L'Exception israëlienne : Enquête sur un Etat controversé

Le Conseil des droits de l'homme des Nations unies a dejà condamné quatre-vingt-dix-neuf fois Israël contre seutement quinze fois la Corée du Nord et douze fois I'Iran. Il n'a par ailleurs jamais trouvé à redire sur les agissements de la Chine, de l'Arabie saoudite ou de Cuba. La vénérable institution dissimule à peine son parti pris anti-israélien.

Dans un rapport... le Conseil des droits de l'homme condamne uniquement l'État hébreu et mentionne à peine le Hamas et le Djihad islamique, deux mouvements prônant pourtant ouvertement l'anéantissement de leur ennemi...

L'obsession anti-israélienne de l'Assemblée générale, composée majoritairement de dictatures et de regimes autoritaires, est légendaire.

Depuis 2015, elle a condamné cent vingt-cing fois Israël contre dix-neut fois la Russie et six fois l'Iran.

Parfois, ce traitement de faveur confine à la farce. Ainsi, en juillet 2022, le Conseil économique et social de l'ONU a condamnė le seul Israël pour atteinte aux droits des femmes (en l'occurrence palestiniennes), épargnant des pays comnne l'Iran et la Somalie, mais aussi le Hamas et l'Autorite palestinienne où les crimes d'honneur et les violences conjugales sont pourtant un sujet de société majeur...

Les Britanniques savaient tout, bien sûr, des persécutions puis du génocide des Juifs européens. Mais ils refuseront obstinément d'assouplir la politique d'immigration instaurée par le Livre Blanc. Rien n'infléchira leur determintion a barrer la route de la Palestine aux juifs . Ni l'invasion de la Pologne en septembre 1939, ni le massacre d'un million de Juifs en Ukraine en 1941, ni les chambres à gaz d'Aushwitz, ni même la libération des camps de la mort en 1945.

Les sévères quotas d'immigration ne seront abrogés qu'à la création de l'État d'israël, en mai 1948.

Parachuté [les israéliens] en territoire hostile et condamnés à réussir, ils durent innover, se dépasser, se réinventé sans cesse, dans tous les domaines. il surent ressusciter leur identité nationale, après deux mille ans d'exil et de dispersion, en préservant leur héritage hébraïque, ciment de leur unité.

On ne comprend rien à Israël d'aujourd'hui si on s'acharne à mettre sous le tapis cette dimension.

Ce livre raconte comment un peuple minuscule, dispersé et vulnérable, à bâti en moins d'un siècle un État puissant, craint et respecté ... Il décrypte ... Il dresse un tableau nuancé de la réalité du pays, sans doute assez éloigné du cauchemar de David Grossmann.

Une nouvelle guerre au mondiale se profile et ils [les britanniques] risquent de perdre le soutien d'un monde arabe viscéramement antisoniste. Du Maroc à l'Irak, les arabes manifestent toujours plus d'enthousiasme pour l'Allemagne nazie.

Si les arabes basculent du côté des nazis, l'empire britannique perdra son influence au Proche-Orient et l'accès vital au pétrole. Dans la balance, les sionistes ne font pas le poids.

Pour complaire aux Arabes et calmer les tensions en Palestine, les britanniques ont décidé de fermer les portes de la Palestine aux juifs ...

"Avant que le terroriste Abed ne vous poignarde, il sait déjà que le soldat qui tentera de l'arrêter sera qualifié de criminel de guerre... Ils sont israéliens mais ils sont infiltrés par l'Union européenne. Quand nous luttons contre le terrorisme, eux [l'union Européenne] luttent contre nous. "