Je ne connaissais pas cet auteur et j'ai reçu son livre dans le cadre de l'opération masse critique : "Mauvais genres" du mois de mars 2023. Je l'avoue, si je n'avais pas reçu ce livre pour l'opération masse critique, je ne me serai pas arrêté dessus en magasin et je ne l'aurai probablement jamais lu. 📚
Le livre à une dimension particulière, les écritures de la quatrième de couverture sont penchées, comme pour indiquer que l'auteur a un style décalé, style que je ne lit pas à la base. A peine commencé, on découvre que l'auteur a un univers bien à lui. L'écriture est extrêmement familière! D'ailleurs, je ne suis pas du genre a avoir un langage soutenu mais j'ai trouvé qu'il y avait plus d'insultes que nécessaire, surtout dans les débuts.
On suit Dondon et Jana dans leurs péripéties après qu'ils aient tout envoyé valser de leur ancienne vie, après que tout deux aient commis des meurtres. 🔪
Au fil de l'eau, Dondon se retrouve au coeur des problèmes liés à Jana.
Je ne relirai probablement pas cet auteur, tout simplement car comme précisé plus haut ce n'est pas un style que j'aime 😊
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Tout d'abord merci à Babelio et aux éditions flatland pour ce roman de la masse critique !
Ce que j'apprécie toujours dans ces événements est la découverte et j'en ai eu pour mon compte...
Tout d'abord le format du livre : long et tellement peu large qu'il tient dans la main. Un couverture, photo probable de concert mouvementé, filtrée de fuchsia.
Ensuite le contenu.
Trois nouvelles, différentes par les sentiments qu'elles engendrent mais d'une même trempe : brutes, directes, d'un style plus oral qu'écrit avec le vocabulaire sans fard qui va avec.
Et surtout noir noir noir.....
Clairement à part , le style sans me choquer ou m'attirer ne m'a pas déplu. Les histoires sans être vulgaires dégagent une sensation volontairement désagréable.
J'aurais aimé plus de corps à ces histoires même si je pense faire de nouvelles tentatives avec cet auteur bien à part....
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Mais au plus loin que je pouvais voir, à travers le pare-brise comme dans la lunette arrière, les Montagnes s'élevaient comme des remparts, marquaient le terrain, elles dessinaient les parois vertes et noires lardées de pourpre d'un écrin dans lequel je me sentais au sec, au chaud malgré les basses températures et dépression du jeune hiver galopant.
Les jours passent et les salauds trépassent - page 50