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Noël Simsolo (Autre)Jean-Michel Dupont (Autre)Roberto Baldazzini (Autre)
EAN : 9782344017005
168 pages
Glénat (12/05/2021)
3.42/5   13 notes
Résumé :
1956. Avec le triomphe de La Blonde et moi, Jayne Mansfield s’élève au rang de sex-symbol planétaire. Pour cette plantureuse texane qui se rêve en nouvelle Marilyn, tous les espoirs sont permis, d’autant qu’à sa plastique affolante s’ajoutent de vrais talents d’actrice et un Q.I. hors du commun. Quand elle épouse Mickey Hargitay, alias Monsieur Univers, et qu’elle emménage à Beverly Hills dans son fabuleux Pink Palace, Jayne nage en plein conte de fée. Seulement voi... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
Jayne Mansfield était un sex-symbol de l'Amérique des années 50 et 60. Cette BD constitue sa première biographie. Je ne connaissais pas vraiment son histoire car c'est une actrice qui suivait les pas de la célèbre Marilyn Monroe tout en usant de ses charmes auprès des producteurs qui pouvaient la faire avancer.

Malheureusement, elle va connaître la gloire mais également une descente aux enfers jusqu'à cette tragédie d'un accident de voiture qui lui coûtera la vie à seulement 34 ans. Bref, c'était sans doute le prix à payer après une vie d'excès. La BD va décrire ce drame comme une délivrance pour elle.

Elle avait pourtant tout pour réussir et pas seulement une belle plastique mais un QI hors norme. Elle a malheureusement bradé ses rondeurs et perdu sa dignité aux yeux des producteurs Hollywood. Elle était surtout sollicitée pour les cocktails de presse ou les calendriers de fin d'année, si bien que les stars hollywoodiennes la snobent à l'image de Paul Newman par exemple. Sa carrière va alors décliner petit à petit au gré de choix plutôt douteux.

Elle quittera par exemple ses maris successifs dont l'homme de sa vie Mickey (Mister Univers) pour un autre qui ne la respectait pas et qui va l'enfoncer davantage dans les vices. Elle sera même présenté au leader de l'Eglise de Satan qui fera d'elle sa grande prêtresse. On croit rêver mais c'est plutôt un véritable cauchemar. Icône déchue noyée dans l'alcool et les psychotropes, elle resta populaire tout en étant réduite à des tournées miteuses.

Cette BD est plutôt bien réalisé avec un graphisme so sweet. Je retiens de Jayne qu'elle fut une héroïne tragique de la légende Hollywood. Un QI de 163 mais une star de cinéma vulgaire réduit au rang de playmate. Triste destin.
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Rose, et encore du rose 🐩

🦩Même avis que la magnifique analyse d'ERIK_
Être une idole a un prix, et c'est en lisant le parcours sulfureux de cette Jayne que l'auteur nous démontre tout l'envers du décor. le tout dans un décor poudré de rose, de coeur, de chien coloré, de flamant rose … muse de sa plastique et seulement de son physique, elle n'aura jamais accédé à un film d'auteur, dramatique ou psychologique. Une biographie bien détaillée, un parcours chaotique entourée de ses enfants, amants, maris et tortionnaires !
Destin qui se termine par un drame et enchantera les tabloïds de l'époque et malheureusement une manière de marquer ce sex symbole (l'ombre de Marylin).
Un graphisme pop des années 50, on croirait sortir d'un calendrier ou des pubs illustrées de Norman Rockwell. Vintage mais réussi, ce volume est accompagné d'une intro de JP Dionnet et d'un magnifique artbook.🦩
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La tragique destinée de Vera Jayne Palmer - Jayne Mansfield - mise en dessin. On garde toujours en mémoire son 115 d'et pour certain le regard inquiet de Sophia Loren en 1957, au moment où elle le posait sur la poitrine de l'actrice. Mais on oublie - c'est toujours facile - que Jayne Mansfield , La Blonde Explosive, avait un quotient intellectuel de 163, parlait cinq langues, jouait du piano et était une violoniste. Une Playmate et une femme intelligente.
Sa courte vie, jusqu'à sa mort en 1967 près de Slidell , en Louisiane. Son chauffeur encastrant la Buick Electra dans un camion à deux vingt-cinq. les années 60 n'auront été qu'une chute inexorable : enchainant les Strip-teases dans des cabarets sordides, se laissant tripoter par des chanteurs qui débarquaient de leur lointain Liverpool vivant coincée entre entre amants et ami violent.
Une très bonne découverte. Des dessin que j'ai beaucoup apprécié.
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critiques presse (3)
Sceneario
14 juin 2021
Une excellente surprise que cet album. Très conseillé !
Lire la critique sur le site : Sceneario
BDGest
26 mai 2021
Comme pour Hedy Lamarr de William Roy & Sylvain Dorange, Sweet Jayne Mansfield tendrait-il à laisser penser que dans le Hollywood d’après-guerre, pour réussir, il valait mieux être belle plutôt que trop intelligente ?
Lire la critique sur le site : BDGest
LigneClaire
17 mai 2021
Un album qui est ni plus ni moins que le récit d’une tragédie hollywoodienne et la description du sort violent fait le plus souvent aux actrices encore aujourd’hui où vieillir pour elles signe leur sortie des écrans à quelques rares exceptions comme Meryl Streep.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
Citations et extraits (1) Ajouter une citation
On ne peut pas vivre une vie de rêve sans jamais en avoir rêvé.
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Videos de Noël Simsolo (26) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Noël Simsolo
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