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EAN : 9782356740342
58 pages
Daniel Maghen (15/05/2014)
3.59/5   39 notes
Résumé :
Un dessinateur de bande dessinée, de retour de festival, s'arrête le temps d'une nuit dans un hôtel au bord d'une nationale. Epuisé, il rejoint sa chambre, dont la décoration,toute simple, se résume à une gravure encadrée au-dessus du lit. Intrigué par le dessin, le voyageur s'approche, tend la main vers le cadre et voit ses doigts passer au travers... Bientôt, c'est son corps tout entier qui est aspiré et projeté dans un monde absurde, complètement fou et pourtant ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (15) Voir plus Ajouter une critique
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Comme c'est agréable de se laisser porter par la rêverie...

Revenant d'un salon de BD, le dessinateur Guillaume Romain, trop fatigué pour continuer à faire la route, s'arrête pour la nuit dans un petit hôtel de campagne : "Le Temps Perdu". Intrigué par une vieille gravure, accrochée dans la chambre louée, et avec une sensation du déjà-vu, il touche le dessin...le traverse...et passe de l'autre côté...
Il croise là-bas un gamin avec lequel il va faire un bout de chemin dans ce pays où les soldats poussent dans l'humus de la forêt, où on arrache, telles des molaires cariées, les vieilles maisons de la terre avec leurs racines, où les vieux conteurs se creusent littéralement la tête pour tenter de retrouver "des lambeaux de rêves"...

À son réveil, le lendemain, Guillaume remarque que la gentille hôtelière n'est pas indifférente à son charme...il promet de revenir. Peu de temps après donc, Guillaume observe, dans une autre chambre, une gravure semblable à la précédente et fait une deuxième excursion au pays du temps perdu...

Un voyage fantastique et onirique, hors lieu et hors temps, qui offre à Guillaume des rencontres d'un autre âge.
Une ballade dans les paysages magnifiques et paisibles, dessinés par Vink qui favorise les couleurs pastels, s'étirant jusqu'aux tonalités plus vives et les nuances de rose si chères à ce dessinateur.
La luminosité imprègne tout, non seulement la nature mais aussi les personnages et leurs regards. Des personnages si vivants qu'on a envie de les toucher...

Oui, c'était décidément un beau voyage dans cette contrée de l'autre côté du miroir...dans ce temps qu'on croit parfois perdu...
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Ce tome contient une histoire complète, indépendante de toute autre. La première édition date de 2013. Il a été réalisé par Rodolphe (scénario, de son vrai nom Rodolphe Daniel Jacquette), Vink (dessins et couleurs, de son vrai nom Vinh Khoa), et Cine (couleurs, l'épouse de Vink). Il comprend 56 pages de bande dessinée en couleurs. Il se termine par 12 pages d'études graphiques allant du croquis à l'illustration peinte en double page, et par un court texte de remerciements rédigé par Vink. Ce dernier est également l'auteur de la série le moine fou et de sa suite Les voyages de He Pao.

Guillaume Romain est un auteur de bande dessinée, en train de revenir au volant de sa voiture, du Salon de Cursac, un festival de bande dessinée. En ce dimanche soir, la route lui semble encore trop longue pour terminer son voyage, et il décide de s'arrêter à une auberge appelée le temps perdu. Il est accueilli par l'hôtelière Marie Brune, à qui il demande une chambre. Elle lui tend les clés de la numéro 11, avec douche et WC. Guillaume Romain monte à l'étage et ouvre la porte. Il éprouve une vague impression de déjà-vu. Il pose son sac et se dirige vers la salle de bain pour se laver les dents. Il passe devant une gravure intitulée La pays du temps perdu, qui montre un bûcheron tenant une hache levée et s'apprêtant à cogner un tronc, dans une forêt. En tant que dessinateur, Guillaume Romain apprécie la composition de la gravure et la touche du doigt. Il se retrouve aspiré à l'intérieur de la gravure, se tenant dans la forêt, à côté du bûcheron qui lui adresse la parole. Guillaume lui demande où il peut se diriger ; le bûcheron lui indique la direction du bourg et lui confirme qu'ils sont bien dans une gravure.

Le bûcheron est bien content de pouvoir poser sa hache ; Guillaume Romain se met en marche vers le bourg. Il croise un garçon assis sur une branche, essayant de trouver des éléments pittoresques dans ce qui l'entoure pour faire sa rédaction. Il s'appelle Yoyo. L'adulte et l'enfant décident de faire chemin ensemble vers le bourg. le garçon demande à Guillaume de se taire car il a entendu un groupe de soldats devant eux. le garde champêtre indique aux 4 soldats, 3 autres soldats qui sont en train de sortir de terre. Les quatre premiers aident les autres à s'extirper de la terre et à se nettoyer. le sergent Plume prend leur tête et commence à marcher au pas, en levant bien haut la jambe. Guillaume et Yoyo sortent du bois et arrive à proximité du bourg. Ils entendent des notes de musique. Il s'agit du colporteur qui joue de la vielle, des notes vertes et bleues. Yoyo indique à Guillaume de se boucher les oreilles car ces notes ravissent et ensorcellent, ce qui lui permet de voler les enfants, de les emmener et de les revendre à l'autre bout du monde. Un garçon et une fillette qui jouent dans le jardin tombent sous le charme des notes, et suivent le colporteur en changeant de couleur, lui en bleu, elle en vert.

Le lecteur peut aussi bien être attiré par le scénariste à la carrière impressionnante, que par le dessinateur à la sensibilité remarquable, que par le programme du titre ou de la couverture. Dès le départ, les auteurs proposent une mise en abîme, avec la mise en scène d'un personnage principal, lui-même auteur de bandes dessinées. La situation banale de la nuit d'hôtel bascule dès la page 5 dans la situation fantastique où Guillaume Romain peut pénétrer dans le monde des gravures, demandant une suspension consentie d'incrédulité au lecteur. Sous réserve qu'il accepte d'y consentir, l'intrigue se révèle charmante, facile à suivre. Guillaume Romain est fasciné par ces gravures, et par ce qu'il découvre en accompagnant Yoyo. Ces séquences à l'intérieur des gravures se parent d'onirisme, qu'il s'agisse des soldats en train de pousser en terre, ou de l'arrachage d'une maison. le lecteur y repère facilement des allusions à des contes, comme le joueur de flûte de Hamelin, ou la belle figure de proue d'un navire de pirates. Mais ces contes sont comme gauchis, avec un déroulement ou une fin bizarre et non-conforme à la forme classique. Certaines séquences reposent sur des caractéristiques macabres, telles les photographies de Ciao qui révèlent les individus dont la mort est proche, où le conteur dont la cervelle se vide et qui se creuse littéralement la tête pour chercher des traînées d'histoires, des lambeaux de rêves, dans une image littérale assez dérangeante.

Il est vraisemblable que le lecteur comprenne le fin mot de l'histoire assez rapidement, mais cela ne l'empêche pas d'apprécier cette bande dessinée. S'il est tombé amoureux des pages de Vink dans la série le moine fou, il hâte de retrouver cet artiste. Si son regard a été arrêté par la couverture, il a feuilleté la BD et il a pu constater que les pages intérieures présentent un même niveau de qualité. Vink dessine dans un registre descriptif et réaliste, avec un détourage léger des différentes formes, un trait discret noir ou brun. Les formes ainsi détourées sont ensuite nourries par la peinture de Cine qui vient elle aussi représenter les éléments, comme une technique de couleur directe. Cette technique de représentation marie la précision des traits encrés, avec la richesse de la peinture. L'intégration des traits et de la peinture atteint un niveau fusionnel qui fait que le lecteur ne peut imaginer à quoi ressemblerait une case sans la peinture ou sans les traits.

Dans la postface, Vink précise qu'il a dessiné les personnages d'après des modèles et le lecteur peut constater la cohérence parfaite des traits de leur visage tout du long de la bande dessinée, ce qui leur donne une forte personnalité visuelle. L'artiste a choisi une approche naturaliste, avec des gestes posés pour les différents protagonistes, des expressions variées et nuancées, des tenues vestimentaires réalistes et différentes suivant les occupations. Certains des personnages dans le monde des gravures présentent des caractéristiques sortant plus de l'ordinaire, à commencer par les étranges soldats qui poussent comme des champignons, Beau qui semble souffrir de nanisme, la silhouette déformée du plus grand conteur de tout le pays et son habit de ménestrel, ou encore Rose et sa forte poitrine. Pour tous, le lecteur apprécie l'impression de vie qui se dégage d'eux, la manière dont la couleur directe apporte des reliefs à leurs vêtements, la texture de la peau, leur langage corporel.

La première page commence par une case de la largeur de la page, montrant un panoramique d'une grande zone herbue, avec un village dans le lointain, et quelques arbres. L'attention du lecteur est également retenue par les belles couleurs ciel. Il y a visiblement de longues bandes de nuages éthérés qui retiennent les derniers rayons du soleil, avec des teintes jaune, orangée, violette. Vink & Cine n'appliquent pas des teintes vives ou agressives, mas des teintes pastel, l'aquarelle s'avérant parfaite pour rendre compte des nuances délicates. Dans une case en dessous sur la même page, le ciel a viré vers des teintes plus violettes, attestant de la diminution de la luminosité. S'il y est sensible, le lecteur peut alors prêter attention aux différents rendus du ciel au fil des séquences : un beau ciel bleu de printemps en page 8, un ciel dans une nouvelle teinte de violet en page 13, un ciel bleu avec des nuages plus consistants dans un nouveau panorama en page 18, un ciel menaçant d'orage en page 24, un ciel étoilé en page 40, un ciel d'été en page 58.

Vink représente les différents environnements de manière réaliste. le lecteur éprouve l'impression de repérer l'hôtel et d'y pénétrer avec Guillaume Romain, de regarder l'accueil, la chambre, les gravures, etc. Il regarde les différentes façades de maisons et de bâtiments, que ce soit l'alignement dans la rue où habite Romain, ou celles du village dans la première gravure. L'artiste sait aussi bien décrire une chambre d'hôtel, qu'une chambre noire, ou une salle aménagée pour un banquet de mariage. Vink & Cine sont encore meilleurs pour transcrire l'impression qui se dégage des environnements naturels. Guillaume Romain avance dans un sous-bois, avec de très belles couleurs pour les feuillages, le ruisseau, les feuilles tombées au sol, etc. Un peu plus loin (en page 18), il piquenique avec Yoyo et Beau, et le lecteur s'installerait bien à leurs côtés, sur l'herbe accueillante, à l'ombre d'un bel arbre, avec une vue dégagée sur le village. Vers la fin, Guillaume Romain est train de passer la débroussailleuse, et le lecteur peut identifier les différentes plantes formant la végétation. Il constate aussi que Vink n'a pas oublié d'équiper Guillaume avec ses équipements de protection individuelle.

Le lecteur se laisse gentiment emmener dans ce récit sur le temps perdu, celui que Guillaume Romain perd en voyageant dans les gravures, et bien sûr celui qu'il retrouve. Il se laisse prendre au jeu des contes un peu bizarres et décalés pour essayer de comprendre la métaphore. Il prend plaisir à côtoyer ces personnages bienveillants et constructifs. Il ne sait trop comment réagir quand l'auteur explicite chaque séquence onirique à la fin tome, partagé entre la découverte de la solution qui lui indique s'il avait bien deviné, et une pointe de regret à voir ainsi l'onirisme s'évanouir au profit du réel. Par contre, il a pu se plonger dans des endroits pleinement matérialisés, avec une sensibilité d'artiste pour les décrire, et assister à une forme de remémoration très plaisante. 4 étoiles pour un lecteur venu chercher une histoire plus consistante, ou une étude de caractère. 5 étoiles pour un lecteur plus sensible à la poésie et la beauté de la narration visuelle.
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Guillaume est un auteur de bande dessinée. Epuisé par la route de retour après un salon, Guillaume s'arrêt dans un petit hotel sur le bord de la route. Les lieux lui sembelnt étarngement familier mais plus curieux encore, les gravures dans les chambres semblent avori le don de le faire voyager dans un monde étrange : ses rêves.

Il ne faut pas s'arrêter aux premières pages de l'album qui m'ont plongée dans une certaine perplexité devant les évenements complétement loufoques et sans queue ni tête qui se passaient. En même temps les rêves ne sont-ils pas bizarres ? le scénariste tient par la suite à nous donner des explications rationnelles et objectives qui permet de rester accroché. Même si j'avoue avoir eu un peu de mal à apprécier l'univers onirique proposé.

Niveau dessin il y a un petit côté très adapté à ce thème du rêve. Ces jolies aquarelles aux couleurs pastels ont la douceur d'un songe. Je trouve par contre les attitudes et les visages des personnages très figés.

Quand notre incoscient nous parle à travers nos rêves ....
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Guillaume est auteur de BD. Une partie de son travail consiste à fréquenter festivals et salons. Au retour de Cursac, il roule depuis tellement longtemps qu'il redoute de s'endormir au volant. Et soudain, la solution lui apparaît : au bord de la N 711, un joli petit hôtel baptisé « Le temps perdu » l'invite au repos.
Dans la chambre 11, une gravure représentant un bûcheron l'attire comme un aimant. Tout à coup, le voilà de l'autre côté de l'image, au pays du temps perdu.
Obnubilé par ce voyage étrange, Guillaume revient à l'hôtel. Il discute avec la patronne. Elle lui montre un portfolio trouvé dans le grenier. Il contenait les images qui emmènent Guillaume de l'autre côté du miroir.
Entre rêve et réalisme, les dessins nous font voyager dans un pays mystérieux où des soldats sortent de terre comme des champignons, où un musicien entraîne des enfants au son d'une envoûtante mélodie, où les maisons ont des racines.
Peu à peu, Guillaume comprend le sens de ces étranges récits et revisite un passé qu'il avait complètement oblitéré.
La couverture de l'album est fascinante. Au bord de la mer, un couple ouvre une boîte dont s'échappent des feuilles qui se transforment en papillons.
La lecture du récit nous permet de comprendre l'ésotérisme de cette composition. le découpage des planches est original : les cases ne sont pas cernées. Elles prennent toutes les formes : verticales ou horizontales, larges ou étroites, certaines sont en incrustation, d'autres occupent la page entière.
Les couleurs sont très variées : au début de l'aventure, une planche en sépia nous permet de visualiser l'entrée dans la gravure, les tons des jardins, de la nature, sont très vifs. En revanche, des photos de classes en noir et blanc ont l'air anciennes. Elles sont suivies d'un laboratoire de tirages photographiques où tout est rouge. le trait est très réaliste, alors que l'histoire est totalement imaginaire. A la fin du volume, les dernières pages nous présentent le travail du dessinateur : croquis, portraits au crayon, grands paysages pastel.
J'ai vraiment adoré cette bande dessinée à la fois belle graphiquement et envoûtante par son imagination, ainsi que la recherche d'un passé enfoui.
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Une jolie lecture, qui m'a plu parce qu'elle reste dans l'atmosphère poétique et décalée que je connais bien de Rodolphe, et qu'il exploite surtout dans L'Autre Monde. L'association avec Vink me parait assez naturel d'ailleurs et le récit est franchement un plaisir de lecture.

C'est avant tout une BD poétique sur l'imagination et le pouvoir, mais aussi sur les souvenirs. Cette promenade dans des vieilles gravures au fil des nuits pour cet auteur de BD passé par hasard est assez vite compréhensible (la clé de lecture intervient peut-être un poil trop tôt à mon gout), mais ajoute à la première lecture décalée et pleine d'imagination une couche de nostalgie mais aussi de relecture de la composition d'une oeuvre. En définitive, Rodolphe nous parle du processus créatif et de la façon dont nous réarrangeons continuellement la vie dans les histoires que nous racontons. Surtout lorsque le temps a passé, que l'ensemble s'est recomposé ou que nous avons oublié d'où cela venait.

La BD est simple, légère, un peu trop courte à mon gout, mais confirme que Rodolphe sait manier les univers fantaisistes pour nous parler d'autre chose. C'est toujours un régal à lire, et je dois dire que Vink me convainc beaucoup plus ici avec ses dessins, moins figés et plus agréable à l'oeil. A la base, je pensais mettre un 3* mais je vais arrondir à 3.5, parce que le plaisir de lecture était quand même présent.
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critiques presse (2)
Auracan
12 juin 2014
Plus connu pour les cimaises de sa galerie spécialisée BD, son terrain de jeu habituel, Daniel Maghen enrichit son parcours d'éditeur avec un album de très belle facture.
Lire la critique sur le site : Auracan
BDGest
10 juin 2014
Jolie fable contemporaine sur les peurs et non-dits de l’enfance, ce nouvel album de Rodolphe et Vink aux éditions Daniel Maghen pourrait, pour peu de le lire avant de s’endormir, vous entraîner lui aussi dans l’une de ses planches….
Lire la critique sur le site : BDGest
Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
- Et ça, qu'est-ce que c'est ? Une barque en pierre ?
- Ça se voit, non ?
- C'est idiot ! Une barque c'est fait pour flotter et la pierre ne flotte pas !
- C'est toi, l'idiot : les barques de bois naviguent à la surface et celles de pierre au fond ! On se demande d'où tu viens !...
Commenter  J’apprécie          360
Pour les auteurs de bande dessinée, participer à des salons et des festivals représente aujourd'hui une incontournable obligation. Une obligation généralement pas déplaisante, mais à coup sûr épuisante. Invité su Salon de Cursac, j'avais exceptionnellement pris ma voiture tant le trajet en train était long et compliqué. Mais ce dimanche soir, la route du retour me semblait interminable.
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La Belle Espérance était une goélette de 120 tonneaux, avec comme figure de proue une belle à la longue chevelure et aux seins nus. À chaque instant, elle plongeait dans les vagues, en ressortait et replongeait : une éternelle bagarre avec la mer. Et un jour, la mer a gagné.
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Le plus grand conteur de tout le pays ! Il inventait des histoires formidables qu'il racontait dans les fermes. Mais il en a trop fait. Il s'est épuisé. Il en a trop dit. Sa cervelle est vide, la source s'est tarie. Alors il se creuse la tête pour tenter de retrouver quelque chose, des traînées d'histoire, des lambeaux de rêve.
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Inéluctable ? Sans doute… Mais surtout jubilatoire, formidable, lumineux ! La vie me réservait donc encore de grands moments de bonheur.
Commenter  J’apprécie          50

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