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Walt Longmire - Romans tome 9 sur 17
EAN : 9782351781210
384 pages
Gallmeister (04/05/2017)
3.8/5   214 notes
Résumé :
Toute cette affaire n’avait au départ l’air de rien : un gamin fugueur qui se réfugie dans un cabanon et se nourrit en se servant dans les placards d’une vieille dame.
Mais quand le shérif Walt Longmire essaie de ramener Cord chez lui, il se retrouve face à une propriété gardée par des miradors qui abrite une communauté polygame.
Et tout ce petit monde, orchestré par un patriarche habile et un homme de main au passé trouble, affirme ne rien savoir de... >Voir plus
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3,8

sur 214 notes
Je voudrais commencer par un gros carton jaune aux Editions Gallmeister pour la couverture ... La maison d'édition au logo "patte d'ours (?)", a inséré un serpent en photo (petit) à l'extérieur , et comme ça ne suffisait pas , ils ont remis le couvert avec une Grande photo à l'intérieur ... Arghhh , j'aime pas trop ces bestioles ...
C'est presque un coup à me faire zapper la 14 ° aventures de Walt Longmire , le shérif du comté le moins peuplé de l'état le moins peuplé des USA.
J'ai dit "moins peuplé " , mais je vous rassure , il a du boulot , parce que les habitants là-bas, ils sont un peu siphonnés ... mais Walt s'en occupe aux petits oignons ... ET à sa façon ...
Ça démarre par "un ange" qui en échange de quelques menus travaux chez une vieille dame, obtient gite et Oréos , incognito .
Ce squatteur sachant squatter fera une fixette sur le DVD "Mon amie Flicka", puis conduira Walt vers une bande d'illuminés , une secte à la con qui sévit là où les âmes sont faibles . Sauf que pour des adeptes de" L'église apostolique de l'Agneau de Dieu ", ils ont de bien belles voitures , pétoires et autres joujoux . Mais question "pétoires " , Walt et ses collègues dégainent aussi plus vite que leurs ombres , alors on savoure .
C'est une série qui brille par son atmosphère, ses paysages, son machisme et son humour .
On sourit souvent, on a peur un peu .
Il parait que Longmire est le héros d'une série télévisée sur D8 . S'il n'y a pas de petites bébettes, je promet d'aller y faire un tour .
Walt est peut-être le shérif du" comté le moins peuplé" mais question admirateurs , il y a foule ...
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Walt is back.
Henry Standing Bear itou, vu que les imaginer l'un sans l'autre serait envisager Laurel sans Hardy. Aucun intérêt.

Longmire fait partie de ces franchises que l'on retrouve toujours avec plaisir et la certitude d'un bon moment de lecture.
Cette dent du serpent le confirme allègrement.

Où il est question d'un gamin chapardeur rattrapé par la patrouille, enfin par notre shériff de l'Ouest.
Un bambin qu'il conviendra de rendre à sa famille.
Problème, il a pas de famille.
Arf, y aurait bien cette secte, là-bas, qui pourrait bien en revendiquer la paternité sauf qu'elle s'y refuse sèchement. On frôlerait presque l'impolitesse caractérisée.
Et vous le connaissez le Walt, aussi pugnace et mordant qu'un pitbull affamé.
Lorsqu'il suspicionne, c'est rarement pour lâcher le morceau dans le quart d'heure qui suit.

Il y a des bouquins qui vendent du rêve en barre au niveau du récit.
Puis il y a ceux qui en distillent en usant d'un ton guilleret et alerte sans forcément transcender au niveau de l'intrigue.
Lansdale et ses duettistes Collins et Pine étaient de ceux-là.
Plutôt que de tout miser sur une intrigue aux p'tits oignons, ils prenaient le parti de divertir en pariant essentiellement sur une ambiance chiadée et des ressorts burlesques qui tenaient sur la durée.
La Dent du Serpent ne restera pas dans les annales en matière d'enquête au cordeau.
Par contre, pour ce qui est de disséminer de la joie à force de saillies éminemment jubilatoires, le reptile se pose là !

Peut-être pas le meilleur de la série.
Certainement l'un des plus poilant !
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Est-ce vraiment un ange qui effectue de menus travaux chez Barbara Thomas en échange de poulet pané et de quelques Oréos ? La vieille dame en est persuadée mais le shérif Walt Longmire a un autre avis sur la question. Pour en avoir le coeur net, il va faire un tour dans la maison bénie par le ciel et tombe sur un être de chair et de sang, un adolescent maigrichon qui s'enfuit à la vitesse de la lumière. Quand il le retrouve, Walt fait la connaissance de Cord, membre répudié d'une secte, l'Eglise apostolique de l'agneau de Dieu. L'affaire pourrait être banale, il suffirait de rendre cette brebis égarée à son troupeau mais il s'avère que sa mère le recherche et que sa mère a disparu. Il n'en faut pas moins au shérif pour aller renifler du côté de cette secte qui semble sévir dans le Wyoming et le Dakota du Sud. Armés jusqu'aux dents et retranchés dans des camps plus militaires que religieux, les adorateurs de l'agneau de Dieu vont lui donner du fil à retordre et pas seulement sur le plan théologique.

Petite baisse de régime pour Craig Johnson qui s'enferre dans une intrigue longue à se mettre en place et, somme toute, très embrouillée. Ce qui partait pour être une affaire concernant une secte se transforme en enquête sur un trafic de pétrole compliquée au possible. Si l'on a plaisir à retrouver la joyeuse bande de Longmire, Vic et La Nation Cheyenne en tête, on les perd un peu dans les hautes plaines. Entre gros flingues, bagarres sanglantes, héros du Far West revenu d'entre les morts, cassette vidéo de Mon ami Flicka et secte bizarre, on patauge dans une histoire très (trop) pleine de testostérones. Heureusement, les dialogues sont toujours aussi drôles et les moments intimes entre le shérif et son adjointe laissent planer le suspense sur un futur rapprochement. Débarrassé de tous les méchants, le Wyoming sera sans doute plus accueillant dans le prochain tome...
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Tout commence très innocemment par une petite vieille visitée par des anges – des anges très gentils d'ailleurs qui lui réparent ses canalisations et lui vident ses poubelles, se contentant de lui piquer un poisson pané de temps en temps pour tout paiement. Forcément, le shérif Walt Longmire est un peu perplexe. Si les anges descendaient sur terre et se nourrissaient exclusivement de poissons panés, ça se saurait! Longmire alpague donc l'ange en question qui s'avère être un adolescent qu'une quinzaine d'années. Cord a été chassé d'une communauté de pseudo-mormons mais quand Longmire tente de le ramener chez lui, il se retrouve face à un village fortifié protégé par des miradors et tout ce beau monde affirme n'avoir jamais croisé l'adolescent. Nulle trace non plus de la mère du garçon pourtant épouse du patriarche si l'on se fie aux dires de Cord. Débute alors une enquête complexe, tortueuse qui entraînera Walt et son équipe sur de surprenants et périlleux chemins.

Ils auront tout eu au Wyoming : des psychopathes, des vengeurs fous, des violeurs, des tueurs de chevaux et maintenant une secte ! A se demander quand Walt trouve le temps de se reposer ou de coucher avec son accorte mais caractérielle adjointe… (Même si Walt ne baise pas trop ces temps-ci. Il a trouvé une méthode imparable pour dégonfler les ardeurs de Vic : quand elle veut s'envoyer en l'air, il se met à lui parler de sa fille ! Effet garanti. Ce type est mazo.) Ce nouveau et très sympathique opus fait d'ailleurs la part belle aux personnages récurrents, à savoir Vic et l'incontournable Henri Standing Bear. On ne comptera pas le nombre de fois où ils sauvent la vie de Walt ou l'empêchent simplement de se vautrer – à l'exception des fois où ils prennent plaisir à le piétiner car une bonne séance de flagellation ça peut parfois faire du bien.

Le scénario est plus dramatique que ceux des précédents tomes, mais cela n'exclut pas un humour constant et jubilatoire. L'un des protagonistes les plus amusant de cet épisode est notamment un vieux mormon persuadé d'être Orrin Porter Rockwell, personnage important de l'Histoire de l'Ouest mort au XIXe siècle : complétement jeté, armé jusqu'aux dents et obsédé par « Mon amie Flicka ». A souligner également un antagoniste particulièrement réussi et tout à fait haïssable. Encore un bon opus d'une série qui n'en finit pas de s'enrichir. A conseiller vivement !
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 le shérif Walt Longmire, quand il s'exclame, » c'est la pagaille p 283, et pousse un soupir de lassitude, le lecteur que je suis l'éprouvait depuis "un certain temps". Son homologue Henry, lui répond dépité c'est la pagaille.
On avait eu l'immense plaisir de commencer dans l'ordre, on finit dans le désordre.


A lire les commentaires des lecteurs, souvent passionnés par les enquêtes policières de Craig Johnson, le début est savoureux, cette grand mère qui croit aux contes de fée, c'est touchant et décalé un peu à la façon de Mr Malaussène. Il enfonce le clou quand on découvre un gamin Corb qui avoue être un élu de Dieu, mais qui pour des raisons obscures a été exclu d'une communauté de mormons.


Est-ce suffisant pour lancer une enquête de police, non bien sûr. Mais un autre événement précipite Walt dans la mêlée, Sarah Tisdel recherche son flis Corb encore mineur, elle serait la compagne du gourou de l'étrange communauté apostolique, dont les membres ne semblent pas être des enfants de choeur et encore moins des agneaux divins, mais des adeptes de comportements bien étranges.


La rencontre fortuite, de Wanda l'épouse du grand prêtre Roy Lynear, au volant d'une occase délabrée ajoute une note exotique à ce thriller qui à ce moment de l'intrique suit un chemin paisible? le lecteur est un peu surpris de l'arsenal que Wanda manipule avec une délicatesse de lanceur de couteaux  .
les pièces détachées transportées est l'une des lubies bien anodines de cette dame.
Fut elle la xième épouse de Roy Lenear, Elle révèlera d'autres talents de manipulatrice:
Vic contemplait le véhicule appartenant à l'église apostolique de l'agneau de Dieu... dans le compartiment de la roue de secours, une pièce détachée, une tête de forage! p 220.


Cette révélation, va déclencher une suite tumultueuse de rebonds, on fait parler les pétoires faute de clairvoyance sur une intrigue à la dérive.
Tout s'embrouille, est ce pour les besoins de la série, le scénario ne se déclinant plus qu'en dialogues décousus!
Belle pagaille.
On perd le fil de l'histoire, et les personnages se délitent.


Une succession d'affrontements meurtriers vont nous rappeler que le roman touche à sa fin.
Dommage, oublié la fantaisie ubuesque de la première moitié? Allons à l'essentiel et concluons sur la nécessité dans un roman d'oublier la série télévisée, et de ne pas oublier le lecteur.
Un bien beau looping, puis comme un crash en plein vol qui plaira sur le petit écran. Les amateurs d'armes à feu seront servis, quelle érudition balistique, le sketch de Fernand Rénaud me revient en mémoire « un certain temps ».
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critiques presse (1)
LePoint
09 juin 2017
Des sectes, du pétrole, de l'amour, de l'humour et des bagnoles... Le Wyoming, à cru pour ce 10e opus des enquêtes du shérif du Grand Ouest américain.
Lire la critique sur le site : LePoint
Citations et extraits (51) Voir plus Ajouter une citation
Parfois, on passe sa vie à croire qu'on fait quelque chose, alors qu'en réalité, tout ce qu'on fait, c'est attendre.
Commenter  J’apprécie          100
Le vieux shérif, Pete Anderson, racontait qu’il avait dû se passer de drôles de choses. Big Wanda a prétendu avoir couché avec un extraterrestre, ce que Vann a interprété comme une résurrection de sa femme. Là-dessus, il a eu une autre révélation : pour se transmettre la résurrection entre eux, il devait coucher d’abord avec l’une de ses femmes puis l’autre. C’est seulement lorsqu’il a eu des instructions divines lui ordonnant de baiser avec son chien qu’il a commencé à avoir des doutes.
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C'était une femme typique du Wyoming , de cet âge indéfinissable entre trente et cent ans où les femmes trouvent une certaine paix et s'y installent .
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(...) , et l'adage de Mark Twain me revint en mémoire : le tonnerre est impressionnant, il fait beaucoup de bruit, mais c'est la foudre qui fait le travail, même si c'est un kilomètre après l'autre.
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Je n’aime pas les enterrements, et cela fait un moment que j’ai cessé d’y assister. Je considère la cérémonie comme une forme de déni, et quand ma femme est décédée et que ma fille, Cady, m’a dit que, à sa connaissance, aller à l’enterrement de quelqu’un ne l’avait jamais fait revenir, j’ai tout simplement renoncé.
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Videos de Craig Johnson (51) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Craig Johnson
https://www.laprocure.com/product/1439358/johnson-craig-le-pays-des-loups
Le Pays des loups Craig Johnson Éditions Gallmeister
©Marie-Joseph Biziou, libraire à La Procure de Paris
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