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Critiques de Alexandre Lacroix (142)
Quand j'étais nietzschéen

Alexandre Lacroix est séduisant, brillant, romantique, cruel, insupportable, impardonnable.

J’ai enfin compris un peu de Nietzsche, digéré avec les souvenirs de ce jeune philosophe. Il nous dit qu’il ne faut surtout pas le lire, si l’on est fragile comme le sont les adolescents.
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La naissance d'un père

Un père de cinq enfants nous plonge dans son quotidien: changement des couches, babillages, ballades au bord du lac en plus de son introspection...

Me concernant , j'ai abandonné à la page 61, cela ne m'a pas fait rêver, mais fort heureusement, il en faut pour tous les goûts , donc je vous invite tout de même à ouvrir ce livre afin de vous faire votre propre opinion.
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La naissance d'un père

Il est intéressant de se glisser dans la peau et la tête d'un père, qu'il soit débutant ou aguerri. Certaines pages m'ont touché, d'autres m'ont laissées de marbre. La lecture de cette autobiographie du coup me laisse un sentiment mitigé. Dommage, le sujet était pertinent.
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Comment vivre lorsqu'on ne croit en rien ?

Ne vous attendez pas à un livre de développement personnel vous donnant des conseils pratiques afin de mieux vivre avec votre absence de croyance. Alexandre Lacroix est philosophe et, dans cet essai au titre plutôt vague, il nous décrit la doctrine des Sceptiques de l'Antiquité et la transpose à notre société moderne.





« Comment vivre lorsqu'on croit en rien ? » est un livre intéressant en cela qu'elle nous expose ce courant philosophique qu'est le Scepticisme. Pour le profane que je suis, cela fut enrichissant et instructif. Certains points encouragent la réflexion et permet de se poser quelques questions existentielles bienvenues. Après,je regrette quelques redondances dans le propos de Lacroix et le fait que son argumentaire soit parfois un peu trop superficiel. Peut-être le souci de rendre son essai accessible pour le grand public car, oui, il se lit aisément.
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Microréflexions

Microréflexions. Vaste programme. Tel est l’ouvrage d’Alexandre Lacroix, reçu dans le cadre d’une Masse Critique Non Fiction organisée par Babelio (et Allary Editions).



Comme Alexandre Lacroix est le directeur de Philosophie Magazine, je m’attendais à un livre de philosophie conceptuelle et ardue.



En fait, il s’agit de mettre la philosophie à la portée de tous et basée sur l’expérience.



Les court chapitres agrémentés de faits facilitent la lecture sur des thèmes comme le deuil, le vieillissement, la nature, l’amour, la maladie, le couple, le travail, la solitude… des réflexions très propices en cette période de confinement. Cette coïncidence est très à propos et permet de déguster avec une tout autre approche. On prend son temps à cogiter sur ces sujets très généralistes…



Tous les thèmes abordés n’intéressent pas toujours le lecteur, mais la palette est tellement large et facile d’accès qu’il ne faut pas s’en priver, l’idéal étant de picorer les sujets en fonction de l’humeur… et de les connecter à ses propres expériences…
Lien : https://wordpress.com/post/b..
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Coiffeur pour monstres

Oscar et sa grand-mère sont ce qu'on appelle des "gens biens". Mais le jeune garçon n'aime pas du tout se faire couper les cheveux, ce qui fait mauvais genre, selon son aïeule. Oscar tombe un jour sur un salon de coiffure qui semble lui convenir. Par un concours de circonstance il devient l'apprenti de Pier Paolo, artiste capillaire pour monstres velus. Il se découvre un talent fou pour la coiffure en tout genre, même la créature la plus horrible et terrifiante qui soit. Mais le plus monstreux n'est peut-être pas celui que l'on croit... Un livre pour réfléchir aux apparences qui peuvent être souvent trompeuses !
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Coiffeur pour monstres

Il y a une demande, il doit donc y avoir un marché. Et c’est un certain Pier Paolo qui s’est lancé dans l’aventure, ouvrant le premier, unique et invraisemblable salon de coiffure pour monstres…


Lien : https://www.actualitte.com/a..
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Dragons, père et fils

Etre à la hauteur des valeurs et de l'honneur de sa famille.....dur, dur pour ce petit dragon qui doit transformer des maisons en brasier. Sachant que dans ces maisons, il y a des enfants qui justement aiment les dragons!....des gens qui sont gentils...et malins aussi. Du reste, petit dragon va apprendre pleins de chose avec les humains, notamment être malin. Et ça va lui servir pour atténuer la colère de papa dragon.

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L'homme qui aimait trop travailler

Homme d’affaires d’origine française, Sommer est directeur de la chaîne logistique d’une multinationale de biscuits au chiffre d’affaires de 48 milliards de dollars. Un chiffre qui en dit long sur la façon dont son travail s’avère être le centre d’une vie malmenée par la rigueur, les effets pervers du perfectionnisme et du surmenage professionnel. « [… ] J’ai transformé mon cerveau en une machine performante et ce que j’ai gagné en rigueur, je l’ai perdu en souplesse et en créativité. » (Delacroix, 2015, p. 74). Cette machine à laquelle l’auteur fait souvent référence m’amène à décrire le personnage principal en un mot : aliéné. Celui qui par son indifférence et son esprit sans scrupule s’égare de ses propres émotions, se déshumanise et se rend étranger à lui-même (De Lavigerie, 2017).



Le personnage principal se veut antipathique, ce qui nous repousse à s’attacher à lui et à son histoire. Toutefois, ce livre m’a plu au moment où j’ai abordé son contenu avec une approche sociétale des répercussions des innovations technologiques et du surmenage professionnel dans nos vies contemporaines. Ceci dit, l’épuisement professionnel est un véritable fléau de notre temps. Ce livre à caractère philosophique relate avant tout l’histoire d’un drame humain qui vise à nous faire réfléchir sur la place qu’occupent le travail et les relations humaines dans nos vies. Et c’est à la toute fin du livre que nous constatons que c’est avec la vulnérabilité que l’humain peut se transformer en profondeur. (Ars, 2013, p.20). J’aime!



Liste de références :



De Lavigerie, A.-C. (2017). Alexandre Lacroix « Repenser notre rapport au temps ». Résumé repéré à : https://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:OZ7AJBPLqQUJ:https://www.apm.fr/rencontres/rencontre/849938/download/cr/rencontre%2520avec%2520alexandre%2520Lacroix%2520Mars%25202017.docx+&cd=4&hl=fr&ct=clnk&gl=ca



Ars, B. (2013). Fragilité, dis-nous ta grandeur! Paris: Cerf.

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L'homme qui aimait trop travailler

Il m’est impossible de penser à Sommer sans le mettre en lien avec notre société actuelle. Ouvrier modèle, mais travaillant à l’excès pour une compagnie de biscuits; personnage asocial et aveugle du point de vue sentimental (cf. sa relation avec sa femme), Sommer représente parfaitement la déchéance de l’homme moderne dans une machine économique qui ne cesse de l’écraser. Car, bien que la description de Sommer nous laisse penser que nous devrions le haïr, il n’est après tout que le résultat de cette affliction du travail qui nous pousse constamment à performer. En d'autres termes, je définirais ce personnage comme un martyr : Sommer a été construit pour révulser le lecteur, mais aussi pour le faire réfléchir (on n’a qu’à lire la conclusion pour reconsidérer le personnage en entier).

Ainsi, bien que Sommer soit un ouvrier haïssable, imbu de lui-même et excessivement philosophique, je le considère aussi comme un homme tourmenté, victime du destin qui, très jeune, l’a guidé dans ce mécanisme qui détruit toute trace d’humanité en chacun de nous. C’est pour cela que j’ai aimé le livre : pour son rapport complexe entre le personnage et notre réalité; pour ce regard froid et forcé à l’intérieur de soi qu’Alexandre Lacroix nous oblige à faire par l’entremise de Sommer. L’analogie est claire : plus nous détestons Sommer (et, par conséquent, le livre), plus nous portons un regard critique sur notre société, et plus le roman atteint son but. C’est en méprisant Sommer, bref, qu’on se retrouve à le connaître!

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L'homme qui aimait trop travailler

Le personnage principal de l’œuvre d’Alexandre Lacroix se nomme Sommer, un Français et un cadre responsable de la logistique de production et de vente de marques de biscuits. Très introverti, soucieux de son image physique et intelligent, il est un bourreau de travail désireux de performer dans son entreprise. Observateur pointu, il se livre à de nombreuses réflexions historiques, philosophiques et sociales comme sur ses études en anthropologie, sur ses conquêtes, sur son ancienne petite-amie et ses relations sociales (souvent tendues avec ses collègues). Il privilégie le travail et pense d’abord à lui-même au détriment de ses relations sentimentales et sociales.

Je le qualifierais d’égocentrique. Ses priorités gravitent autour de sa personne, pas des autres. C’est une des raisons de sa séparation avec son ancienne blonde. Bien que tout roule au travail, Sommer est affreusement isolé socialement et il n’est pas heureux.

J’ai bien aimé le livre puisque le lecteur peut s’imprégner et suivre graduellement l’évolution des réflexions de Sommer qui se rend compte qu’il doit briser cet égocentrisme. Celles-ci reprennent des sujets problématiques dans l’Occident comme le corps physique, l’individualisme, la performance et la sexualité. Directement concerné et frappé par ces réalités, le lecteur peut mieux comprendre le personnage et pénétrer dans son univers. C’est ce qui fait le charme de ce livre rapide à lire dans le contexte d’une critique littéraire dans le cours SCI6344.

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L'homme qui aimait trop travailler

Sommer adore son boulot ; c'est une machine à bosser. Il a beau être utilitariste et méprisant dans ses relations, sa béatitude professionnelle lui donne un air d'imbécile heureux. Et à se surmener, il va droit dans le mur : l'issue qui le guette est sans surprise. Les parts de marché et la chaîne logistique de trois gammes de biscuits semblent tout de suite beaucoup plus dérisoires quand on y a, littéralement, laissé sa vie.

L'homme qui aimait trop travailler est une lecture courte, agréable, empreinte de traits d'humour noir. Dans son rapport malsain au travail, Sommer n'a pas d'autre ennemi que lui-même, il est pleinement l'artisan de son propre malheur. Un avertissement pour quiconque se retrouverait un peu trop dans ses travers.
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Pour que la philosophie descende du ciel

Voici enfin une façon originale d'aborder la philosophe loin de l'enseignement académique du lycée qui m'avait quelque peu rebutée. Alexandre Lacroix est parvenu à me réconcilier avec cet art de la pensée. Une lecture très intéressante abordant des thèmes très variés et qui suscitent de nombreuses réflexions. On se sent moins bête en terminant cet essai. À recommander à tout lycéen qui a des difficultés à aborder la philosophe et à tous ceux qui ont eu un rendez-vous manqué avec cette discipline. Merci aux éditions Allary et à netgalley pour cette lecture enrichissante !
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L'homme qui aimait trop travailler

• Pourquoi ce livre? 1. Tout d’abord parce que nous avions droit de lire l’une des lectures obligatoires pour ce travail. Ensuite parce que c‘est celui qui semblait le moins long (j’ai beaucoup de lecture en ce début de session…), mais aussi parce que j’avais lu que l’auteur est directeur de la rédaction de Philosophie Magazine. Ça fait longtemps que je n’avais pas lu 175 pages en une journée (merci Google ?), alors j’ai pu me donner ce défi et le réussir.

• Un premier aspect qui m’a plu : 2. Il m’arrive rarement de lire des romans écrit à la première personne ces derniers temps, alors cette lecture avait cela de rafraichissant. Le point de vue narratif interne à cet avantage de nous faire découvrir les opinions que le protagoniste a des autres ou encore de lui-même. Ici Sommer a beaucoup d’opinion sur lui-même et pas les plus modestes !

• Un second aspect qui m’a plu : 3. Le livre contient quelques assertions philosophiques qui ne sont pas totalement dépourvues d’intérêt, mais les réflexions sur l’économie internationale sont complètement farfelues et sont aisément réfutables. D’un autre côté, le texte contient plusieurs « petits » faits plutôt intéressant, par exemple que le bouton de fermeture des portes d’un ascenseur est le plus utilisé, chose nouvelle d’après l’auteur.

• Un aspect qui m’a moins plu : 4. Il est difficile de dire si la pensée de l’auteur se reflètent dans les propos tenus par Sommer ou si ce dernier agit comme un anti-héros à la Elvis Gratton. Vu que les chapitres sont trop court pour développer correctement une idée, nous en sommes à pouvoir contredire facilement ses propos, mais il n’y a personne au bout du fil pour nous répondre… Ce qui rend la lecture frustrante pour moi.

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L'homme qui aimait trop travailler

1. Pourquoi ce livre?

En fait, je n’ai pas vraiment choisi L’homme qui aimait trop travailler, étant donné qu’il faisait partie d’un des deux livres obligatoires pour le Club de lecture. Comme il était possible de l’utiliser pour faire ce rapport de lecture, j’ai décidé de joindre l’utile à l’agréable. Ainsi, je ne l’ai choisi que par rapport à l’autre livre imposé, Vérité et amour de Claire Legendre, que parce qu’il était le premier accessible et disponible, c’est-à-dire que j’étais capable de l’emprunter immédiatement par prêt numérique.

2. Un premier aspect qui m’a plu :

Un premier aspect qui m’a plus de ce livre est le fait qu’on y présente un domaine d’emploi très vraisemblable, puisque beaucoup de gens travaillent dans la chaîne d’alimentation. Le protagoniste devient alors quelqu’un d’important, étant directeur, mais le fait que ce soit la direction de la chaîne d’approvisionnement d’une compagnie de biscuits rend le tout moins prestigieux. Bref, j’ai apprécié que le personnage principal soit mis en scène dans un quart de métier peu reconnu et aussi futile pour la majorité des gens. L’importance qu’il se donne apparaît alors plus relative et insignifiante.

3. Un second aspect qui m’a plu :

Un second aspect qui m’a plus de ce livre est la description. Toute l’information est décrite en détail, ce qui permet vraiment de visualiser rapidement l’ambiance du livre, le physique des personnages, les lieux, le bureau de la compagnie où se déroule l’histoire. Cette information permet de rendre avec plus de vérité la vie du personnage principal. Également, cette description abondante s’agence avec sa personnalité pour le moins méticuleuse. Elle rend bien sa tendance à tout vouloir prévoir et planifier.

4. Un aspect qui m’a moins plu :

Ce que j’ai moins apprécié du livre est le personnage principal. Je l’ai trouvé tout à fait détestable du fait qu’il soit aussi froid socialement et aussi dénué d’émotions. C’est un personnage avec lequel j’ai eu de la difficulté à m’identifier. Je ne me suis pas reconnue dans sa manière de réfléchir qui me désarçonnait toujours. Sa façon de penser et ses réflexions m’agaçaient énormément et je n’adhérais pas au fait qu’il perçoive ses interactions avec les autres de façon aussi négative.

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Dragons amoureux !

Après Dragon Père et fils que je n’ai pas lu, ce second volume aborde un autre sujet. Petit dragon parfaitement intégré parmi les humains est dans la cour de récré lorsqu’une petite fille lui fait un bisou sur le museau ! Et là, quelque chose de bizarre se passe, une flamme monte dans son gosier, il a peur de tout brûler ! Comment faire pour déclarer sa flamme sans brûler son amoureuse ? Heureusement que Papa dragon n’est pas loin pour lui donner des idées !



L’histoire est vraiment très mignonne, les dessins aussi. Ayant pu entendre les créateurs de l’album, j’ai ainsi appris qu’ils avaient utilisé une méthode de bande-dessinée pour les illustrations : les trait à l’encre de chine posés en calque par dessus les dessins à l’aquarelle afin de mieux marquer profondeurs et détails. et le résultat est franchement chouette.



Une jolie découverte des éditions Père Castor qui savent aussi se recycler !
Lien : https://girlkissedbyfire.wor..
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Ce qui nous relie : Jusqu'où Internet chang..

J’ai trouvé cet essai vraiment intéressant [même si je ne suis pas sûre d’avoir toujours tout compris…]. Il se base sur un apport historique important afin de nous situer au mieux le contexte dans lequel les différents protagonistes interviennent. La partie concernant Julian Assange, à ce niveau-là, est vraiment passionnante !



Par contre, j’ai eu vraiment beaucoup de mal à me positionner par rapport aux théories développées par Philippe : tout cela me semblait n’être que les élucubrations d’un illuminé. D’autant plus qu’Alexandre Lacroix a choisi de ne pas influencer son lecteur et donc, ne réfute, ni ne confirme les informations dont il témoigne. Heureusement, il donne quelques clés, en fin de partie, pour que l’on puisse se faire notre propre opinion.



La dernière partie, quant à elle, m’a complètement assommée ! Non pas d’ennui mais d’aberration face au monde que nous promet l’Université de la Singularité. Pitié, faite que l’homme-cyborg ne soit pas encore pour tout de suite ! Quelle horreur !



Ce que je reprocherais à cet essai, c’est le côté « je raconte ma vie » qu’à tendance à prendre Alexandre Lacroix. Après, je pense que cela pouvait provenir d’une volonté de détendre l’atmosphère et de rendre la lecture plus fluide, ce qui était parfois nécessaire, mais c’était un peu dérangeant [je me fiche de savoir qu’il a cassé la cuvette des toilettes de l’appartement qu’il louait, par exemple].



J’ai eu beaucoup de mal à avancer dans cette lecture notamment parce que je n’ai pas compris pourquoi il fallait y raconter les théories abracadabrantes des thruthers. En donner un petit exemple aurait suffit. Néanmoins, je ne regrette pas d’être allée jusqu’au bout car cela m’a permis de réfléchir à la manière dont nos relations au réseau web pouvaient évoluer mais aussi à ce que je souhaite comme avenir connecté.
Lien : http://www.maghily.be/2016/0..
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Voyage au centre de Paris

Alexandre Lacroix dans Voyage au centre de Paris déambule avec son lecteur dans les rues de Paris et lui fait découvrir certaines adresses sous un jour inédit. Son amoureuse est également présente tout au long de la lecture et pour cette raison, on peut dire que c'est un roman d'amour en plus d'être un guide touristique érudit. J'ai beaucoup apprécié la promenade.
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Dragons, père et fils

Un livre qui attire par la magnifique couverture de Ronan Badel.

Un dragon père l'air fâché qui souffle par les narines dos à son jeune fils très insouciant, le ton est donné ;-).



Un album avec une histoire sur l'embarras d'un jeune dragon qui sur les ordres de son père doit aller mettre le feu aux maisons des humains.

Le jeune dragon fait des rencontres et est ennuyé de suivre cet ordre.

Une thématique en lien avec le chemin tout tracé par les parents... Doit-on le suivre ou tracer son propre chemin?



Le texte est simple, l'histoire aussi. L'ouvrage est vraiment rehaussé par les illustrations.



Une fin bizarre un peu en queue de poisson.
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Voyage au centre de Paris

Je m'attendais à roman, c'est un récit de voyage que j'ai lu. Vénérant Paris, j'ai pris du plaisir à connaitre certains endroits qu'elle cache... Néanmoins, j'aurais souhaité une vraie intrigue. Le pacte avec le lecteur n'est pas vraiment respecté et je me suis interrogée à plusieurs reprises au sujet d'un livre alibi permettant à l'auteur de faire vitrine de son érudition.
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