con à cliquer sur un ordi. Non, moi, je fais un travail physique, toute la semaine, sur les chantiers. Qu’il pleuve ou qu’il vente, je me lève tous les jours aux aurores pour finir tard, sans compter mes heures. Pourquoi est-ce qu’elle comprend pas que j’arrive au bout de ma vie ?
Commenter  J’apprécie          30

autres livres classés : horreurVoir plus
Les plus populaires : Polar et thriller Voir plus


Lecteurs (94) Voir plus



Quiz Voir plus

Ce film d'horreur et d'épouvante est (aussi) un roman

Jack Torrance, gardien d'un hôtel fermé l'hiver, sa femme et son fils Danny s'apprêtent à vivre de longs mois de solitude. Ce film réalisé en 1980 par Stanley Kubrick avec Jack NIcholson et Shelley Duvall est adapté d'un roman de Stephen King publié en 1977

Le silence des agneaux
Psychose
Shinning
La nuit du chasseur
Les diaboliques
Rosemary's Baby
Frankenstein
The thing
La mouche
Les Yeux sans visage

10 questions
966 lecteurs ont répondu
Thèmes : cinema , horreur , epouvanteCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..