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Critiques de Jorn Riel (494)
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Racontars arctiques - Intégrale (BD)

J'avais, par le passé, eu l'occasion de lire avec plaisir tous les impayables racontars que Jorn Riel avait rapportés du grand nord.

Ici, dans cet ouvrage grand format, soutenu par le dessin en noir et blanc de Gwen de Bonneval, les récits arctiques de Jorn Riel trouvent un second souffle.

J'ai eu le bonheur de retrouver les personnages truculents du "Safari arctique" ou de "La vierge froide" et de les "voir" à l'oeuvre, si ressemblants à l'idée que je m'en étais fait.

Bien sûr le texte original est plus riche, mais l'essentiel est là.

Un excellent album pour entrer dans le monde glacé et drôle de Riel, en attendant de le lire.
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Le jour avant le lendemain

Ce fut un beau voyage dans le monde de glace dans lequel vivent les Inuits.

Les personnages de Ninioq et Manik nous réchauffent dans cet atmosphère glacial.

Roman dramatique car le peuple eskimo est décimé par la peste bubonique apportée par les Européens, et Ninioq et Manik vont se retrouver seuls au monde.

Roman initiatique par ce lien très fort entre Ninioq et son petit-fils Manik à qui elle transmet les gestes, le savoir, les coutumes du peuple inuit.

Roman magique car Ninioq tient en haleine Manik par ses contes,ses chasses,ses mondes inconnus...

Roman tragique car Ninioq emportera avec elle Manik pour un long voyage dans le pays merveilleux tant conté pour le protéger à jamais...

Ce livre hantera pendant longtemps mes rêves...
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La maison des célibataires

La maison des célibatires... Elle n'est pas dans la prairie, et on y coupe pas du bois. Dans cette maison, des célibataires endurcis coulent paisiblement leurs journées vaquant à leur occupations. Jusqu'au jour où l'un d'entre eux décide de transgresser une de leur coutume en se mariant !

L'auteur nous raconte alors cette histoire, sur un air de conte revisité, où l'ogre est en fait une ogresse : une veuve à la force physique incommensurable !



L'histoire est gentillette, un poil misogyne, mais bon. Une histoire du quotidien comme ça, avec un petit esprit gentil déjanté en plus ; un fameux "et si .." qui bouleverserait le véritable quotidien bien tranquille.



Ce qui est "curieux" c'est de voir en filigrane la préoccupation du Danemark (comme celles de ses autres voisins du Nord) pour sa population vieillissante (déjà en 1979, date de publication originale!).



Mais je crois qu'il n'y a qu'une vraie conclusion à tirer de cette lecture : mis à part La Vie selon Ove, la littérature scandinave n'est vraiment pas faite pour moi.
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Le garçon qui voulait devenir un être humain, t..

Vers l'an 1000, Leiv un jeune Viking suit Thorstein un homme banni de l'Island vers le Groenland pour avoir tué le père de Leiv. Dans l'espoir de se venger il embarque donc à bord du bateau qui finira par couler non loin des rivages du Groenland.

Il est recueilli par des Inuits dont 2 autres enfants avec qui il se lie d'amitié et qui l'accompagneront pendant tout le roman, persuadé que personne de son peuple n'a survécu au naufrage.

Il se trompe et se retrouve de nouveau face à Thorstein, mais les évènements vont finir par lier les hommes plutôt que de les laisser s'enliser dans la vengeance.

Ce livre évoque donc la rencontre entre deux peuples qui malgré leurs différences et leurs préjugés vont trouver dans l'entraide la capacité à s'accepter, se respecter et même à s'admirer mutuellement.

Le livre est riche en descriptions de croyances et de rites inuites et nous plonge avec entrain dans les aventures des 4 adolescents qui les mèneront dans les confins du Groenland.



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Pani, la petite fille du Groenland

Pani, petite fille inuit, possède la particularité de savoir parler aux animaux. Elle a comme ami Nanouk un petit ours blanc qui ne va pas tarder à grandir. Mais dans le Grand Nord la faim peut vite devenir insupportable.



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Un conte qui respecte les canons du gente. Intemporel, il offre toutefois un nouveau cadre spatial et culturel, celui des inuits. Rapport à la nature, croyances, mode de vie, c'est très dépaysant et appréciable. La survie dépend de la nature et surtout de la mer, alors quand la Mère de la Mer se fâche et décide de retenir les animaux et d'affamer les hommes, la jeune Pani va se lancer dans l'aventure. Elle y fera de belles rencontres, et, grâce à divers dons ou talismans, combattra les éléments et les ennemis qui se dresseront sur son passage.



Facile à lire, ce conte est adapté aux plus jeunes, empli de poésie, de morale, de philosophie et de sagesse.

J'ai beaucoup aimé, notamment l'histoire de l'Iceberg qui voulait voyager, récit dans le récit influençant les rêves de Pani.

C'est chouette et frais, sans être trop tarabiscoté ou abscons ;)
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Un récit qui donne un beau visage

Premier tome de la trilogie, La Maison de mes pères. le titre en dit déjà long sur le contenu. En effet, Agojaraq est un nourrisson élevé par cinq pères possibles et sa vieille nourrice Aviaja. les personnages sont campés, le décor est décrit de façon minutieuse et les animaux aussi,avant d'être mangés. La vie est rude mais on rit et on aime , c'est un livre optimiste , qui donne bon moral au lecteur.

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Le voyage à Nanga

L'auteur situe son roman au Groenland qu'il connaît pour y avoir vécu seize ans.

Dans la neige et la nuit du cercle polaire.



Ses personnages sont des chasseurs dont les traits particuliers sont bien mis en valeur: depuis l'encyclopédie vivante au gamin un peu limité qui vient d'achever sa formation.

L'habitat est très dispersé. Les hommes sont à deux par maison, le second souvent plus jeune que le premier. Ils se connaissent, s'apprécient, s'entraident.

La solitude, l'absence de femmes créent parfois des vertigos cocasses.

D'ailleurs, c'est tout le récit qui est drôle.

Un régal de lecture.
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Un gros bobard et autres racontars

J'ai eu beau chercher, je n'ai pas trouvé le gros bobard dans ce recueil de nouvelles de Jorn Riel. Ou disons plutôt que je n'ai pas pu le différencier des autres racontars. Car les personnages s'en donnent à cœur joie et s'en racontent de beaux, tous plus gros les uns que les autres.



Il faut dire que l'hiver est long dans le Nord Est du Groenland, qu'il y a peu de distractions dans les cabanes de chasseurs de renards, et que les histoires ben ça fait passer le temps, entre un verre de rhum ou d'eau de vie de myrtille et une boite de sardines à l'huile.

Les racontars tournent surtout autour d'histoires de beuveries, de bagarres et ballades mémorables sur la banquise avec des chiens de traineau : des histoires de chasseurs de renards bleus quoi.

L'excellente première nouvelle, "le gigolo", m'a fait beaucoup rire. Ce pauvre gigolo, venu passer une saison dans le Nord-Est du Groenland et qui s'étonne de ne pas y trouver de femme. Pauvre gigolo qui s'étiole de jour en jour et fait l'inquiétude de ses compagnons...

Mais les autres nouvelles, peut-être un peu fades en comparaison, m'ont semblé plus poussives.



Un bon livre à lire au fond du Groenland, dans une cabane de chasseur, tandis que le vent hurle dans la nuit.

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Une vie de racontars, tome 1

Seize nouvelles très joliment écrites, dans lesquelles l'auteur nous raconte son enfance, adolescence, jeunesse (ref!) avec beaucoup de poésie et d'humour.

Danois, Jorn Riel nous livre des anecdotes autobiographiques ET romancées et nous fait partager sa découverte du Groenland.



Une lecture très dépaysante!
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Pani, la petite fille du Groenland

Cette lecture est en fait une relecture, et j'étais curieuse de voir ce que je penserai de ce livre, douze ans après ma première lecture. Je dois cependant dire que je suis toujours aussi charmée par les talents de conteur de Jorn Riel. Le récit de ce conte initiatique est très bien mené : à l'intérieur d'une trame principale, qui nous fait découvrir la vie quotidienne de Pani et des siens, nous pouvons lire de courtes histoires enchâssées. Celles-ci permettent aux enfants de faire des pauses dans la lecture (mais aussi, pourquoi pas ? aux parents qui liraient ce conte à haute voix) tout en suivant la ligne directrice de l'histoire : trouver la Mère de la mer, pour empêcher habitant et animaux de mourir de faim. Les épreuves sont inhérentes au genre du conte et si Pani les surmonte, c'est avant tout grâce à ses qualités : n'a-t-elle pas fait choix de rendre un ours blanc à la vie sauvage plutôt que de le laisser emmener dans un zoo, vers ces pays chauds où il n'aurait pu qu'être malheureux ? Grâce à Pani, les adjuvants affluent, et chaque objet magique trouvera une utilité pour elle mais aussi pour tous ceux qu'elle sera amener à secourir.

Pani, petite fille du Groenland, est un conte contemporain à partager !
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Le garçon qui voulait devenir un être humain - ..

Suite au conseil d'une amie, j'ai décidé de lire Le Garçon qui voulait devenir un être humain afin d'élargir mes horizons littéraires et ainsi voyager du côté des auteurs scandinaves. Et bien, je ne le regrette pas car j'ai passé un très bon moment !



J'ai aimé voyager aux côtés de Leiv et ainsi découvrir le peuple Inuit au fin fond du Groënland. Ce roman est rempli d'aventures, de rencontres (en particulier Narua et Apuluk, deux jeunes personnages attachants, débrouillards, sages, gentils et courageux), nous offrant de belles réflexions sur la vengeance, les humains (d'où le titre qui ne se comprend qu'au fil des pages), les croyances de chacun, l'amour, la famille...C'est un très beau conte initiatique, porté par une écriture simple (qui convient donc aussi bien à des adultes qu'à des adolescents), nous proposant, en outre, une belle conclusion pleine d'humour et de joie !



Bref, une belle découverte qui me donne envie de découvrir d'autres œuvres de Jorn Riel !



A lire !
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La vierge froide et autres racontars

Loin de mon univers habituel j'ai pris plaisir à lire les tribulations et péripéties des gens de cette contrée que je connais si mal.

Avec un humour caustique et un joli second degré nous regardons le quotidien à travers diverses scènes réunissant les racontars.

Chaque personnage a un caractère très affirmé et les dialogues sont assez savoureux engendrant un rythme agréable au niveau du récit.

C'est un dépaysement permanent générant souvent pour moi des décalages de compréhension dans les diverses situations présentées et il fut parfois difficile de faire passerelle entre ce que je connais et ce que Riel décrit. Mais cela permet de découvrir et d'apprendre avec un plaisir certain au gré d'une écriture fluide et agréable.



Un récit sympathique qui ne fait pas partie de mon univers mais qu'il me fit plaisir de connaître.
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Un petit détour et autres racontars (BD)

Trois histoires de chasseurs et pêcheurs qui se passent en Islande. J’ai préféré, de loin la centrale avec ce bateau qui se retrouve perché sur un iceberg. Dessins en noir et blanc de bonnes bouilles sympathiques.
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Le jour avant le lendemain

Les impressions sont partagées à la lecture de ce livre. A la fois fasciné par l'univers de glace et la rudesse de la vie et en même temps emporté par la plénitude des joies simples de la vie, on en oublie parfois que la lutte pour la survie est quotidienne pour le groupe.

Elle nous saute aux yeux dans la confrontation de la grand-mère et de l'enfant au froid et à la nature impitoyable de manière générale.

La lecture est agréable et non dénuée d'humour dans un texte construit d'histoires dans l'histoire.

Je ne regrette pas la rencontre avec cet auteur et sais pas avance que ce n'est pas le dernier de ses romans que je lierai.
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La passion secrète de Fjordur et autres racon..

Écrivain danois, Jorn Riel a passé seize ans sur une base d'étude du Groenland. De cette expérience il a ramené ses racontars arctiques auxquels La Passion Secrète de Fjordur, écrite en 1976, se rattache.



Il s'agit de sept nouvelles cocasses où l'on suit les mêmes personnages dans un univers de chasseurs groenlandais dont les femmes sont totalement absentes. L'auteur brosse une galerie plaisante de portraits et de micro-événements dans une communauté qui s'occupe et se soutient avec les meilleures intentions dans un isolement arctique où le moindre mouvement de l'autre devient une attraction.



Ce livre plaisant de 180 pages donne envie de poursuivre la découverte de l'oeuvre de Riel, histoire de savoir ce que sont devenus Museau, Bjorken, ou cette andouille de Lasselile, dans leur solitude groenlandaise faite d'ours, de chiens de traîneaux et de ravitaillements par la Vesle Mari. Si vous avez aimé le Steinbeck de Tortilla Flat, la bienveillance et la tendresse avec lesquelles Jorn Riel anime ses personnages et raconte leurs histoires vous fera passer les mêmes agréables moments.

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La vierge froide et autres racontars

Livre de dix petits contes sur les récits fantaisistes, naïfs, loufoques de trappeurs danois vivants dans des cabanes rudimentaires, deux par deux, dispersés sur la côte nord est du Groenland. Le cordon ombilical avec le monde: la Vesle Mari, goélette du capitaine Olsen, qui arrive quand les glaces ont fondus. Elle amène le ravitaillement, les nouvelles, de nouveaux trappeurs haut en couleur, puis elle repart jusqu'à l'année d'après et les chasseurs restent seuls pour un long hiver polaire où le "vertigo", la folie, la dépression les guette. Les rapports entre chasseurs sont frustres, pudiques, mais ils sont très solidaires. Ils sont plus familiers des ours que des femmes qui sont des êtres semi mythiques.

Il y a dans ces récits quelque chose de très rabelaisien, on retrouve la verve des César et Marius de Pagnol ou des accents des "lettres de mon moulin" version scandinave.
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Le Roi Oscar et autres racontars (BD)

Depuis que j’ai découvert ses délicieux « racontars arctiques » à l’adolescence, Jorn Riel a toujours été un de mes auteurs préférés. Entre deux gros pavés littéraires, je n’avais jamais manqué de venir me rafraîchir l’esprit sur la banquise groenlandaise en compagnie de Mads Madsen, William le Noir, Bjorken, le Comte, Lodvig et tous leurs joyeux copains trappeurs en kamiks et manteaux de fourrure. Hélas, j’avoue que ces dernières années, noyée sous le nombre de bouquins à lire et de nouveaux auteurs à découvrir, j’avais fait quelques infidélités à M. Riel et n’avais suivi que d’un œil distrait ses dernières publications. C’est donc avec surprise, ravissement et beaucoup de retard que j’ai découvert récemment que ses recueils de nouvelles avaient été adaptés en bandes dessinées par l’illustrateur Hervé Tanquerelle et le scénariste Gwen de Bonneval.



Les trois premiers rejetons de ce talentueux duo, « La Vierge froide », « Le Roi Oscar » et « Un petit détour », sont pour moi trois belles réussites : on y retrouve tout l’humour irrésistible, toute l’humanité si réconfortante de Jorn Riel (surtout en ces temps où l’optimisme n’est guère à la mode en littérature…). Comme dans les recueils originaux, un peu de noirceur vient de temps en temps se mêler à toute cette légèreté – ivresse de la solitude, terreur de l’immensité, fragilité de la vie humaine… – mais toujours avec subtilité et sans une once de pathos. Très beaux dessins également de Tanquerelle : simples, chaleureux, agréables à l’œil, et, surtout, tout à fait conformes à l’image que je m’étais forgée des trappeurs groenlandais, anti-héros attachants et un brin évaporés des racontars de Riel.



Avis donc aux amateurs de grands espaces glacés et d’humour noir : si vous souhaitez découvrir comment furent construites les premières toilettes du Groenland, comment le norvégien Halvor mangea son compagnon en le confondant avec un cochon, comment Valfred et le lieutenant Hansen longèrent 300km de côte coincés sur un iceberg ou l’extraordinaire odyssée d’Emma, la Vierge Froide, ces bandes dessinées sont pour vous ! A consommer sans modération pour se remonter le moral durant les froides journées hivernales et s’aérer la cervelle un bon coup.



(critique portant sur les trois albums susmentionnés)

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Racontars arctiques - Intégrale (BD)

Les racontars de Jorn Riel rendent compte d'anecdotes humoristiques, souvent loufoques sur le quotidien des hommes partis chassés dans le Groenland, isolés pendant plusieurs mois. Loin de tout, de tout le monde et parfois sans ensoleillement, le moins qu'on puisse dire est que les conditions sont rudes alors entre deux chasses au phoque ou à l'ours, les blagues et l'alcool constituent des remèdes efficaces. Et surtout, l'humour est une belle enveloppe pour la solitude, la violence, la rudesse du climat et des individus et du tragique.



J'ai voulu tester cette bande dessinée vue à la médiathèque suite à une très bonne lecture que je n'attendait pas avec le premier tome du roman Le garçon qui voulait devenir un être humain. J'ai un peu moins aimé ces courts récits qui certes se lisent très vite, mais on tourne assez vite en rond dans les thématiques. Le graphisme est toutefois très réussi et sert magnifiquement les variations de ton de ces racontars. Ce côté répétitif mis à part, ces histoires sont une manière assez noble de rendre hommage aux individus hauts en couleurs que le romancier a croisé dans ses voyages.
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La vierge froide et autres racontars

On découvre dans ce livre des récits proches de légendes que l'on se passe oralement le soir, au fond d'un refuge et de l'Artique .

Des histoires groenlandaises loufoques et oniriques de personnages comme échoués sur la banquise qui nous en apprennent plus sur la vie et les coutumes de cette très grosse île.

Drôle et déroutant...original

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Nartouk, le garçon qui devint fort

Une petite histoire d''initiation, d'apprentissage et de courage! Ça se passe dans le nord de la Russie dans un petit village où le seul maitre qui decide de tout est Porto, il n'hesite pas d'envoyer en exil toute personne qui se dresse contre ses dispositions à l'injustice. Mais gare au retour d'exil de Nartouk qui, entre temps, chassé du village par Porto, etant tout petit et sans force pour pouvoir s'opposer à ce malabar, va être initier à la bravoure dans le village des géants...

Un tout petit moment de sourire...
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