Une amie a eu la bonté de me prêter Amos Daragon a partir du 7 eme tome, ne me doutant de rien ! j'ai commencé a lire, et je peux vous dire que même comme ça j'ai tout compris, il peux être considéré comme un tome a part entière.
Amos se retrouver dans les enfers niveau par niveau on découvre les supers astuces qu'il a eu pour se sortir de ce pétrin, moi ça m'a captivé j'adore ! merci amie! de me l'avoir fait découvrir
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J'aime beaucoup ce tome d'Amos Daragon, car en plus des toujours aussi palpitantes aventures du porteur de masques, on suit aussi les péripéties des séparées des autres, ce qui fait qu'on apprend à mieux les connaître. le chiffre sept est porte bonheur, et j'ai eu beaucoup de bonheur à lire le tome sept de la saga !
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C'est le meilleur de la série à date. Je l'ai beaucoup aimé!
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Le bien et le mal sont des forces interdépendantes et ne peuvent exister l’une sans l’autre, car elles se complètent mutuellement. Ces forces opposées ne sont qu’un seul et même aspect d’une seule et même réalité. L’action de ces deux côtés règle la vie des hommes, des animaux et des plantes. Elle pénètre tous les plans d’existence de toutes les dimensions de la vie ! Il serait faux de vouloir faire le bien sans accepter le mal, car l’ordre n’existe pas sans le désordre, le ciel sans la terre et l’eau sans l’air. Le bien ou le mal ne sont finalement qu’un point de vue, c’est tout !
je suis Dmir, fils d’Ymir, père de tous les géants de glace. Je suis né de la sueur de ses aisselles, tout juste avant que les dieux ne façonnent le monde avec son corps. Après qu’ils l’eurent sauvagement assassiné, la chair de mon père devint la terre et ses os, les montagnes. Sa mâchoire et ses dents se muèrent en rochers et en pierres alors que de son sang naquirent les fleuves, les mers et les océans. L’intérieur de son crâne devint la voûte céleste, et les asticots qui rongeaient son cadavre formèrent le peuple de korrigans.
le feu a toujours été un élément central de la vie quotidienne et spirituelle des humains et des humanoïdes. Il est une chose précieuse, adorée et souvent entourée d’un respect presque superstitieux. Il symbolise la destruction et la mort aussi bien que la purification et la renaissance. Le feu réchauffe, mais brûle aussi. Il apporte confort et bien-être d’un côté alors que, de l’autre, il est souffrance et douleur.
Le véritable courage n’est pas de se donner la mort ; le véritable courage, c’est de vivre ! Il est facile de trouver en soi la force de mettre fin à ses jours, mais il est beaucoup plus difficile de continuer à se battre et de croire en son avenir. Voilà la véritable force ! Celle qui nous pousse tous les jours à affronter une nouvelle journée en essayant d’y trouver la joie et le bonheur.
Derrière lui, il y avait bel et bien une porte lourde en fonte, habilement sculptée. Noire comme l'ébène, à peine visible dans l'obscurité, elle avalait l'obscurité comme une cheminée aspire la fumée d'un feu. Amos avait beau augmenter la puissance de sa flamme magique, il ne voyait pas mieux.
Bryan Perro lit un extrait d'Amos Daragon dans le cadre du Salon International du Livre de Québec, avril 2015