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Blake et Mortimer tome 22 sur 29
EAN : 9782870971895
66 pages
Blake et Mortimer (06/12/2013)
3.42/5   199 notes
Résumé :
Mortimer ne parvient pas à percer le mystère de l'onde Mega et le fonctionnement du Télécéphaloscope de Septimus lui échappe. Qu'est-ce qui peut bien provoquer toutes ces interférences? Cela pourrait-il avoir un lien avec cet inconnu en chapeau melon qui arpente les rues de Londres en demandant après Guinea Pig?
Jean Dufaux et Antoine Aubin, aidés d'Étienne Schréder, revisitent La Marque Jaune. Ils prolongent le mythe et signent le grand retour d'Olrik sur le... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (37) Voir plus Ajouter une critique
3,42

sur 199 notes
J'étais très content de récupérer cet album que je n'avais pas lu. J'ai du d'ailleurs attendre mon tour, un certain temps, avant de pouvoir le lire. Finalement j'aurais mieux fait de m'abstenir.
Bon d'accord la couverture est attirante avec tous ces Septimus en chapeaux melon et parapluies. C'est un clin d'oeil au peintre surréaliste belge (comme Jacobs) René Magritte, bien mais sinon?
Sinon Dufaux, le scénariste, a voulu revisiter "La marque jaune" mais, manque de chance n'est pas Jacobs qui veut et pour un flop, c'est un flop. La marche était trop haute, bien trop haute, il n'y a et n'aura qu'une seule "Marque jaune".
Il faut dire l'indigence du scénario et la non ou mauvaise utilisation des personnages : Mortimer à la recherche de l'onde Mega et du fonctionnement du Télécéphaloscope de Septimus, qui n'y arrive pas allant jusqu'à faire sauter les plombs, réparés par son adjoint, Blake réduit à faire la police si ce n'est la circulation dans Londres, Septimus qui circule dans la capitale anglaise à la recherche de "guinea pig" qu'il prononce continuellement et Olrik, pas de Blake et Mortimer sans Olrik, hagard ne prononçant que le mot "Asile".
Bien sûr que j'exagère un peu, mais pas tant que cela. C'est nul de chez nul, fallait pas faire une nouvelle "Marque jaune", la vraie, l'ancienne suffisait.

La note 2/5, c'est pour les dessins qui sont impeccables de justesse, les personnages sont fidèles à Jacobs et ceux qui sont nouveaux entrent bien dans la technique du dessin, le style, l'esprit du fondateur. Bravo donc à Antoine Aubin et Etienne Schréder qui sauvent à eux deux l'album, c'est quand même mince mais cela permet au lecteur de passer un pas trop mauvais moment.
Je ne suis quand même pas convaincu!
Lien : https://www.babelio.com/livr..
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Mais que diable vous arrive-t-il mon cher (ou plutôt détesté) Olrik ? On finirait presque par vous plaindre, vous le Satan incarné, la récurrence du Mal, la noirceur absolue toujours resurgissante... Ressaisissez-vous old chap ! L'histoire est beaucoup moins intéressante sans votre participation à plein régime... Ah mais voilà, c'est que les méfaits de la drogue et des ondes mega sont tenaces, cher ami, et la mauvaise conscience têtue... Tiens, c'est que vous avez une conscience ? Quelle horreur, dans votre situation. Non, décidément il faut vous ressaisir. Vous arriveriez à rendre décevante une histoire super. Même notre cher Blake et notre bien-aimé Mortimer en sont tout retournés.... Beaucoup plus mous que d'habitude, on dirait qu'ils ne savent plus à quel démon se vouer... Avouez que c'est un comble, vous, leur adversaire préféré... Vraiment il vous faut retrouver du peps...
Ou vous finirez définitivement à l'asile, c'est moi qui vous le dis.
En toute inimitié et avec mes plus sincères détestations.
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Je viens de terminer ma lecture de l'Onde Septimus…
Passionné au delà de l'imaginable, par la Marque Jaune et l'oeuvre en général de E.P. Jacobs, j'attendais beaucoup de la suite qu'avaient décidé de donner les Éditions Blake et Mortimer, et je craignais aussi d'être déçu par une suite banale ou forcément plus fade que l'album de référence.
Le choix de Jean Dufaux au scénario, était une surprise mais le connaissant pour de nombreuses autres séries (Double-Masque, Complainte des Landes Perdues, Les Voleurs d'Empire, entre autres…) et pour l'avoir rencontré, j'avoue avoir été séduit par cette perspective, les scénarii de certains albums de la série B&M m'ayant laissé un goût amer (cf. l'Étrange rendez-vous ou Les trente deniers).
Au dessin, le tandem Aubin et Schréder, semblait être un bon choix, eux qui avaient fait leurs preuves dans l'univers de Jacobs précédemment (Les trente deniers).
C'est évidemment avec beaucoup d'intérêt et d'empressement que j'ai acheté dès sa sortie vendredi, L'Onde Septimus, et que je me suis plongé dans sa lecture.
- Comme pour tout album de B&M il ne faut pas avoir peur des nombreux textes et il faut prendre son temps pour examiner les dessins et les décors. Premier bon point, je me suis retrouvé longtemps en arrière, quand je lisais pour la première fois La Marque Jaune.
- L'univers tout particulier de l'album original devait nous porter inévitablement vers des pistes fantasmagoriques qui étaient l'apanage de la fiction de Jacobs. Deuxième bon point, Dufaux ne se cachant pas de l'empreinte du maître dans son imaginaire, allant jusqu'à l'évoquer dans sa vocation, Dufaux donc, nous sert un éventail d'idées fantastiques dans un scénario véritablement ancré dans la réalité de l'époque (Elisabeth II fait ses premiers pas de reine et W. Churchill est toujours aux affaires). Les nombreuses hypothèses offertes au lecteur dès le début de l'histoire sont autant de pistes à suivre pour comprendre cette suite.
- Enfin les personnages jouent un rôle éminemment important, et prennent corps de façon étonnante, chacun avec son caractère, ses faiblesses, ses doutes et ses erreurs, fait nouveau dans la psychologie des acteurs principaux dont on se réjouit qu'ils s'incarnent avec autant d'humanité.
- Dernier point, le dessin. le découpage de chaque page est un régal, avec cette architecture si particulière à Jacobs et la dernière vignette appelant toujours une réponse, une trouvaille, un nouveau danger, ce qui fait qu'on ne peut s'arrêter de lire toujours la page suivante. le trait est toujours à la limite de la ligne claire et du réalisme et valorisé par une mise en couleurs et un encrage propre, quelquefois sombre, d'autres fois plus contrasté ou violent appuyant ainsi le texte et l'histoire.

En conclusion, les auteurs (scénario et dessin) ne m'ont vraiment pas déçu. L'histoire en elle-même est empreinte d'obsessions propre à la Marque Jaune, et si le but n'était pas de nous donner une réponse définitive aux questions posées depuis un demi-siècle, alors le résultat est à la hauteur.
Je sais que de nombreux avis vont aller dans le sens du négatif, j'entends déjà les critiques du style :
- On n'avait pas besoin de cette suite…
- On est loin de l'oeuvre de Jacobs…
- Les idées développées sont farfelues ou carrément à des lieues de ce qu'on pouvait attendre…
J'en passe et des bien pires, de la part de critiques qui ont toujours la plume dans l'encrier au fiel. Mais quand on a été élevé comme moi par Hergé, Jacobs, Martin et tant d'autres, on ne peut que saluer les auteurs pour leur travail et leur courage qui n'ont d'égal que la réussite de cet album à classer parmi les meilleurs de Blake et Mortimer.
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On ne pourra pas dire que Edgar P. Jacobs est inimitable ; juste retour des choses car ne s'est-il pas substitué lui-même à Hergé de son vivant en marquant fortement certains albums tels que « Tintin au pays de l'or noir ».

Pour autant cette suite inattendue de la marque jaune nous fait revenir des décennies en arrière avec un dessin vigoureux (quelle élégance dans les costumes, le pli cassé du pantalon, le drapé d'une robe, quelle souplesse dans les gestes et les mouvements, bravo !) et une intrigue bien tordue (c'est à n'y rien comprendre au point qu'on a envie soi-même de dire « Asile, asile, asile... ».

Il est à noter que Mortimer semble de plus en plus atteint du syndrome de Stockholm à propos du colonel Olrik (qui le lui rend bien) et qu'il se laisse aller à regarder les femmes avec une concupiscence toute britannique , notamment la belle lady Rowana au grand dam du capitaine Blake peu habitué à se faire doubler par une « créature », sans parler du fidèle Nasir qui joue les rebelles (tout fout le camp).

Scénaristes et dessinateurs sont vraiment au point pour doubler la série éponyme d'origine. A ceci près que même si Jacobs s'étendait un peu trop dans les textes, il ne me semble pas qu'il ait une seule fois laissé passer une faute d'orthographe.
Page 36 vignette 4, Blake s'écrie: « Nous avons fouillé le hangar. Sans rien trouvé »
Comment faire désormais ?
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Ici l'Onde, ici l'Onde….

Personne ne peut vraiment répondre facilement à la question : fallait-il reprendre les personnages d'Edgar P. Jacobs ou les laisser disparaître avec leur créateur ?
Ce n'est sans doute pas ce nouvel album qui permettra de trancher en faveur de la 1ère solution.

Pour ce qui me concerne, j'ai acheté régulièrement toutes les suites et j'y ai parfois pris du plaisir. Je suis prêt à faire taire cette petite voix dans ma tête qui évoque l'aspect mercantile de la manoeuvre, à condition toutefois, qu'il ne soit pas trop apparent.

Pour ceux qui veulent un avis rapide, j'ai trouvé cet album assez décevant, sans être honteux. Ce qui est sûr en tous cas, c'est que je n'ai rien compris au dénouement final (mais je veux bien admettre que ce sont mes capacités intellectuelles qui sont en cause) et le dessin n'est pas exempt de tout reproche.

En détails, de quoi s'agit-il ?

L'histoire de "L'Onde Septimus" est située dans le Londres des années 50 et il s'agit clairement d'une suite à "La Marque Jaune".
L'onde Mega découverte par le Pr Septimus attire toujours la curiosité scientifique et tandis que 4 conjurés mystérieux souhaitent récupérer le "télécéphaloscope" dans leur propre intérêt, le Pr Mortimer lui, l'étudie en secret pour soulager le monde des maladies, souffrances et traumatismes (à cette époque, les impôts ne figuraient pas dans la liste des maux).
Ce faisant, les uns et les autres, vont réveiller des forces inconnues.
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Tout repreneur de l'univers Jacobs doit surmonter un certain nombre de contraintes, mais se heurte à de rudes obstacles :
- il ne sera jamais Jacobs. Comment recréer le climat nostalgique, l'innocence, qui s'attachent aux albums originaux et magnifient les souvenirs et comment rivaliser avec une qualité de dessin peu commune ?
- le cahier des charges est lourd. Il faut rappeler Jacobs et sa précision de traits, son découpage serré, ses récitatifs nombreux, l'absence de gags, évoquer les thèmes de combat du bien contre le mal, des savants fous, ressusciter Olrik en permanence…

L'équipe Dufaux, Aubin et Schréder (+ Laurence Croix à la couleur) a essayé, mais elle est finalement passé souvent à côté.

Le scénario d'abord.

On débute sur des bases connues avec un défilé de gardes devant Buckingham Palace qui rappelle inévitablement la Tour de Londres, décor des 1ères cases de "La Marque Jaune".
Dufaux est d'ailleurs habile à manier les "marqueurs Jacobsiens". Peut être trop.

Les découpages sont pertinents, le récit développé sur 66 pages (comme l'original) est aéré. le climat est du coup, moins oppressant, mais ça passe encore.

Les dialogues sont plutôt fidèles à l'esprit.
Les récitatifs sont également assez bien répartis, mais ils présentent parfois des imperfections agaçantes (par exemple, quand on retrouve à quelques pages d'écart -12 et 18- la formule "comme possédé (mû) par une force supérieure" ou quand on lit p 65, un "…à l'intérieur, les enjeux se radicalisent" hors de propos.
Mais au fond, les récitatifs sont toujours un sujet de débat dès qu'on évoque l'oeuvre de Jacobs.

Les clins d'oeil abondent, au point de devenir gênants.
Il y a d'abord les références multiples à Magritte (tableau, déclinaison de Septimus). Dufaux en a l'air assez fier au point de l'évoquer en préface et de l'expliquer par un souci de belgitude (qui m'échappe).
On découvre aussi au hasard des pages, une apparition de Churchill… en Oncle Paul (dans son cadre p 60), des évocations de Jacobs lui même à plusieurs reprises…Je trouve que parfois, la frontière entre hommage et parodie est un peu mince.

Mais le problème principal vient tout de même de l'intrigue.

La force de la ligne claire résidait dans la lisibilité du dessin bien sûr, mais aussi dans celle du récit. Et de ce point de vue, nous sommes loin du compte.

A force de vouloir accumuler des références, Dufaux en fait trop. L'histoire se situe visiblement peu de temps après "La marque Jaune" et on retrouve logiquement des allusions à cet album, au "(Le) Secret de l'Espadon" ou au "(Le) Mystère de la Grande Pyramide". Mais aussi au "Secret de l'Atlantide" et son vaisseau. Et là, ça coince.
L'intervention d'une entité extra terrestre vient inutilement complexifier une intrigue qui, comme le dessin, accélère et se délite dans les dernières pages et conclut l'album de manière incompréhensible.

C'est d'autant plus regrettable que l'idée d'une suite avec un Mortimer rattrapé par sa curiosité et pris les doigts dans le pot de confiture, était intéressante.

Que dire du dessin ?

Je l'ai trouvé vraiment réussi dans la majeure partie de l'album, en dépit d'une anomalie grossière (il faudrait que le bras gauche du personnage qui tient le carton à chapeau en bas de la page 6 fasse 2 mètres de long pour se présenter comme ça).
Par contre, à la fin, ça se gâte.
Certains visages sont incroyablement ratés (Lady Rowana p 54 !, Blake défiguré p 61, Olrik massacré p 69, 70 etc…). Problème de temps ?
Rien de rédhibitoire, mais quand même la désagréable impression que certaines pages ont été bâclées.

Voilà. Au final, on se trouve en présence d'un album quand même de très bonne facture mais qui, compte tenu de la référence à laquelle on le compare, souffre de beaucoup d'imperfections. Peut être que si tous les acteurs acceptaient de "perdre" un peu de temps avant de relancer la machine à sous, tout le monde finirait par y trouver son compte.
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critiques presse (3)
BDZoom
06 octobre 2016
Les auteurs nous disent clairement que nous sommes dans un monde d’illusions et avouent que leur œuvre n’est pas celle de Edgar P. Jacobs, mais bien celle de très habiles contrefacteurs.
Lire la critique sur le site : BDZoom
Auracan
16 janvier 2014
Dufaux emprunte à Jacobs de longs dialogues et narratifs. Cela peut ressembler à une réussite, mais, la sauce ne prend pas. On ne vibre pas. Par contre, graphiquement, Antoine Aubin et Etienne Schréder respectent la ligne claire et sauvent l'album du naufrage...
Lire la critique sur le site : Auracan
Sceneario
02 décembre 2013
L'Onde Septimus est une nouvelle réussite pour cette reprise. Je dirais même plus que ce tome est un des meilleurs sortis ces dernières années. Jean Dufaux fait son entrée avec brio. Les amateurs sont au rendez-vous pour assister à l'alliance Mortimer/Olrik !
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (11) Voir plus Ajouter une citation
Il y a là le lieutenant McFarlane, ancien officier attaché au bureau de Charles garrison, police comissioner et chef suprême du Yard.
Le banquier Oscar Balley qui a fondé sa fortune dans l'exploitation des masses laborieuses et des mines de charbon de Tilmanstone dans le Kent.
Lady Rowana, jeune veuve inconsolable dont l'art consiste à choisir les fortunes solides et les maris chancelants...
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-Je n'ai jamais oublié que la patience est une vertu...
-Le chemin des vertus est long et étroit.
-Je vous rassure, ce n'est pas celui que nous emprunterons. Là où je vis, les vices occupent la meilleure place. J'aime les monstres. Ils me divertissent car ils sont le meilleur moyen de combattre l'ennui. L'un d'eux cependant me pose de sérieux problèmes. Car il m'échappe...
-C'est la fonction des monstres. D'échapper à toutes règles, à toute attente...
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(p. 10) - Probablement, le plus troublant, c'est que nous ne sommes jamais parvenus à retracer son passé, ses origines. Nous n'avons même pas retrouvé l'endroit où il est né. Car, enfin, derrière ce nom d'Olrik, il doit bien y avoir des parents, une famille, une enfance…
- Bah ! N'en faites pas une obsession. Nous finirons bien par lui mettre la main dessus.
- Je n'en doute pas. Et à tout vous avouer, j'ai d'autres préoccupations en ce moment.
- Laissez-moi deviner : ces derniers temps le professeur ne s'est pas montré au Centaur Club alors qu'il y avait ses habitudes. Cela doit suffire pour vous inquiéter…
- Je l'avoue, Sir, je me fais du souci.
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Tous semblent réunis autour d'une idée fixe, une idée qui va chercher ses racines dans les égarements du passé. Car le passé leur correspond mieux qu'un présent jugé pusillanime pour des esprits infatués comme les leurs.
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(p. 7) Mais il existe un autre monde, plus discret, plus à l'écart, où les voluptés promises s'effacent devant l'angoisse, la douleur. Ici le silence est troublé par des cris, des appels au secours. Ici on lutte contre l'indescriptible, le désordre qui mène à la folie.
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Videos de Jean Dufaux (66) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Jean Dufaux
Murena est une série de bande dessinée historique belge écrite par Jean Dufaux et dessinée par Philippe Delaby puis Theo. La narration décrit le règne de l'empereur Néron dans la Rome antique de 54 à 68 et, en parallèle, l'évolution du héros éponyme, Lucius Murena. La série est éditée par Dargaud depuis 1997. L'histoire se déroule dans la Rome antique, au Ier siècle, sous le règne des empereurs Claude puis Néron. Claude exprime des remords d'avoir négligé son fils biologique Britannicus au profit de son fils adoptif, Néron. de plus, il regrette d'avoir épousé Agrippine et il envisage de la répudier, car il souhaite se marier avec son amante Lollia Paulina. Devant cette double menace, l'impératrice intrigue pour assassiner sa rivale, avec l'accord passif de Néron. Or, Néron est ami avec Lucius Murena, fils de Lollia Paulina et héros éponyme de la série. Agrippine, par ailleurs, sollicite Locuste pour empoisonner Claude et installer Néron sur le trône. le récit met en parallèle l'évolution de Néron et celle de Lucius Murena, qui basculent progressivement dans la folie.
À la suite de l'assassinat de Claude, Néron monte sur le trône. Britannicus meurt à son tour dans des circonstances troubles et la rumeur attribue ce nouveau décès à Néron ; ce dernier devient la proie d'une folie, réelle ou supposée, qui le consume. À travers ces épisodes, nous voyons comment Néron sombre dans la cruauté, par un concours de circonstances, un jeu de manipulation et de vengeance…

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