Le visage de ma fille qui s'était défenestrée dans son appartement de Munich, ne me quittait plus. À cette époque, il m'était impossible d'écrire. Je passais des heures dans mon cabinet de travail, sans bouger, devant des piles de feuilles blanches. J'en étais là à me morfondre quand mon cousin Golo a frappé à la porte. Il m'a écouté et il a essayé de comprendre. Ce qu'il voulait, c'était m'aider, et moi j'étais heureux qu'il soit là.
Aussitôt il m'a proposé ... >Voir plus