Une folie de merles vocalise dehors
Une usine. Des luttes contre la fermeture et les licenciements.
Des textes de
Sorj Chalandon, Juliette,
Serge Halimi,
Monique Pinçon-Charlot et
Michel Pinçon,
Dominique Manotti,
Laurent Binet,
François Morel,
Didier Super,
Guillaume Meurice,
Didier Castino,
Hervé le Corre, Philippe Blanchet.
Des dessins de Bar, Faujour, Visant, Cami, Urbs, Brouck, Large, Colloghan, Giemsi, Besot, Man, Charlie Delta, Emma,
Plantu, Ray Clide, Lasserpe, Java.
Contre les silences et les dénis, pour rendre publiques les décisions des actionnaires privés… Une solidarité qui engendre des mots contre les maux du capitalisme, de l'intérêt privatif et égoïste, de la veulerie politique.
Contre les trucages lexicaux qui voudraient que des licenciements soient nommés Plan de sauvegarde de l'emploi (PSE), que l'assistance permanente de l'Etat aux entreprises et à leurs actionnaires soient rebaptisées subventionsou incitations fiscales (Les dirigeants d'entreprise demandent des subventions pour « créer » des emplois, c'est une forme d'escroquerie en bande organisée), que la complicité choisie (« ne rien faire, c'est choisir ») par les pouvoirs publics soit considérée comme une impuissance, « Ce livre a pour objectif de mettre un peu de lumière sur cette lutte et d'encourager tous ceux et celles qui ne veulent pas se résigner »
Contre les airs du temps, la novlangue, l'idéologie de la concurrence et du marché, une autre chanson, « faire briller les yeux de qui n'est plus tout seul dès lors qu'il entonne le refrain », d'autres mots et des actions pour décider en tant que salarié·es, en tant qu'ouvrier·es, en tant que citoyen·nes, collectivement et démocratiquement de nos avenirs…
Le titre de cette note est emprunté à
Hervé le Corre.
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