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Françoise Bouillot (Traducteur)
EAN : 9782226149749
320 pages
Albin Michel (04/02/2004)
2.85/5   17 notes
Résumé :

Eté 1890. Les enfants d’une grande famille jouent à cache-cache dans le jardin d’une splendide maison de campagne.

Une saison riche de promesses pour ces êtres privilégiés baignant dans l’insouciance. Jusqu’à la découverte du corps du plus jeune d’entre eux, mortellement blessé à la tête...

Londres, 1955. Dans une demeure bourgeoise de South Kensington, on découvre les corps de trois personnes âgées qui vivaient en reclus. ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Je ne sais plus comment je me suis procuré ce livre. Il me semble qu'il faisait partie d'un lot.

Lorsque j'ai commencé la lecture j'ai eu un doute… je m'explique, la note été de 2,8 sur 5.
Sans aucun commentaire… rien sur ce roman. Heureusement que je ne m'arrête pas à ce détail, parce que sinon je serais passé à côté d'une perle rare.

Le récit est écrit par trois personnes : Georgina et Edmund frère et soeur et leur gouvernante Ada. Chacun se raconte, leurs histoires individuelles et communes. Tout débute par trois corps retrouvés dans une maison, eux trois.

Des narrations bouleversantes, des secrets cachés… chacun des personnages attachants à leurs manières. Lorsque le récit se déroule plusieurs fois je fus surprise, c'est ce qui m'a plu, l'imprévu.

Dans le résumé de l'éditeur, il est stipulé que ce livre ressemble à Rébecca, ouvrage que je n'ai pas lu… alors je ne peux comparer… Par contre, j'ai bien envie de lire cet oeuvre.

Bonne lecture !
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Citations et extraits (2) Ajouter une citation
À certains endroits, quatre ou cinq cratères s'étaient rejoints pour former un grand lac - et si vous tombiez là-dedans vous n'aviez aucune chance de vous en sortir, sauf avec l'aide d'un copain, et encore pas toujours parce que vous aviez toutes les chances de l'entraîner dedans avec vous. Dans certains de ces trous, on voyaitbdu sang à la surface de l'eau, et on savait ce qu'il devait y avoir dessous. Il y avait des bulles aussi, de grosses bulles qui éclataient quand les corps là-dedans relâchaient leurs gaz. Personne ne pouvait les sortir de là pour les enterrer, voyez-vous. Il y avait bien assez à faire avec les blessés - les morts devaient se débrouiller tout seuls.
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Edmund pense que notre père était un ogre, mais je ne suis pas d'accord. C'est simplement qu'il aimait beaucoup ma mère, beaucoup plus qu'il ne nous aimait, nous. Je crois qu'il avait des émotions extrêmes et qu'il éprouvait pour elle une sorte d'adoration. C'est malheureux qu'Edmund et moi lui ayons tellement ressemblé, car à mon avis, c'est pour cela qu'il a préféré nous éloigner.
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