Le Cantalou, un Auvergnat moustachu bien de chez nous
sort de taule la mine réjouie avec en vue un pactole provençal
qui va le rendre pénard pour ses vieux jours.
Mais zut , flute, mince ou m...
c'est bêta, il n'a pas le code pour ouvrir le coffiot rempli d'or.
La bonne âme qui a le sésame Ouvre-toi
ne veut lui donner qu'en échange de l'adresse de la planque
et de la moitié du gros gâteau tout chaud.
Que nenni, L'Auverpin reste auvergnat
au grand dam de l'autre pleureuse qui fait appel
à la bande de Nice pour rafler le butin
et pourquoi pas le rayer de la carte.
Va s'ajouter à cette partie de pétarade,
un Yougoslave qui a du chien , un charbonnier
et sa Laurette qui est vraiment très chouette.
Quel nuit mes amis, c'est la fiesta à la mode
Siniac
Difficile d'échapper au menu de la soirée auvergnate :
Distribution à volonté de châtaignes, de bleus d'Auvergne
et de salades de la bande niçoise ;
sans oublier un long détour par les bains douches, les ciné louches
et les bistrot parigots en compagnie de Scoto l'impresario des yéyés,
Mâche toujours, le chouchou à Léone, Locomotive Brown
et tous les autres déclassés à têtes de veau ...Marengo !
Comme d'habitude, avec
Siniac, je me suis laissé couler
dans une histoire ébouriffante et rocambolesque qui m'a coupé la chique à la fin.
La nuit des Auverpins,...m'enfin !