LesEchos

En racontant [la vie de Maxime Lisbonne] à la première personne, Daeninckx s'est fait plaisir. Et nous fait plaisir.
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[…] A mi-chemin entre le reportage et le roman financier, Douglas Kennedy nous livre un texte bien rythmé, sans à-coup, passant d'un personnage à un autre avec un regard réaliste.
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Pour cette première bande dessinée dont il assure aussi bien les dessins que le scénario, Benjamin Flao a puisé dans son expérience et tout ce qu'il raconte sonne vrai.
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Décapant, parfois cruel, toujours nostalgique : « Pourquoi pas ? », le deuxième roman de David Nicholls […] touche par sa tendresse, mais aussi par son efficacité.
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Son écriture tranchante restitue les enjeux d'une âpre lutte à l'inégalité criante mais dans laquelle personne n'est résolu à céder sa place, quitte à user des méthodes les plus brutales. Car, selon lui, tout n'est, au final, qu'affaire de pouvoir.
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Premier roman de Stephen Mendel-Enk, né en Suède il y a trente-huit ans, « Trois Singes » raconte avec une distance non dénuée de mélancolie cette saga de trois générations de Juifs de la diaspora. Et au terme de cet ouvrage qui fleure l'autobiographie, on souhaite à son auteur d'avoir, lui, trouvé son port d'attache.
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Comme dans « le Liseur », roman qui l'a rendu célèbre, Bernhard Schlink explore comment la dissimulation et les non-dits tissent les rapports humains dans ce qu'ils ont de plus intime.
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Indispensable à tous ceux qui projettent de prendre l'Eurostar prochainement, l'ensemble est enlevé, drôle et pas totalement gratuit : car ceux qui sont partis le savent, on ne s'éloigne pas sans fantômes.
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le ton est léger, le style facile à lire et, bien que l'action tarde un peu à démarrer, on suit, sans s'ennuyer, les aventures de Sira pendant ces années de braises.
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Une intrigue diaboliquement nouée, des personnages ciselés au scalpel, un sens aigu du détail horrifique, une maîtrise appropriée de l'atlas militaire : Marc Charuel monte à l'assaut sabre au clair. Cinq étoiles.
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Inspiré d'une histoire vraie, celle de la villa Tugendhat à Brno, « le Palais de verre » mêle habilement les ingrédients du roman sentimental à la trame historique.
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En croisant les points de vue de Charlotte et de ses deux soeurs, « Quand j'étais Jane Eyre » rend palpable, touchant et universel un grand destin littéraire.
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Ce quatrième tome de la famille Spellman ne faillit pas à la règle : il est aussi déjanté et hilarant que les précédents.
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R. J. Ellory n'a pas peur des grosses ficelles pour tricoter un thriller implacable et son héros est l'archétype de l'inspecteur paumé, solitaire, en empathie avec les victimes.
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L'auteur nous sert un livre vibrant, subtil, prenant, qui file à la vitesse d'une balle lancée par l'un des « Harponneurs » de Westish, l'équipe d'une petite université (imaginaire) posée dans le Wisconsin au bord du lac Michigan et sur laquelle plane l'ombre d'Herman Melville.
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