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EAN : 9782375680643
292 pages
Editions du chat noir (14/02/2018)
3.98/5   31 notes
Résumé :
Chacun à sa manière cherche le sens de la vie. Moi, j’essaie au quotidien de donner du sens à la mort.
Je me nomme Elena Lautturi et je suis thanatopractrice. Croque-mort autrement dit. L’image ne manque pas de mordant… Des civilisations plus anciennes m’auraient désignée comme une passeuse d’âmes. Ce que je suis, au figuré comme au propre…
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Critiques, Analyses et Avis (23) Voir plus Ajouter une critique
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"Chacun à sa manière cherche le sens de la vie. Moi, j'essaie au quotidien de donner du sens à la mort.
Je me nomme Elena Lautturi et je suis thanatopractrice. Croque-mort autrement dit. L'image ne manque pas de mordant…Des civilisations plus anciennes m'auraient désignée comme une passeuse d'âmes. Ce que je suis, au figuré comme au propre…
Une mésaventure aux enfers a fait de moi l'employée spéciale de la déesse Héla. Ma mission est simple : m'assurer que chaque âme destinée à son royaume arrive à bon port, tout cela sous couvert de mon humble entreprise de pompes funèbres, le Pandemonium.
L'enfer est un lieu complexe et je fais partie des nombreux rouages qui permettent son bon fonctionnement. Malgré mon professionnalisme, il apparaît évident qu'une entité inconnue et puissante me considère plus comme le grain de sable dans la machine.
Aujourd'hui, je suis menacée…
Moi et le destin de toutes ces âmes qui dépendent de mes soins…"

Attirée par la couverture sublimissime, je l'ai été également par le thème atypique de ce roman, à savoir: la mort.
A travers cette histoire fantastique qui nous plonge au coeur d'une entreprise de pompes funèbres tenue par une thanatopractrice aux capacités particulières, l'auteur développe une mythologie riche autour des Enfers et nous emmène à la rencontre de nombreuses divinités de ce "monde" (Héla, Lucifer, Lilith,...) dont, pour la plupart, je ne connaissais pas "l'existence". Aurélie Mendonça aborde le thème de la mort en distillant, sans lourdeur et de manière intelligente, des pistes de réflexion pertinentes sur un sujet encore extrêmement tabou de nos jours (certainement le point fort du roman).
L'écriture fluide et les chapitres assez courts permettent une lecture dynamique et plutôt rapide.
De nombreux personnages sont attachants, tant dans les personnages récurrents (Elena, Morgane, les Corbeaux) que dans les âmes de passage, et l'histoire se suit sans déplaisir provoquant à de nombreuses reprises des moments d'émotion indéniable.
En somme, le sujet plutôt "original" de ce roman est traité de manière efficace au service d'une histoire fantastique simple mais bien menée.
Je mettrai tout de même un petit bémol car certains points de l'intrigue restent sans réponse et cela m'a quelque peu gênée. À défaut d'avoir été un coup de coeur, j'ai tout de même passé un bon moment de lecture.
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--- En noir et blanc… et en couleurs (mais ça, c'est seulement à l'intérieur) ---

Comme chaque année, je me suis rendue à La Foire du Livre de Bruxelles pour y dénicher de nouvelles lectures. J'avais donc déjà prévu de me laisser tenter par les couvertures qui me feraient envie. Et c'est là que celle de Pandémonium a attiré mon regard. Avouez, elle est vraiment sublime !

Ni une ni deux, j'ai lu le synopsis qui m'a aussitôt emballée. du coup, bah… j'ai craqué ! Et comme j'étais curieuse de savoir ce que renfermait ce one-shot, je me suis empressée de le dévorer, malgré une PAL débordante – eh oui, j'ai fait le compte, j'ai atteint les 135 livres (papier) non lus, aïe !

Mais revenons-en à Pandémonium. Au résumé, on pourrait croire que c'est complètement déluré et pas du tout sérieux. En fait, c'est déluré… et totalement sérieux !

--- Le début, comme des montagnes russes ---

Narrant l'enterrement de la grand-mère d'Elena, les premières pages de ce livre m'ont laissée pantoise, tellement c'était criant de vérité. C'était comme si je vivais réellement ce moment. Sincèrement, chapeau à l'auteure sur ce point, car elle a failli me faire pleurer tant son texte m'a prise aux tripes !

Et puis, soudain, tout s'est accéléré : Elena est envoyée aux Enfers pour racheter la faute de son aïeule – faute dont on ne saura jamais rien, dommage ! – et j'ai eu du mal à me faire à ce rythme effréné, alors que l'histoire débutait à peine. C'était presque incompréhensible ; autant Aurélie Mendonça prend le temps de décrire la souffrance ressentie par son héroïne, autant elle fait l'impasse sur les détails du pacte passé avec Hela. Bref, j'étais déboussolée.

--- Si vous cherchiez le guide de la mort, c'est par ici ! ---

Je me dois de saluer le travail de fourmi réalisé par l'auteure ; grâce à elle, j'ai découvert les coulisses d'une entreprise de pompes funèbres. Ce fut très instructif. le hic, c'est que pendant ce temps-là l'intrigue n'avance pas beaucoup. Or, le livre étant assez court (un peu moins de 300 pages), je me suis sentie frustrée.

Par chance, Aurélie Mendonça amène mine de rien des réflexions intéressantes sur des sujets très sérieux (la mort bien sûr, mais aussi la manière dont les vivants la perçoivent, la vie dans l'au-delà, la religion, etc.), le tout sur un ton empreint d'humour noir.

--- Elena, tiraillée entre Lucifer et Hela ---

Le récit étant écrit à la première personne, j'ai vite fait la connaissance d'Elena, une héroïne pas comme les autres. Ce que j'ai aimé chez elle ? Sa combativité ! Enfin, jusqu'au moment où elle s'est transformée en une petite chose fragile incapable d'avancer. Là, j'ai eu envie de lui mettre des claques. Mais elle s'est vite reprise, alors on a évité la catastrophe.

Je dois avouer que j'ai un peu grimacé lorsque Morgane, la stagiaire, est apparue dans le tableau. Après Lucifer (lui, je l'adore !), les Corbeaux et Ghost (je rêve d'avoir un chien comme ça !), elle me semblait très quelconque. En outre, la relation qu'elle développe avec Elena est plus que prévisible. Heureusement, elle constitue avant tout un élément déclencheur, et non le centre de l'histoire.

--- Sur le chemin des Enfers, je me suis (presque) perdue ---

Accaparée par sa mission envers les morts, Elena reste aveugle aux signes avant-coureurs d'un complot démoniaque qui l'a prise pour cible. Si, au début, les indices étaient assez éparpillés, par la suite ce fut un véritable raz-de-marée et, clairement, j'ai eu du mal à suivre. Certains évènements demeurent toujours aussi flous dans mon esprit. Et, d'ailleurs, je ne sais toujours pas pourquoi Elena est l'ennemi juré de Lilith.

Néanmoins, cela ne m'a pas empêchée de me plonger dans ses aventures avec avidité ! Certes, Aurélie Mendonça n'a pas réinventé le mythe de la mort, ni celui des Enfers, mais pourquoi l'aurait-elle fait ? Autant se servir de ce qui existe déjà. J'ai donc adhéré à ses idées même si, comme je l'ai déjà souligné, je me suis parfois égarée.

--- Une fin qui ne manque pas de piquant ---

Si le dénouement ne m'a pas étonnée outre mesure, j'ai quand même pris plaisir à tourner les dernières pages. Là encore, l'auteure a placé quelques touches d'humour, ce qui m'a permis de refermer ce one-shot le sourire aux lèvres.
Lien : https://lesfantasydamanda.wo..
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J'ai repéré Pandemonium à sa couverture mystérieuse qui m'a immédiatement attirée. J'ai croisé les doigts pour recevoir ce livre durant la masse critique, et merci aux éditions du Chat Noir et à Babelio pour cette découverte.

Pandemonium est le genre de livre qui fait du bien là où ça fait mal. C'est-à-dire? La thématique principale, la mort, est abordée avec beaucoup d'humour, de gravité et d'émotions. Personnellement j'aime l'humour noir et je ne crains pas d'aborder le sujet de la mort au quotidien, ou bien les choix funéraires, ainsi que la vie après la mort. J'ai trouvé le traitement du sujet très judicieux et très réaliste, sans fards, sans artifices.
J'avoue avoir encore plus de respect envers le métier de Thanatopracteur. Enfin, dans ce cas Thanatopractrice, puisque le personnage est Elena, une femme, propriétaire d'un établissement de pompes funèbres, le Pandemonium. Non seulement nous avons un regard sur un métier boudé par un grand nombre d'auteurs, mais en plus un regard féminin, pour un métier plutôt masculin : formidable initiative.

J'ai accrochée immédiatement à l'histoire d'Elena, dès les premières pages, j'ai été touchée par son histoire : la mort de sa grand-mère et ce besoin de sauver son âme des enfers. Elena se sacrifie et devient une passeuse d'âmes, ce qui revient à être une croque-mort version améliorée, puisque la jeune femme travaille pour Hela (déesse de la mort) avec qui elle a passé un pacte pour passer les âmes de l'autre côté. La force de ce roman est évidemment tout le pan fantastique, la mythologie des enfers, avec un panthéon vaste issue de plusieurs religions. Ma mention spéciale revient à l'intégration de personnages issus de la mythologie nordique. Ainsi j'ai beaucoup apprécié Lucifer (brûlant), Hela (très sympathique), Lilith (la première femme) ou encore les Valkyries.

Affublée de deux acolytes, les Corbeaux, très drôles et touchants. Ainsi qu'une stagiaire au look gothique : Morgane. Elena va devoir conjuguer avec les morts qu'elle doit aider et une menace grandissante. le suspens est au rendez-vous, même si la seconde partie s'essouffle et que le roman est un peu court finalement pour développer totalement tout le potentiel de l'univers d'Aurélie Mendonça. Je me suis un peu perdue vers la fin, avec tous les évènements de la seconde partie.

Bilan : Incontestablement, Pandemonium est une vraie agréable et surprenante découverte. Je le conseille fortement (sauf si le sujet de la mort vous gêne). Aurélie Mendonça utilise les différentes croyances liées aux enfers pour construire un roman qui fait réfléchir sur le sujet de la mort, le rapport entre les morts et les vivants, et la religion.
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Aaaaah Pandemonuim d'Aurélie !!! J'ai découvert ce titre, édité chez le Chat Noir, grâce au #PLIB2019 et le synopsis m'a beaucoup attiré, vraiment puis…

Mon avis :
Comme je le disais en intro, le synopsis m'a beaucoup attiré, alors quand je l'ai trouvé au salon du livre jeunesse de Montreuil, je n'ai pas hésité.

Grand bien m'en a pris, j'admets que c'est un très bon livre, pour preuve, dès les dix premières pages… comment dire… Bref imaginez un ours bourru et mal léché en train de chialer sur sa chaise dans la cuisine alors qu'il est en train de lire, le casque sur les oreilles. Rien que le début, tu as les tripes qui se tordent, la boule dans la gorge. Je te défis, ô toi mon proseur d'amour, de ne rien éprouver. Tout est dans l'émotion (trop ?). D'ailleurs, vers la page 30, je suis explosé de rire. Tu es secoué dans un bateau ivre au milieu d'une tempête, tu finis par ne plus savoir comment réagir.

Elena Nous offre une façon de voir la vie ou plus la mort de façon différente. La Mort mais aussi la façon dont le deuil se fait et se faisait. Comment les familles s'occupaient de leurs morts et d'une certaine manière, elle en est nostalgique. Étonnant, si nous revenions aux anciennes coutumes, son métier disparaîtrait. Mais bon… c'est très intéressant à savoir.

C'est bien gentil tout ça, tu es ballotté mais après ? Ça ne va pas être ça pendant tout le livre, si ? Et, genre, vers le quart du livre, il se passe quelque chose, c'est furtif. Un personnage apparaît mais… Gros plat, il repart aussi vite. Grosse frustration. Mais quand est-ce que ça va décollé ? Crotte, quoi !
Je suis censé lire un livre fantastique où Elena est en danger.

Alors qu'il se passe quelque chose de sérieux, l'auteure nous balance 5 ans en arrière. Mais non ! Moi je veux connaître la suite. Et ça n'est qu'au 2/3 du livre que tout s'emballe. Je t'avouerai que j'ai trouvé le temps long. Je ne t'en parlerai pas. Ça décape. Là on ne rigole plus, il y a de l'affrontement avec des dieux, des démons. Mais comment va t-elle s'en sortir !? Ce n'est pas comme si elle jouait au bille avec cupidon. Non ! Là c'est du lourd.

Puis il y a cette fin ! La fin vaut le début, c'est tout/trop chou de voir… NON ! Lis le livre. Toi qui aime les histoires emplies d'émotions et de sentiments, ce livre est pour toi.

Malgré, ces quelques déconvenues, j'ai beaucoup aimé. Je souhaite sincèrement à Dame Aurélie de faire parti des 5 finalistes. C'est du beau travail. le livre se lit bien et vite. J'ai beaucoup aimé cette fluidité et son style. Bonne route à toi !

Je vous souhaite une très bonne lecture :-*
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Dès que la couverture a été annoncée, j'ai su que j'allais l'acheter. Je n'ai même pas lu le résumé, je voulais avoir la totale surprise. Et je dois dire que j'ai tout simplement adoré cette histoire !

Elena Lautturi est thanatopractrice. Elle se charge de redonner une vision plus belle d'un corps juste avant de l'enterrer. Mais elle n'est pas que ça. Elle est aussi l'employée de la déesse Hela. Sa mission est simple : s'assurer que chaque âme destinée à son royaume arrive à bon port. Mais tout sera trop simple si quelques petits rouages de cette entreprise ne rouillaient pas un peu... Elle est menacée par une entité puissante et inconnue, qui semble vouloir sa peau à tout prix.

Je ne savais absolument pas dans quoi je m'embarquais avec cette histoire. Juste que ça parlait de croque-mort et que c'était assez original pour que je m'y plonge. Et qu'est-ce que j'ai adoré ! Je ne savais pas trop comment j'allais réagir devant un tel sujet, mais en plus du monde fantastique qu'elle a créé, l'auteure nous plonge également dans le métier de thanatopracteur.

On sent qu'elle a fait beaucoup de recherches, qu'elle s'est vraiment intéressée à ce domaine si peu représenté. Il est vrai que nous avons un avis assez erroné sur ce métier, que nous avons tendance à tous juger sans pourtant savoir ce que ces personnes font réellement. Eh bien je peux vous dire qu'avec ce roman, j'ai une autre vision de la chose et un certain respect s'est installé pour ces gens qui s'occupent des morts, qui s'occupent de redorer un corps qui pourtant n'est plus en vie.

Bien évidemment, ce roman ne parle pas que de ça. Il y a aussi tout le côté magique, mystique des Enfers, de ses habitants, de ses dieux et déesses. Et je dois dire que tout cela est mené d'une main de maître. Tout est hyper bien dosé, les personnages bien amenés et très intéressants à découvrir. Ils sont tous différents et pourtant il y a ce petit quelque chose qui fait qu'ils se complètent tous plus ou moins bien.

Du côté de l'intrigue, vous ne serez pas non plus en reste. Personnellement, j'ai vraiment eu du mal à quitter le bouquin une fois que je l'avais commencé. Je voulais toujours en savoir plus, que ce soit sur l'intrigue ou bien sur le métier de thanatopracteur. L'auteure a su doser à merveille les informations, le suspense, l'angoisse et l'action. On ne s'ennuie absolument pas et on en redemande même encore plus ! Ce roman était à la fois trop court mais juste comme il fallait.​

​En résumé, voilà une belle surprise que j'ai eu avec ce roman. En plus d'une histoire qui parle des Enfers, des dieux et déesses, nous avons aussi un aperçu d'un métier désapprécié par la population, car trop peu connu. L'auteure remet les choses dans leurs contextes et on ressent un respect fort pour ces gens qui s'occupent de ceux qu'on aiment et qui nous ont quittés. Un livre que je vous conseille vivement de découvrir. Et en plus, regardez-moi cette couverture ! Y'a de quoi craquer, non ?
Lien : http://lire-une-passion.weeb..
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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Il n'y a jamais besoin de s'écharper à propos de la religion. Et quand on parvient à vivre un moment comme celui-ci, on se dit que le monde aurait bien besoin de voir la vie du côté des morts.
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J’ai beau savoir que je me trouve aux Enfers, croiser un animal à quatre pattes de la taille d’une baleine me fait un drôle de choc. Et ce ne sont pas ses énormes crocs luisants et ses yeux incandescents qui vont me rassurer.
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À quoi bon faire plaisir à un macchabée, je vous le demande ? Sauf que voilà, les morts… ils sont toujours là. Ils regardent, ils entendent. Tout ça jusqu’à ce que leur corps soit consacré, peu importe la façon.
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- Hela ! clamé-je. Hela, Déesse des Enfers, je t’invoque !
Pas de réponse.
- Hela, s’il te plait. Je crois que je suis dans la merde, et je ne sais pas trop comment je suis arrivée là.
Silence.
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Un corps embaumé, c’est un moment figé dans l’éternité d’un regard.

Un corps putrescent, c’est le mouvement perpétuel dans une mort fixe.
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