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Legio Patria Nostra tome 1 sur 2
EAN : 9782344030134
64 pages
Glénat (16/10/2019)
3.83/5   29 notes
Résumé :
Et ainsi naquit la Légion Etrangère. Le 30 avril 1863 au Mexique, 62 légionnaires de la 3e compagnie du 1er bataillon du Régiment Etranger sont piégés par 2 000 soldats mexicains dans une hacienda délabrée du village de Camaron sur la route de Vera Cruz. Sous une chaleur de plomb, sans boire ni manger, ces légionnaires repousseront les assauts des Mexicains pendant près de douze heures. Ils ont juré à leur Capitaine de ne pas se rendre. Ils tiendront parole, écrivan... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
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Lyon, 1856. Casimir Berthelot est un gamin des rues. Sa mère se prostitue pour faire vivre la famille. Mais le fils ne peut plus supporter la violence qu'elle subit de la part de son souteneur et il le fait passer de vie à trépas. Mais contre toute attente, la mère hurle qu'elle va le dénoncer. Il fuit donc à travers Lyon avec son ami Dino, un petit malfrat qui va lui faire commettre toutes sortes de larcins au point que ce dernier va y laisser la vie. Casimir n'a plus le choix : pour se faire oublier, il va devoir s'engager dans la Légion étrangère.

Le récit est mené – sans mauvais jeu de mots – tambour battant. Les dessins sont sympas et représentatifs des émotions des personnages. Cet album permet de faire des recherches non seulement sur la Légion étrangère mais encore sur la bataille de Camerone, en 1860. On commence à croiser, dans ce premier tome, des personnages ayant réellement existé. J'aime associer le plaisir de lire une BD à celui d'apprendre. Je vais donc aller lire le 2ème tome !
Lien : https://promenadesculturelle..
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Un premier tome mené tambour battant !

Casimir Berthelot et son inséparable ami Dino Laï sont deux gamins des rues de Lyon qui perpétuent de menus larcins. Depuis qu'il a entendu un tambour lors d'un défilé de l'Empereur, Casimir rêve d'en jouer. Il touche ce rêve du doigt quand, profitant de la crue du Rhône et de l'inondation de l'école de musique, il s'apprête à mettre la main sur l'un de ces précieux instruments ; mais survient une bande rivale qui l'humilie et l'en empêche. Deux ans plus tard, il a grandi et réagit cette fois en voyant sa mère se faire molester par son souteneur. Il tue ce dernier accidentellement et doit s'enfuir. Dino l'accompagne. C'est le début d'un long périple qui mènera Casimir jusqu'à Camerone au Mexique …

Cette série est prévue cinq « chapitres » comme l'inscrit Marc-Antoine Boidin à la fin de ce premier tome. On pourrait dire qu'il s'agit plutôt des cinq « actes » d'une tragédie. En effet, l'album débute par la fin : la célèbre bataille de Camerone au Mexique pendant laquelle 62 légionnaires affrontèrent plus de 2000 combattants mexicains et refusèrent de se rendre pour obéir au serment qu'ils avaient fait à leur officier, le capitaine Danjou. Or, cette issue tragique - accentuée par les tons orangés et pourpres de l'incipit qui rappellent le charnier et par les larmes de sang sur les visages en gros plans reprenant l'imagerie christique- va orienter notre lecture et montrer le déterminisme à l'oeuvre dans la destinée du héros. D'ailleurs on remarquera souvent des gros plans sur des objets symboliques : Vierge dans sa niche, statue sans tête, doigt de pierre menaçant en gros plan, église inachevée comme si le salut n'avait plus sa place dans ce monde du second Empire. L'empathie envers le héros est accentuée également par l'utilisation d'une narration à la première personne dans les récitatifs : c'est Casimir qui endosse le rôle du choeur antique et raconte son histoire a posteriori : à chaque fois que le personnage émet un voeu ou un espoir dans les dialogues, le récitatif vient le contredire. Casimir apparaît ainsi comme le jouet du destin … A la manière d'une ouverture d'opéra, cette première scène va mettre en place un des éléments fondamentaux de la vie de Casimir : la confrontation à la violence.

La rupture de construction à la page suivante avec le flash-back de l'enfance et Dino va jouer le rôle de contrepoint en mettant en scène une amitié, de la légèreté, de la drôlerie aussi (Dino ne pense qu'à manger) en déployant également une palette de couleurs complémentaires dans les tons gris verts et de superbes cases panoramiques sur le vieux Lyon qui donnent une respiration en occupant la moitié de la page. On passe alors à des scènes classiquement dialoguées.

Tout l'album est construit dans cette alternance de tons et de rythmes. Des passages presque immobiles et d'autres trépidants, des moments drôles et d'autres extrêmement violents et cette scansion est magnifiquement rendue par le découpage : dans les moments de calme et de bonheur on a des panoramiques sur les villes où se trouve le héros dans de grandes vignettes et des tons bleus ou au contraire dorés (chaleureux) ; dans les moments de tension on observe des cadrages resserrés quasi étouffants, un éclatement du gaufrier et une succession de cases étroites (à la fois verticales et horizontales )qui jouent sur le sens de lecture et se multiplient frénétiquement. Dans ces cases le rouge et le noir (menaçants) finissent par contaminer la page et pour créer de telles atmosphères, Marc Antoine Boidin joue une fois de plus en virtuose des lumières et des éclairages.

Mais cet acte 1 est aussi un acte d'exposition : il met petit à petit en présence tous les protagonistes du drame. On fait ainsi la rencontre de la belle Zélie aux yeux verts qui rêve de s'établir au-delà des mers en Algérie, du Maure méchant hyperbolique à la cruauté exacerbée ainsi que de ses sbires aux trognes pittoresques. Tous dignes de figurer dans un roman de Dickens (il y a des accents de « Oliver Twist» dans l'épisode marseillais) ou dans un roman-feuilleton par leur côté archétypal formidablement croqué par Boidin qui avait déjà travaillé sur ce genre romanesque en adaptant « Chéri-Bibi » de Gaston Leroux. On pourrait croire que le personnage d'Evariste Berg, le joueur beau-parleur et bretteur, fait partie de cette distribution fictive mais, en se documentant sur Camerone, l'on s'aperçoit qu'il a réellement existé et que le scénariste comme le dessinateur ont scrupuleusement respecté sa biographie et ses traits ! Il en est de même pour le capitaine Danjou dit « main de bois » ou encore pour les caporaux del Caretto et Louis Maine à la vie rocambolesque et pourtant réelle et aux états de service scrupuleusement exacts et savamment distillés dans des dialogues savoureux. Lorsqu'on examine la liste des légionnaires de Camerone on y trouve aussi un tambour, Casimir Laï, le seul à ne pas avoir été fait prisonnier, et dont on ne connaît pas la date de mort ! Ce vécu énigmatique rattrape la fiction, laisse une aura de mystère et donne furieusement envie de lecteur de savoir ce que Jean -André Yerlès ont brodé autour de cette destinée et de connaître la suite des aventures de Casimir, de Zélie et des autres !
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Début d'une saga dont ont on connait la fin puisqu'il s'agit de la bataille de Camerone au Mexique, bataille où 62 légionnaires résistèrent à 2000 soldats mexicains. C'est l'éloge de la légion et d'une bataille mythique telle celle des Thermopyles de Léonidas et de ses 300 spartiates.

Casimir Berthelot et Dino Laï sont deux gosses de Lyon, deux gones livrés à eux-mêmes. La mère de Casimir se prostitue et son beau-père est le proxénète de celle-ci. Les deux gamins vivent de rapines mais cela ne se passe pas toujours bien.

Leur vie va basculer une première fois quand Casimir, voulant défendre sa mère, tue son beau-père. Sa mère le renie avec violence. Avec Dino, il n'a pas d'autre solution que la fuite pour éviter une arrestation, le bagne ou la guillotine.

Casimir et Dino vont se retrouver à Marseille où ils continuent à vivre d'expédients. Dino trafique sur le port et en veut toujours plus sans s'occuper des règles du milieu. Ils ont commis l'erreur d'intervenir dans les affaires d'un maître du milieu marseillais, le Maure. Les deux gamins vont faire allégeance pour survivre et intégrer l'équipe du Maure.

Mais Dino est insatiable : il en veut toujours plus. Il veut dépouiller le Maure et disparaître. Casimir a rencontré Zélie et il en tombe amoureux. Voulant s'enfuir avec elle, il accepte d'aider Dino dans son projet fou. Mais le Maure se réveille au moment du vol et tue Dino. Il sera poignardé par l'une de femmes se trouvant dans son lit. Casimir en profite pour voler l'argent et s'enfuir.

Après un parcours de débauche, il va rejoindre la légion étrangère non par conviction mais pour fuir ce qui l'attend en France.

Drôle de parcours initiatique pour Casimir et Dino, parcours qui conduire Dino à la mort. Casimir découvre la camaraderie, en même temps que les règles du milieu. Il a vécu dans la violence et il évolue dans le monde avec violence pour survivre. La violence est devenu son quotidien. Il ne retrouve un caractère plus humain qu'en présence de Zélie. Sa vie est faite de rencontres mais les personnages rencontrés sont à chaque fois des marginaux.

Est-ce Casimir va supporter les règles de la région ? C'est la question que l'on peut se poser à l'arrivée de son régiment en Algérie.

Le scénario est entraînant, le rythme est échevelé. le graphisme est clair, une fois de plus j'ai été touché par les jeux d'ombre et lumière, en particulier pour les scènes de nuit sur les visages des personnages. Casimir évolue au fil de l'âge. J'ai beaucoup aimé les décors et la qualité graphique pour les vêtements.

À la fin du premier tome, tous les personnages sont campés. On sent la montée en puissance et on s'attend à des retournements de situations.


J'ai oublié un point : Casimir, dès le début de l'histoire, est attiré par un tambour. C'est même le titre du tome 1. Est-ce qu'on le reverra plus tard ? À voir. Et pour reprendre ce que d'autres lecteurs de Babelio ont déjà écrit : Yerlès et Boidin ont mené l'histoire tambour battant.









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30 avril 1863
62 légionnaires vont entrer dans L Histoire à Camaron, au Mexique.
Napoléon III envoie ses troupes au Mexique, mais ne se rend pas bien compte de l'endroit où il met les pieds et son "invasion" tout comme sa quête de gloire s'enlise inévitablement.

Les 62 légionnaires font faire face à plus de 2,000 soldats mexicains, et à aucun moment, ils n'envisagent de se rendre ou de fuir.

Il faudra plus d'une journée aux Mexicains pour venir à bout des légionnaires !
Et encore... les 6 derniers légionnaires, à court de munitions, s'offriront même le luxe de charger les mexicains à la baïonnette !!

Neutralisés, les 4 survivants se rendirent à condition de garder leur armes et de pouvoir porter secours à leurs camarades blessés.

7 ans plus tôt, Casimir va tuer le souteneur de sa mère, le condamnant à quitter sa ville de Lyon pour un avenir meilleur.
Avec son ami Dino, ils décident de rejoindre la Sardaigne.

Mais une fois à Marseille, ils vont connaître d'autres mésaventures en faisant la connaissance du Maure, un chef de bande connu dans toute la cité phocéenne.
Mais le courage de Casimir et Dino va jouer en leur faveur et le Maure va les intégrer à la "famille".

Mais nos deux compères ont toujours en tête le projet de rejoindre la Sardaigne natale de Dino, et autant le faire avec le trésor du Maure tant qu'à faire....

Mais voilà, lors de leur entreprise, ils rencontrent un accroc de taille, le Maure était sur ses gardes et Dino y perd la vie.

Casimir s'enfuit, quitte la ville pour rejoindre Toulon avec une belle petite somme dans ses poches quand même, et rencontre Évariste un ancien soldat.

De quoi enfin envisager une suite meilleure à sa petite vie... pas sûr....
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Je dois bien avouer que je ne sais pas trop quoi dire à propos de cette BD. Je l'ai lue dans le cadre du comité de lecture de ma médiathèque et je n'en avais jamais entendu parler avant.

Nous suivons l'histoire, sombre, de Casimir. Au début jeune garçon puis jeune homme à la fin, nous voyons, par une succession de scènes du passé, ce qui l'a amené là où il est aujourd'hui. J'y ai reconnu un gamin qui n'avait pas eu de chance, malmené par son destin. Il s'est retrouvé meurtrier là où il ne voulait vraisemblablement que défendre sa mère, laquelle le rejette aussitôt. Et puis nous le découvrons bandit, sous la botte d'un malfrat renommé alors qu'il essaie d'échapper à la police. Et enfin nous le retrouvons légionnaire. Très vite, on prend conscience que quoi qu'il arrive, l'histoire ne peut pas bien se terminer pour lui. D'autant qu'il ne semble pas non plus chercher désespérément à s'en sortir !

Je ne dirai pas que cette histoire est inintéressante, loin de là. Seulement j'ai eu beaucoup de mal à entrer dedans. La succession de sauts dans le temps en est peut-être la raison. Même s'il est vrai que ces sauts sont nécessaires pour nous expliquer qui est réellement Casimir. Heureusement, ces sauts ne sont que le début, une fois Casimir entré dans la légion étrangère, le temps reprend son cours « normal ».

Qu'on se le dise, cette histoire promet quelques rebondissements et de l'action. Pour autant, elle n'a pas réussi à totalement me captiver. La faute à Casimir je pense. Je n'ai pas réussi à m'attacher à lui (je sais, un premier tome de BD, c'est un peu court pour ça, mais certaines y arrivent très bien !). Je dirai même que je ne l'apprécie pas tellement. Si, au départ, j'avais de la compassion pour lui, il ne m'apparaît pas suffisamment sympathique pour que je m'intéresse à son sort.

Au delà de l'histoire, les dessins sont, pas contre, d'un genre qui me plaît assez. J'aime le trait, la couleur, la précision dans les détails. C'est un style assez réaliste et c'est ce que je préfère en bande dessinée. Quand à la couverture, le moins qu'on puisse dire, c'est qu'elle accroche le regard.

Du coup, je ne sais pas trop si j'aurai envie de lire la suite quand elle sortira. Peut-être quand même que oui, ne serait-ce que pour voir si Casimir trouve davantage de grâce à mes yeux ?
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critiques presse (2)
ActuaBD
28 novembre 2019
Une saga violente, sanglante, déshumanisante aussi, sans doute, dans une société colonialiste avide de profits et de pouvoir. Ce premier album dresse aussi le portrait d’une époque, un portrait tantôt historique, tantôt sociologique, par petites touches, sans insistance qui nuirait à la fluidité du récit.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
BDGest
29 octobre 2019
À l'occasion de ses grands débuts dans la scénarisation versant BD, Jean-André Yerles fait une entrée remarquée et réussie. Pour la lecture du tambour, premiers notes de Legio Patria Nostra - Notre patrie la légion -, un seul et unique mot d'ordre : engagez-vous !
Lire la critique sur le site : BDGest
Citations et extraits (4) Ajouter une citation
Mais il fallait que je parte sans me retourner sur le passé ... Je n'ai pas 20 ans et ma vie est déjà peuplée de fantômes.

(page 35)
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« Tu connais la musique ?
--Ben non, mais j’sais pas, je viens là seul le soir et je tape. Je m’imagine que des gens applaudissent. Y a eu une visite de l’empereur après l’inondation de Lyon et j’ai vu des soldats qui jouaient du tambour autour de lui. Ils avaient l’air d’avoir un pouvoir magique même Badinguet sur son cheval les écoutait en silence » (Zélie et Casimir, p.29)
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De ton gré, tu t'es engagé à servir avec honneur et fidélité.
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- Putain, Casimir, C'est la vie ! Et le destin nous attend! On est fait pour briller !
Casimir § On est les rois du monde !
- On est des riens du tout, des vauriens. Rêver, c'est pas pour nous ...

(page 8)
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Video de Jean-André Yerlès (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Jean-André Yerlès
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