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The magpie society tome 1 sur 2

Christophe Rosson (Traducteur)
EAN : 978B08HS1Z16G
La Martinière Jeunesse (22/10/2020)
3.62/5   99 notes
Résumé :
La vie à Illumen Hall, prestigieux pensionnat anglais, a toujours été rythmée par le travail et les traditions. Mais depuis qu'on a retrouvé le corps sans vie de Lola avec une pie tatouée dans le dos, le vernis se craquelle.
Audrey, fraîchement arrivée des Etats-Unis pour tourner une page et bâtir son avenir, aurait préféré tout ignorer de cette histoire !
Ivy, elle, voudrait juste faire le deuil de son amie Lola et se concentrer sur ses cours.
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Critiques, Analyses et Avis (43) Voir plus Ajouter une critique
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Challenge plumes féminines 2022 – n°36

Roman découvert lors de critiques positives en 2020. Je l'ai acheté en suivant car le résumé m'intriguait, malheureusement il a été vite englouti par ma pal. Je l'ai ressorti à l'occasion du challenge et j'espère y trouver une bonne lecture faisant suite à mon autarcie « Divergente ».

Le début est un petit peu lent à démarrer, on est aussi perdu qu'Audrey dans ce nouvel environnement. Ivy me fait l'effet d'une peste en comparaison d'Audrey. Au début, je n'ai pas fait attention à l'alternance de narratrices mais on s'y fait bien vite et on les reconnaît facilement en suivant. Heureusement, quelques détails de mort suspecte ont attisé ma curiosité ainsi que cette intrigante école. Qu'a-t-elle donc de si spécial ? Plus on avance dans l'histoire et plus celle-ci se corse. Ivy et Audrey ont fini par devenir amies et essayent de résoudre le mystère d'une mort accidentelle au sein de l'école. Mais plus elles avancent dans leur enquête et plus de nombreux éléments sont mis au jour : mal-être, amour interdit, mensonges, amitié, secrets, société secrète… Où cette enquête va-t-elle les mener ? Que vont-elles découvrir au bout du chemin ? le moins que l'on puisse dire, c'est que la fin donne envie de se jeter sur la suite. Malheureusement, je ne l'ai pas en ma possession mais ça ne serait tarder. Dommage que le dernier tome de cette trilogie n'ait pas encore vu le jour. Peut-être cette année ?… En tout cas, je me suis prise d'amitié pour Ivy et Audrey et malgré leurs nombreuses erreurs de raisonnement, j'ai envie de connaître le fin mot de leur enquête sur la mort de Lola.

Comme vous l'aurez compris, ce premier tome a été une bonne découverte de ce duo d'auteures. Leur style est très agréable et se lit très vite. La preuve, il a été dévoré en 3 jours. L'alternance entre les 2 jeunes filles permet d'avoir une vision plus large de cette étrange école et de son Cercle des Pies. Par contre, je ne comprends toujours pas pourquoi elle est classée en fantasy. Pour le moment, rien ne permet de le dire. En tout cas, c'est une agréable littérature jeunesse que je vous conseille de découvrir. Pour ma part, je vais me procurer la suite incessamment sous peu.

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Je remercie La Martinière Jeunesse pour l'envoi, via net galley, du roman : The Magpie society (tome 1) de Zoe Sugg et Amy McCulloch.
Quand une des élèves de la prestigieuse Illumen Hall boarding school est retrouvée morte, une mystérieuse pie tatouée dans la dos, Audrey et Ivy, deux pensionnaires que tout oppose, découvrent un secret terrifiant caché au coeur de leur école à l'apparence si parfaite.
The Magpie society est le premier tome d'une trilogie écrite à quatre mains.
Le prologue nous emmène lors d'une fête de fin d'année à la prestigieuse Illumen Hall boarding school, où Lola est retrouvée morte.
Puis, nous suivons la rentrée des classes de deux élèves : Ivy et Audrey. Alors que la première étudie depuis plusieurs années dans le pensionnat ; Audrey débarque des États-Unis suite à un événement que nous découvrons à la fin du roman.
Les deux jeunes filles ne vont pas s'entendre immédiatement ; Ivy étant en colère de ne pas avoir eu sa chambre individuelle comme cela était prévu.
Audrey débarque, elle est un peu paumée même si elle va finalement prendre ses marques assez facilement.
J'ai aimé comment leur relation évolue et ce sont deux jeunes filles plutôt sympathiques.
L'ambiance est assez particulière dans ce pensionnat anglais qui semble parfois sortit d'un autre siècle. Il y a une histoire de société secrète, de pies, qui est très intéressante.
Peu après la rentrée un mystérieux podcasts est diffusé pour faire la lumière sur la mort de Lola. Là encore c'est très intrigant.
Ivy va essayer de découvrir l'identité de la personne qui diffuse le podcasts et essayer également de savoir qui a pu tuer Lola. Audrey va évidemment se retrouver à l'aider.
J'ai aimé le duo formé par ses deux jeunes filles. Elles ont chacune leur personnalité, leur façon de voir les choses. Plusieurs personnages gravitent autour d'elle, dont certains m'ont plu car on sent qu'ils ne sont pas lisses et peuvent cacher pas mal de secrets.
The Magpie society est un premier tome qui pose bien les bases d'une trilogie très prometteuse.
Vu la fin, j'ai hâte de lire la suite.
Même si je n'ai pas eu de coup de coeur, j'ai apprécié ma lecture et je le note quatre étoiles :)
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: le début du roman " The Magpie Society" inspirera aux fans ados de séries américaines un mélange de deux séries icôniques, " Gossip girl" de Josh Schwartz et Stephanie Savage ( d'après la série littéraire de Cecily von Ziegesar), pour le glamour estudiantin( en uniformes d'écoles privées par contre), son monde de secrets entre "amis" qui s'aiment et se trompent, mais aussi la série " Twins
Peaks" de David Lynch, avec son personnage de Laura Palmer.
Le mystère qui plannera au dessus de la mort par noyade de Dolores "Lola", une lycéenne du Pensionnat d'Illumen Hall en Angleterre, et les secrets personnels qui écailleront le vernis de sa réputation de perfection, fera penser au personnage de Laura Palmer, jeune fille aimée, sans histoires, reine de sa promo', admirée par les élèves de son lycée autant que par les adultes de sa ville, mais qui cachera une vie de noirceur et de mal-être.
Lola s'est-elle vraiment accidentellement noyée?
Un peu avant le drame, elle avait surpris tout le monde en modifiant son look sage et parfait vers une curiosité plus punk et s'était faite tatouée une pie dans le dos.

Avant d'en arriver à une enquête et à une remise en question des faits, le roman nous proposera d'avance de découvrir ce qui va suivre sous trois angles différents, dont Ivy et Audrey, nouvelles colocataires d'internat.
Elles ne s'apprécieront pas beaucoup et devront supporter leurs différences de caractères. Ivy est une "première de la classe" issue d'un milieu modeste, un peu froide, très ambitieuse pour ses études et sa réputation, elle vouait de l'admiration pour Lola, le parfait modèle de réussite à Illumen Hall.
Elle n'aura pas de temps à perdre avec des élèves dillétantes comme Audrey.
Audrey arrivera des Etats Unis, placée par son riche père au pensionnat (pour on ne sait quel pêché). Audrey devra retrouver discipline et droiture mais on sait tout de même dans ses chapitres consacrés qu'elle n'est pas une bimbo meneuse, plutôt une suiveuse prête à certaines sottises pour plaire. À Illumen Hall, ça ne sera pas le défilé de mode comme dans "Gossip girl", nous sommes en Angleterre pas en Amérique: uniforme scolaire, pas de maquillage ni de téléphone, au régime sec. de quoi transformer les conditions habituelles de bien-être un peu fun d'Audrey en enfer.

Le travail à quatre mains des deux auteures permettra de raconter une même histoire mais de façon complémentaire avec la nouvelle de l'établissement, au regard frais, nouveau sur les élèves et celle qui y sera implantée depuis la sixième, depuis toujours, qui devra choisir entre la fête et la réussite.

Lola et la pie.
Les auteures installeront une tradition et une superstition chez les étudiants autour de l'oiseau, jugé presque aussi malveillante que le chiffre13. Et il ne nous échappera pas que Lola avait cette pie sur le dos.

Le corbeau et la pie.
Une troisième narration se glissera parmi les deux autres, un podcast racontant, spéculant sur le drame " Dolores Lola".
Ceci nous fera évidemment penser à la mystérieuse " Gossip girl" et son blog évoquée plus haut, anonyme et détentrice des sombres secrets des élèves de la série, révélatrice des pêchées de chacun. On ne savait pas trop dans sa série si "Gossip girl" agissait par acte de justice sur une société vernie très égoïste et corrompue ou par plaisir d'alimenter la médisance.
Il sera de même ici avec l'emission "Je sais qui a tué Lola", usant du mode podcast très apprécié des jeunes pour rassembler un public ici avide de scandales.
Pour ceux et celles qui ne sauront pas ce qu'est un podcast, pour faire court, c'est une chronique sonore qui cumulera les avantages du blog thématique et d'une narration vivante orale à l'identique du vieux feuilleton radiophonique.
Le feuilleton ici présent relancera le sujet Lola et sèmera des doutes quant aux circonstances accidentelles de la mort de Lola.
Ce n'est peut-être pas un accident et personne ne s'en préoccupe, suggère le chroniqueur anonyme.
Incluant des faits réels, la chronique mitonnera un divertissement captivant avec une part de comédie au micro. le chroniqueur mystère saura allécher son public par l'introduction de bouts d'interviews réels, à l'insu de témoins ou en les avertissant de l'enregistrement pour mener sa propre enquête d'une enquête qui n'est pas ouverte par la police( puisqu'il n'y a pas meurtre avérée).
Malgré le mélange vrai-faux qui transformera le podcast en mode réality show dynamique très apprécié, le podcast ne modifiera pas les noms, écartant l'enregistrement d'un feuilleton fiction qui pourrait se protéger d'attaques en diffamation possibles. le chroniqueur ne souhaitera donc pas faire que de l'audimat, il jouera le jeu du journaliste d'investigation en plus de celui de la presse à scandales ( pour mobiliser l'intérêt public).
L'intérêt du chroniqueur mystère représentera un des intérêts du livre, nous ramenant régulièrement à l'enquête.
Qui est-il lui-même? Un frère, un cousin, un amant, une meilleure amie?
Son mode opératoire, sa façon de raconter le drame d'une autre, brossera aussi pour le public qui l'écoute le portrait d'un personnage dont tout le monde souhaitera connaitre l'identité.
Qui était Lola? Qui fréquentait-elle?
Que faisait-elle au bord de la falaise tandis que tout à chacun au Pensionnat sait bien que c'est instable?

Le jeu astucieux des deux histoires de vie associées à des extraits de podcasts pour dynamiser est une bonne idée, nous sortant du duel Ivy/ Audrey. Les groupes respectifs des deux colocataires permettra d'alimenter aussi l'affaire " Lola" et de voir qui la connaissait ou qui la détestait.
Il faudra se plonger dedans pour en connaitre d'avantage sur cette fameuse " Magpie society".
Les amateurs du genre
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Le quatrième de couverture annonce une trilogie. C'est une bonne nouvelle pour moi, je craignais vraiment que l'intrigue ne se délite dans un trop grand nombre de tomes. Si je devais faire court, je dirai que j'ai aimé ce roman plus que je ne le pensais après avoir lu quelques pages.
La cause ? le début avait réellement été un début-choc, nous assistons en direct à la découverte du corps de Lola. Puis, dès que l'on tourne la page, la pression retombe. Tout semble redevenu normal, pour ne pas dire banal : nous découvrons l'arrivée d'une nouvelle élève, Audrey, dans l'école. En soi, la confrontation entre un nouvel arrivant et un univers clos, fermé, dans lequel tous, de l'élève au professeur se connaissent, n'a rie de bien étonnant. Que la nouvelle élève; Audrey, soit américaine et arrive ici presque en exilée volontaire a de quoi surprendre. Pourquoi a-t-elle quitté sa Georgie natale (l'état, pas le pays, même si elle ne savait pas que ce dernier existait) ? Pourquoi se retrouver dans un internat anglais, au règlement guindé et à l'organisation presque poussiéreuse ? Je me suis demandée si les adultes se rendaient compte à quel point les ados étaient capables d'enfreindre certaines règles sans se faire prendre !
Pour Ivy, c'est tout le contraire. Cet internat a été une planche de salut pour elle et sa famille. Excellente élève, sportive et musicienne, elle a obtenu une bourse qui a permis à sa famille de surnager financièrement. Très investie, elle prend son rôle à l'internat très à coeur, même si, de prime abord, elle n'accueille pas avec joie la présence de cette américaine aux goûts excentriques avec joie. Mais un autre événement vient perturber la vie de l'internat. Déjà qu'il est difficile de faire comme si tout était normal après la mort accidentel de Lola, mais le fait qu'un mystérieux podcasteur promette des révélations au sujet de la mort de Lola, affirmant que l'enquête a été bâclé, que certains faits ont été classés sans suite trop vite jette une chape de brume sur l'établissement.
J'ai aimé suivre ses podcasts, j'ai aimé, surtout, voir le rapprochement entre Ivy et Audrey. Aller au-delà des apparences, toujours, oser aller contre la « meute », ceux qui se liguent contre une personne, parce qu'à plusieurs, on oublie à quel point ce que l'on fait est mal, voire peut déraper très rapidement. Ne pas être coupable est une chose, ne pas être responsable en est une autre, et Audrey sait faire la différence entre les deux, Ivy aussi. de même, reconnaître ses torts, c'est bien, ne pas recommencer, c'est mieux aussi.
Le dernier tiers du roman les voit toutes deux se plonger dans des recherches complexes non seulement pour savoir véritablement ce qui s'est passé, la nuit où Lola est morte, mais aussi pour connaître ce qui se cache derrière la fameuse et angoissante (à mes yeux) société des pies. J'ai aimé l'ambiance qui se dégageait de ses pages, j'ai aimé le regard qu'Audrey porte sur ce qu'elle découvre, même si, comme Ivy, je pense aussi qu'il ne faut pas se fier aux rumeurs de toutes sortes.
Le tome 2 sort bientôt, il est évident pour moi que je le lirai.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
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Un mail envoyé par l'équipe de babelio parlait d'une trilogie fantastique, d'un roman jeune adulte gothique et moderne. Elle prometait de découvrir un roman à l'ambiance victorienne, le frisson du pensionnat anglais aux sombres secrets. La couverture est jolie, elle m'attire avec ses couleurs sombres, tranchantes sur le blanc. Et quand j'ai vu qu'il se trouvait dans la sélection de Masse Critique jeunesse et jeune adulte, je n'ai pas hésité à le demander.
"The Magpie Society, tome 1 : One for Sorrow" est le premier livre écrit à quatre mains des auteurs Zoe Sugg et Amy McCulloch. Merci aux Éditions de la Martinière Jeunesse et à Masse critique de m'avoir permis de lire ce premier tome.
Audrey, jeune américaine, déménage au Royaume-Uni. Elle s'est inscrite à Illumen Hall, un internat privé britannique au décor grandiose. Elle apprend avec étonnement que l'été précédent, Lola, une étudiante a été découverte morte sur la plage. Celle-ci avait une pie tatouée sur le dos. Audrey a des difficultés à se concentrer sur son travail scolaire quand elle se rend compte qu'elle dort dans la chambre de Lola et qu'elle se heurte devant l'accueil glacial d'Ivy, sa nouvelle colocataire. Malgré tout les deux adolescentes vont collaborer pour enquêter sur la disparition de Lola (peut-être même de son meurtre) et percer les secrets de l'école.
Il y a deux auteurs Zoe Sugg et Amy McCulloch et chacune écrit respectivement un chapitre au nom des protagonistes, Audrey et Ivy. Les deux histoires se mélangent parfaitement parce que les deux points de vue sont identiques quasiment interchangeables.
Le livre est lent pour un thriller. le début comprend vraiment beaucoup de mise en scène et de construction de personnages. J'ai vraiment l'impression d'être dans une école, de passer d'un groupe d'amis à l'autre, d'être occupée par des choses mineures comme des activités scolaires, les autres élèves et leurs téléphones. La promesse de ce livre était basée sur un internat d'élite dans une école vieille, vintage et victorienne. On est très loin de l'internat anglais aux codes surannés. Il y a bien un uniforme, des règles à respecter mais rien d'exagéré.
Ce n'est que dans la seconde moitié que les révélations - l'histoire de Lola, la mystérieuse société Magpie, le passé d'Audrey – sont dévoilées les unes après les autres. Mais à la fin du livre, l'enquête n'est pas résolue. On ne sait toujours rien et c'est frustrant.
Le style d'écriture est simple, peut-être à cause du public jeune ciblé. L'histoire est basique, rapide et facile à comprendre. le podcast « Qui a tué Lola ? » apporte un peu d'originalité au récit.
De nombreux sujets d'actualité sont traités (harcèlement, intimidation, dépression, pauvreté, meurtre, suicide ..) mais avec beaucoup de subtilité pour rester approprié à un public adolescent.
Honnêtement, j'avais de grandes attentes pour ce livre mais je n'ai pas du tout été captivée.
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Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
𝑸𝒖𝒊 𝒗𝒐𝒊𝒕 𝒖𝒏𝒆 𝒑𝒊𝒆 𝒗𝒐𝒊𝒕 𝒔𝒆𝒔 𝒑𝒆𝒊𝒏𝒆𝒔,
𝑸𝒖𝒊 𝒆𝒏 𝒗𝒐𝒊𝒕 𝒅𝒆𝒖𝒙 𝒗𝒐𝒊𝒕 𝒔𝒆𝒔 𝒋𝒐𝒊𝒆𝒔;
𝑸𝒖𝒊 𝒗𝒐𝒊𝒕 𝒕𝒓𝒐𝒊𝒔 𝒑𝒊𝒆𝒔 𝒗𝒐𝒊𝒕 𝒖𝒏𝒆 𝒇𝒊𝒍𝒍𝒆,
𝑸𝒖𝒊 𝒆𝒏 𝒗𝒐𝒊𝒕 𝒒𝒖𝒂𝒕𝒓𝒆 𝒗𝒐𝒊𝒕 𝒖𝒏 𝒈𝒂𝒓𝒔;
𝑸𝒖𝒊 𝒗𝒐𝒊𝒕 𝒄𝒊𝒏𝒒 𝒑𝒊𝒆𝒔 𝒗𝒐𝒊𝒕 𝒅𝒆 𝒍'𝒂𝒓𝒈𝒆𝒏𝒕,
𝑸𝒖𝒊 𝒆𝒏 𝒗𝒐𝒊𝒕 𝒔𝒊𝒙 𝒗𝒐𝒊𝒕 𝒅𝒆 𝒍'𝒐𝒓 ;
𝑸𝒖𝒊 𝒗𝒐𝒊𝒕 𝒔𝒆𝒑𝒕 𝒑𝒊𝒆𝒔 𝒗𝒐𝒊𝒕 𝒖𝒏 𝒔𝒆𝒄𝒓𝒆𝒕,
𝑮𝒂𝒓𝒅𝒆́ 𝒋𝒖𝒔𝒒𝒖'𝒂̀ 𝒍𝒂 𝒎𝒐𝒓𝒕.
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On passait toute l'année ensemble au pensionnat, et, qu'on le vive bien ou non, les grandes vacances nous rendaient tous mélancoliques. [....] Les grandes vacances étaient un déchirement, deux mois de séparation forcée.
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"Et entre ses épaules, un tatouage de pie très détaillé. Les ailes étirées de sorte que la pointe des plumes, aussi acérées que des poignards, passait par-dessus ses épaules pour épouser ses clavicules."
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Qui voit une pie voit ses peines,
Qui en voit deux voit ses joies;
Qui voit trois pies voit une fille,
Qui en voit quatre voit un gars;
Qui voit cinq pies voit de l’argent,
Qui en voit six voit de l’or;
Qui voit sept pies voit un secret,
Gardé jusqu’à la mort.
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Sur le dos il y a une silhouette d’oiseau – sûrement un corbeau. Ivy et moi échangeons un regard. On sort le livre de son étagère avec la plus grande délicatesse et là, surprise : les pages elles-mêmes sont bordées d’or.
On l’ouvre et ma mâchoire se décroche quand je découvre l’inscription au crayon sur la première page :
Le premier pas vous mène par-dessus bord.
Et en dessous, il y a le croquis d’une pie.
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