[...] embrassant, dans un seul et même geste, l'intime – la réflexion sur le temps, la perte de ceux qu'on aime, le vieillissement et les défaillances de la mémoire, avérées ou redoutées (peut-on oublier son propre visage ?) – et le politique – la crise grecque, ses ravages, ses victimes et ses responsables. Tout pour composer un livre tout ensemble méditatif et pugnace, mutin et mélancolique, tendre et navré, infiniment vivant quoique drapé d'ombre.
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