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Deuxième tome de la trilogie Luna. Nous retrouvons nos protagonistes 2 ans après les évènements du premier tome ayant conduit à la chute des Corta.
Petit passage sur la Terre pour Lucas Corta qui n'a pas dit son dernier mot et va mettre en branle des évènements qui vont secouer toute l'organisation de la Lune. Tandis que sur celle-ci les Mackenzie se déchirent en se partageant les restes de l'empire Corta.
Étonnamment je suis plus facilement rentré dans ce tome que dans le précédent (considéré a priori commm excellent mais moins bon que le premier).
J'ai trouvé qu'il y avait un peu plus d'actions, malgré quelques longueurs.
Une chose est sûre : j'ai très envie de lire le prochain et dernier volume de cette trilogie !!
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Nouvelle Lune, le premier tome de cette trilogie de SF écrite par le nord-irlandais Ian McDonald, avait été un coup de coeur absolu (je vous renvoie à ma chronique de l'année dernière). Une histoire et des personnages d'une puissance inouïe. Ce deuxième opus, Lune du Loup, est quasiment au même niveau d'excellence. Du rythme, de la tension dramatique, des rebondissements, des passages à couper le souffle, et les Corta toujours au centre de l'intrigue, ô joie. A un passage près, tout le roman tient en haleine d'une façon dingue. Ian McDonald réussit tellement à nous immerger dans les particularités de la société lunaire, que la vie sur terre en comparaison est déroutante et même étrangère. C'est fort, c'est très fort.

L'histoire commence deux ans après la fin du premier tome, et bing, presque tout de suite on se prend une scène effarante dans les mirettes. Moi qui voulais d'abord savoir ce qu'étaient devenus certains personnages que l'on avait laissé en (très) mauvaise posture à la fin du premier tome ! Ian McDonald nous prend par surprise, pour mieux faire évoluer l'ensemble de ses personnages. Avec un astucieux ensemble de flashbacks et de scènes présentes, le point de vue sur l'histoire passe d'un personnage à l'autre, sans quasiment aucun répit. Des passages sur terre, d'autres sur la lune avec la meute de Méridien, à Creuset, à Twé, à la surface, avec Dame Sun, les Vorontsov, les frères Mackenzie et les Corta, et, et. Des attaques et des poursuites, des changements d'alliances et d'allégeances, aucun manichéisme, et ces personnages ! Du bonheur en tranche ! J'ai hâte de découvrir le troisième et dernier volet de cette histoire. Mais je ne le lirai pas trop vite, sinon il n'y en aura plus.

On pense à Maurice Druon, à Frank Herbert, à Kim Stanley Robinson. Luna est une trilogie de SF géniale, ample et puissante, à découvrir absolument.
Lien : https://lettresdirlandeetdai..
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Même si ce sont deux livres indépendants, j'ai acheté Luna New Moon et Luna Wolf Moon d'Ian McDonald en même temps. Et ce fut une très bonne idée, vu le suspense sur lequel termine le premier. Une fois passé le premier quart d'exposition de Luna New Moon, le lecteur se retrouve pris dans l'action et avale le total de près de 700 pages sans même les voir passer.
Souvent présentés comme une version SF Hard de Games of Throne, Luna New Moon et Luna Wolf Moon tiennent plus d'une version spatiale de Dallas ou Dynastie si les aventures des Ewing ou des Carrington avaient eu droit à une diffusion sur le câble sans censure concernant la violence ou le sexe. La Lune est en effet devenue le territoire que se partagent cinq grandes familles qui détiennent également les cinq grandes compagnies industrielles du satellite. le seul droit qui s'applique est le droit civil des contrats. Tout s'achète et se vend, y compris les quatre denrées indispensables que sont l'eau, l'air, le carbone et les données. Et tout se négocie, quitte à régler les conflits devant une chambre de compensation, voire dans un duel rituel au couteau entre avocats.
S'il y a des impératifs scientifiques qui sous-tendent l'intrigue, comme le fait de vivre dans un environnement confiné pour bannir les armes à feu ou la gravité moindre et ses conséquences sur la physiologie des Luniens de souche, la force de ces livres tient plus à la façon dont les différentes cultures d'origine des familles se sont retrouvées adaptées à la Lune et mêlées entre elles. Est-ce parce que Ian McDonald est britannique ? Pour une fois, nous avons un univers hautement technologique et spatial où ni les États-Unis ni le Japon n'ont un rôle de premier plan à jouer. À peine est-il mentionné qu'un des personnages secondaires est une « Norte », venue d'Amérique du Nord. Les cinq familles elles-mêmes sont d'origines brésilienne, australienne, chinoise, russe et ghanéenne. On retrouve ainsi des références à l'umbanda, religion syncrétique afro-brésilienne, au droit coranique des mariages (le nikah servant d'alliance entre les différentes grandes familles) et à la sous-culture gothique des années 80 et 90.
Loin d'être brouillon, le résultat est un feuilleton spatial dense et haletant, mais plutôt aisé à lire. Même si dans un premier temps, vous passerez beaucoup de temps à regarder à la fin du livre qui est qui par rapport à qui dans la liste des personnages.
Lien : https://www.outrelivres.fr/l..
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Il est toujours difficile de chroniquer les "tome 2" d'une série. D'autant plus quand le second opus est la suite directe du premier. Lune du Loup reprend là où Luna s'était arrêté et Ian McMcdonal poursuit sur sa lancée. Toujours aussi nerveux, aussi riche, aussi dense... avec un début aussi tonitruant que la fin précédente !!!

C'est donc avec plaisir que l'on retrouve les protagonistes de Luna, enfin ceux qui sont toujours en vie. Sans entrer dans les détails, certains n'ont pas réchappé de la première partie ! Et comme pour Luna, la mise en route est un peu laborieuse. Il a fallu se réapproprier les personnages, se remettre en bouche le vocabulaire employé. Heureusement en fin d'ouvrage, un Glossaire et un Dramatis Personae sont là pour nous aider (un peu !).

L'écriture immersive et très visuelle de Ian McDonald permet de se (re)prendre au jeu. L'effet de surprise n'est plus là et une intrigue un peu plus politique font que le soufflé prend un peu moins bien, quelques longueurs par-ci, par là sont à déplorer mais il ne faut pas faire la fine bouche cela reste du grand art.

Le point fort reste la diversité et la complexité des personnages ni manichéens, ni caricaturaux. Quant à l'intrigue, elle est digne des plus grands soap-opera, avec son lot de trahisons, de vengeances et de meurtres dans un contexte lunaire bien particulier auquel il faut ajouter les tensions politico-économiques...

Au final, ce second tome du cycle Luna, bien qu'un peu en deçà du premier nous dresse une histoire cohérente, intelligente et passionnante. Ian McDonald maîtrise à la perfection ses intrigues en distillant au compte-gouttes les révélations, plus fracassantes les unes que les autres : une vraie leçon d'écriture. Ne me reste plus qu'à attendre l'année prochaine pour connaître le dénouement de l'histoire.
Lien : https://les-lectures-du-maki..
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La colonisation capitaliste sauvage de la Lune, sous le regard guère innocent de la Terre. Intrigues libertariennes, hommages science-fictifs débridés, justices contractuelles et cocktails glacés. Une passionnante saga.

Sur le blog Charybde 27 : https://charybde2.wordpress.com/2023/04/12/note-de-lecture-la-trilogie-luna-ian-mcdonald/

En quelques grosses dizaines d'années, la Lune est devenue à la fois un eldorado et un enfer. Là-haut, où les dangers guettent à chaque pas, par l'absence d'air et l'absence de pression, où tout se paie comptant, air, eau, carbone et données, cinq empires industriels familiaux se sont créés, en extrayant de la plus-value à partir du travail de toute nature, comme dans les plus belles années des barons voleurs d'Amérique du Nord ou des oligarques russes issus du dépeçage de l'Union soviétique. Les Corta, d'origine brésilienne, contrôlent l'hélium qui sert de combustible aux centrales à fusion de la Terre ; les Mackenzie, leurs ennemis jurés, d'origine australienne, dominent le secteur minier ; les Sun, d'origine chinoise, manipulent l'information et l'informatique ; les Asamoah, qui furent jadis ghanéens, sont les maîtres du vivant ; les Vorontsov, enfin, règnent sur le transport spatial sous toutes ses formes, qui permet à la colonie lunaire de jouer son rôle vital vis-à-vis de la Terre, et d'enrichir comme jamais les dirigeants de cette société – et économie, avant tout – pionnière s'il en est. Ici, les pauvres sont très pauvres, et les riches, très riches – d'une façon subtilement distincte de ce qui prévaut sur la planète-mère -, mais les intrigues y sont d'une beaucoup plus grande sauvagerie encore. Les rivalités exacerbées entre des familles où l'avidité est souvent (très) à fleur de peau provoqueront-t-elles le déclin et la chute de cet empire-là ? Ce sont bien les enjeux centraux (mais pas les seuls) qu'explore avec une maestria étourdissante cette trilogie « Luna ».

Vivant depuis 1965 en Irlande du Nord, le prolifique Britannique Ian McDonald est un fin connaisseur du genre science-fictif, de ses tours comme de ses détours, et nulle part davantage que dans cette trilogie « Luna » (publiée en 2015, 2017 et 2019, et traduite chez nous en 2017, 2018 et 2019 par Gilles Goullet pour Denoël Lunes d'Encre – et désormais Folio SF) il n'a autant rendu hommage à ses prédécesseurs ni multiplié les clins d'oeil, voire les oeufs de Pâques – comme on nomme de plus en plus certains d'entre eux, bien particuliers, sous l'influence des jeux vidéo.

Si le gros de l'hommage, souvent fort joueur, va logiquement au Robert Heinlein de « Révolte sur la Lune » (« La Terre est une maîtresse cruelle » lira-t-on même dans le tome 2, retournant ainsi le titre original anglais du prix Hugo 1967) et au Frank Herbert de « Dune » (quoique peut-être plus encore à celui de David Lynch – à l'image hautement perverse d'un certain personnage-clé dangereusement proche ici de la peinture du baron Vladimir Harkonnen par Kenneth McMillan), d'autres, plus discrets mais éventuellement foisonnants, concernent aussi bien Orson Scott Card (« La stratégie Ender »), C.J. Cherryh (« Cyteen »), Ursula K. le Guin (« Les dépossédés ») avec ce magnifique « La Lune donne souvent naissance à des idées politiques peu orthodoxes », Andy WeirSeul sur Mars ») ou Kim Stanley Robinson (« La trilogie martienne », naturellement, et « New York 2140 », de façon plus insidieuse), mais aussi, de manière parfois plus surprenante encore, William GibsonIdentification des schémas »), Charles StrossAccelerando ») ou le duo James S.A. Corey (« The Expanse »).

Au-delà de cette parfaite inscription dans le continuum collectif de la science-fiction (dont témoigne aussi la floraison de néologismes créatifs pour témoigner de réalités matérielles mises en place ici), la trilogie « Luna » constitue un remarquable (et passionnant) témoignage renforcé de l'intérêt porté par Ian McDonald, depuis fort longtemps, aux économies émergentes de la Terre contemporaine – et aux sociétés qu'elles façonnent ou refaçonnent -, que ce soit l'Inde (« le fleuve des dieux » et « La petite déesse »), le Brésil (« Brasyl ») ou l'Afrique de l'Est (« Chaga », « Kirinya » et « Tendéléo »). À ce titre, la trilogie « Luna » confronte avec une puissance indéniable les racines avides du capitalisme des barons voleurs (on songera certainement ainsi au Valerio Evangelisti de « Anthracite » ou de « Briseurs de grève ») et l'ordo-libéralisme contemporain, débridé uniquement du côté des affaires, tel que l'affectionnent les ultra-riches libertariens de l'économie numérique et du capitalisme de surveillance, analysé par Shoshana Zuboff. Les méandres de l'économie lunaire que nous décrit, dans tous leurs interstices, Ian McDonald, prennent alors l'allure précieuse d'un véritable traité western de développement industriel et financier foncièrement inégalitaire, à la pointe de l'énergie déployée, de l'absence de scrupules et du six-coups plus ou moins métaphorique.

La trilogie « Luna » baigne dans un superbe réalisme du vide et de l'absence, celui de ce caillou désolé créateur de fortunes inimaginables. Elle est aussi irriguée par les caractéristiques bien contemporaines du séparatisme des ultra-riches, de leurs mode de vie et de leurs habitus (dans lesquels cocktails pointus et fashion vintage facilitée par les imprimantes 3D tiennent la part de choix de cette futilité revendiquée, ici et maintenant comme là-haut et demain), comme de leurs fantasmes libertariens pleinement déployés (actualisant ainsi en beauté les heurs et malheurs de la geste heinleinienne).

Entre vendettas et guerres privées, entre invention permanente d'un cadre juridique différent et prégnance d'univers corporate soigneusement décalés (la magnifique phrase : « On a été envahis par des cadres moyens »), entre parkour, urbex et saudade, entre création de vocabulaire et création de coutumes en un beau travail d'anthropologie imaginaire, Ian McDonald propose avec un immense brio sa propre version d'une lutte des classes qui ne veut pas disparaître, bien au contraire, ou plutôt d'une friction sauvage entre formes collectives et formes individuelles. Comme chez Kim Stanley Robinson (même si la « Trilogie Martienne » développe une présence beaucoup plus puissante, comme souvent chez l'auteur californien, de la communauté scientifique en tant que telle – que l'on ne retrouve ici que tardivement, dans le troisième volume, et à nouveau sous une forme largement entrepreneuriale), comme chez James S.A. Corey (même si « The Expanse » propose une géopolitique spatiale au fond plus « classique » et une importance des militaires « professionnels » plus significative qu'ici), il s'agit bien de tordre une forme science-fictive ou littéraire plus ancienne (le récit de colonisation, la saga familiale aux composantes mafieuses ou la geste de révoltés) pour l'hybrider et lui donner un rôle d'exploration plus décisif de certains possibles à venir et de certains présents mal masqués. Et c'est ainsi que la science-fiction est grande.
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Après un premier tome hyper prenant, la trilogie Luna se poursuit avec Lune du Loup, qui est clairement un tome de transition.
Les Corta sont dispersés aux quatre vents, les Mackenzie attaquent et les Sun complotent.
Ian McDonald a le bon goût de nous épargner l'attente de l'évènement tant attendu depuis la fin du tome 1 , puisqu'il se déroule d'entrée de bouquin. Il reviendra plus tard sur la genèse de ce rebondissements au cours de flashbacks, ce qui est plutôt malin. Ces passages et l'arrivée d'Alexia sont d'ailleurs les plus intéressants du livre. Cependant, j'ai trouvé que l'on attendait tout de même le retour de Lucas Corta pour passer aux choses sérieuses, et que le reste n'est qu'anecdotique.
L'émerveillement de la découverte de l'univers lors du tome 1 est passé, plusieurs personnages charismatiques ont disparu ou ne sont là que par intermittence, et c'est pour cela que je trouve ce tome moins bon que le précédent. Les nouveaux persos sont très (trop ?) nombreux sans être vraiment creusés, et j'ai souvent lutté pour reconnaitre les Mackenzie entre eux, les Mackenzie-Sun, les Sun-Mackenzie etc.
Toutefois, cela reste de la SF de qualité, rythmée et où on ne s'ennuie jamais. Quelques scènes de bravoure resteront en mémoire. Qui n'a jamais rêvé d'être un yamakasi de l'espace ou d'affronter des robots assassins avec un arc et des flèches sur la Lune, hein ?
L'envie d'enchaîner directement sur le tome 3 est là.
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Je garde un bon souvenir du premier tome qui était assez dense avec l'introduction de toutes les familles et j'avais trouvé l'écriture assez crue – je ne sais pas si cela vient de l'auteur ou de la traduction – et j'avoue que ça m'avait un peu dérangé. Pour ce deuxième tome, je ne sais pas si c'est le fait que je m'y attendais ou encore si cet aspect s'est atténué, quoiqu'il en soit, ça m'a moins marqué.

Du côté des personnages, j'ai été plutôt contente de retrouver ceux qui avaient survécus au premier tome et j'ai beaucoup aimé suivre Lucas Corta avec toute sa préparation pour son voyage sur Terre. L'auteur m'a encore une fois impressionnée avec le sens du détail sur la vie sur Terre et sur la Lune, les questions qu'il s'est posé sur la faisabilité d'aller sur Terre lorsque que quelqu'un a vécu toute sa vie avec une plus faible gravité… J'ai trouvé ça vraiment intéressant et plutôt réaliste, en tout cas, ça donne envie d'y croire. Il y a quelques nouveaux personnages mais pas tant que ça, ce qui en soit est tant mieux car on en suit déjà pas mal.

Pour l'intrigue, une fois encore, on entre dans un jeu politique et commercial complexe, je l'ai tout de même trouvé plus accessible que dans le premier tome, probablement parce que l'on connait maintenant les protagonistes. Par contre, ce qui m'a vraiment manqué c'est l'empathie avec les personnages. Ils sont pour la plupart froids et peu attachants. Je ne les ai pas toujours compris et les relations amoureuses sont vraiment torturées voire malsaines.

Je n'ai en tout cas pas été déçue par cette suite qui promet encore de nombreux rebondissements pour la suite. J'ai aimé retrouvé cet univers si particulier de la Lune mais aussi cette lutte de pouvoir et de survie si particulière. le tout est vraiment très visuel, je pourrais facilement imaginer un film ou une série tiré de ces romans.

En refermant ce tome 2, on ne reste pas sur un suspense intenable et on image facilement qu'il va y avoir une suite mais j'ai l'impression que la saga ne pourra se terminer qu'une fois qu'une des familles aura anéanti toutes les autres car les rivalités meurtrières semblent sans fin.
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Je me suis prise d'affection pour le clan Corta en butte aux manigances d'autres clans. Toujours aussi inventif et créatif, ce second tome de la trilogie m'a embarqué comme le premier. Cette civilisation lunaire est vraiment captivante tout comme les personnages la peuplant. de la très grande SF, totalement moderne et au goût du jour. Passionnant.
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Une belle suite, dans la lignée du tome 1 sur son caractère cru et violent, mais encore une fois passionnant. Les rebondissements s'enchainent du début à la fin, sans laisser au lecteur le temps de pouvoir prévoir la suite des évènements. Il n'est pas sans rappeler une autre série de livre de batailles familiales où chaque clan connait ses hauts et ses bas, ainsi que ses vengeances !
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