D'énormes pierres leur bouchaient la vue, et tout à leur jeu cruel de massacre improvisé, ils ne pouvaient pas voir ce qui terrifiait le petit Eduardo. Derrière les pierres gisait un cadavre de femme que reniflaient des rats effrontés, escaladant sans discernement son buste, ses jambes ou son visage.
Il vous sera bien plus difficile de trouver des arguments pour justifier les tortures et les crimes dont vous vous êtes rendue complice durant toutes ces années pendant lesquelles la junte de Buenos Aires a été au pouvoir