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Nathalie Heinich (Autre)
EAN : 9782362802492
128 pages
MARCHAISSE (17/09/2020)
3/5   7 notes
Résumé :
L’histoire de "La Retrouvée" raconte une conquête à double sens. Car cette maison, initialement parée de toutes les disgrâces, a dû conquérir le cœur de sa propriétaire, tandis que celle-ci s’acharnait à faire sien un lieu « qui n’était pas son genre ».
Comment s’approprie-t-on une maison, un jardin ? Comment devient-on finalement habité par le lieu qu’on habite, réparé par le lieu qu’on répare ?
L’exploration de ce kaléidoscope d’expériences, à la foi... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
Pourquoi ? Pourquoi ??? Qu'ai-je fait pour mériter ça ??? Pourquoi suis-je punie au point de me retrouver à lire régulièrement des daubes pseudo-culturelles ? Je pensais être tombée plus bas que terre avec Eva Bester, mais je me dois d'observer qu'on peut malheureusement toujours tomber plus bas, encore, encore, et encore. Ce calvaire prendra-t-il fin un jour ? Les éditeurs vont-ils enfin cesser de publier des livres uniquement parce que l'auteur fait partie de leur petit cercle, et s'intéresser au contenu ? Peut-être que c'est juste moi qui n'ai pas saisi le concept d'édition et qui croit bêtement qu'un livre se doit de posséder un minimum de qualités et d'intérêt, alors qu'en fait, pas du tout, un livre est juste fait pour être vendu et pour faire croire aux lecteurs qu'ils sont plus bêtes que l'auteur et doivent forcément le vénérer - surtout s'il est chercheur au CNRS, comme nous le fait bien remarquer l'éditeur de la maison qui soigne. On ne va quand même pas oser, nous, simples lecteurs, simples consommateurs sans cervelle, affirmer qu'un livre écrit par un chercheur du CNRS est nul ? Ben si. Si. Si si si. Oh que si ! Siiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!


Certes, c'est moi qui ai voulu lire un livre de Nathalie Heinich, même si je suis tombée sur ce titre par hasard lors d'une Masse critique de Babelio, quelques mois après avoir lu un de ses essais. J'avais d'ailleurs prévu de lire au moins deux autres essais d'elle - là, c'est curieux, je suis vachement moins enthousiaste. Un peu comme dans les moments où je me dis que je vais enfin lire un roman de le Clézio et que je me retrouve le nez dans une de ses interviews ou que je le vois cinq minutes à la télé : ma motivation en prend direct un gros coup. Ben là, pareil. Bon, j'avais bien capté que Heinich, dans son essai "Art brut : axiologie d'une artification", ne se prenait pas pour une crotte. Mais ses sujets d'étude me paraissaient suffisamment intéressants pour faire abstraction de la suffisance de l'auteure qui apparaissait en filigrane dans son texte. À ce jour, alors que je viens de lire La maison qui soigne, il va me falloir prendre sacrément du recul pour m'attaquer à ses essais : Heinich me semble odieuse, et représente à mes yeux le parfait cliché de la bourgeoise parisienne très aisée faisant montre d'une condescendance assez abjecte envers ses concitoyens non parisiens et d'une autre classe sociale que la sienne (donc la très grande majorité de la population française). Et ces traits de sa personnalité ne m'ont pas vaguement agacée, comme cela arrive avec d'autres auteurs, mais horripilée, parce qu'ils sont malheureusement au coeur du livre. Lorsqu'on clame à la page 24 (page à laquelle j'aurais refermé le livre si je ne m'étais pas engagée auprès de Babelio pour en écrire une critique)... donc, quand on clame à la page 24 de son livre en manière de blague qu'on a été assez désespérée pour avoir cherché une maison jusqu'en Bourgogne ou dans le Comtat Venaissin (j'imagine que c'est censé relever de la private joke), on se permet une blague raciste, au sens large - disons discriminatoire, afin d'être plus précis dans les termes, mais ce qui revient au même. Nathalie Heinich n'est pas un auteur du XIXème qui pouvait, sans que ça choque personne, se montrer misogyne, antisémite, raciste et j'en passe. Elle écrit aujourd'hui... et elle est quand même sociologue. Oui, oui, so-cio-lo-gue. Ce qui donne matière à réflexion sur un tel choix de carrière pour une personne autant imprégnée de préjugés désolants.


Et le fait que l'auteure soit sociologue, c'est d'ailleurs ce qui m'avait donné envie de lire en partie La maison qui soigne. Ca, et évidemment le sujet du lieu de vie qui n'est pas forcément celui qu'on comptait choisir, mais qu'on va s'approprier. Je n'avais pas compris en lisant le texte de la quatrième de couverture qu'il s'agissait d'un récit autobiographique ; j'aurais sans doute tiqué si j'avais saisi que le livre de Nathalie Heinich parlait de Nathalie Heinich, vu qu'elle faisait déjà un chouïa son propre panégyrique dans son essai déjà cité, "Art brut : Axiologie d'une artification" (avouez que vous vous délectez à lire et relire ce titre). Bref, j'ai choisi ce livre en me trompant sur ce qu'il était, en imaginant que le sujet du lieu de vie serait traité, sinon de manière exceptionnelle, au moins d'une façon originale - ce que laissait présager la quatrième de couverture. Et surtout, qu'il serait traité tout court.


Au lieu de quoi, je me retrouve avec le livre d'une femme qui se plaint d'avoir du mal à trouver une (grande) maison qui lui convienne alors qu'elle a de quoi la payer comptant en piochant dans son patrimoine personnel, qui se plaint qu'il faut constamment entretenir un logement et effectuer des réparations (la vache, il a quand même fallu qu'elle achète une résidence secondaire à 50-60 ans pour s'en rendre compte !), qui se réjouit que son voisin soit un menuisier au chômage vu qu'elle va pouvoir le payer en chèques emploi service, donc le payer une misère tout en bénéficiant d'un crédit d'impôts (la vache, la radinerie alliée au manque d'empathie !), qui se félicite de l'entraide que montrent les gens de la campagne (ah, c'est qu'ils sont gentils ces petits campagnards incultes !) parce qu'elle se fait aider tout le temps par ses voisins tout en ne les aidant jamais, qui nous fait la liste de ses bancs installés dans le jardin car, je cite, "Un jardin, ce sont des bancs entourés de végétation" (la vache, cette vision révolutionnaire des jardins !), qui fait semblant de s'inquiéter de la diminution du nombre d'oiseaux - c'est le paragraphe où elle fait tout simplement semblant de se soucier d'écologie et du mode de vie induit par le néo-libéralisme économique - mais qui ne prend pas une seconde pour s'interroger sur l'impact de son propre mode de vie sur l'environnement (la vache, faudrait quand même pas pousser, hein !)... Bon, là, on atteint le comble du ridicule, le paragraphe se terminant par "Ô les oiseaux... ! Ô les oiseaux, les oiseaux, les oiseaux ?!" Non, je ne divague pas, c'est ce qu'elle a écrit.


Ajoutez à cela la liste du linge de maison (une pièce offerte au Maroc par un amant de passage, un autre rapportée de Bali, une autre chinée lors d'une délicieuse braderie locale, etc., etc.), la mention des deux dressings qui semblent constituer l'aboutissement de toute une vie (ça vaut le coup d'être devenue chercheuse au CNRS, ma foi), la liste des vêtements qu'elle a rangé dans ses dressings, la liste des objets et des meubles achetés pour remplir la maison (toujours plus, c'est le credo de l'auteure ; on va quand même pas remettre en cause un mode de vie consumériste, on a déjà suffisamment donné avec le paragraphe sur les oiseaux), la liste des plantes qu'elle tente de faire pousser ou qu'elle arrache sans vergogne (parce que oui, elle arrache avec rage les pissenlits, les orties et j'en passe... Quelle connaissance admirable de la biodiversité !), la liste des horreurs qu'elle fait subir aux souris avant de penser à ranger la nourriture dans des récipients bien hermétiques, et, en fait, la liste de tout ce qui, personnellement, ne m'intéresse pas et n'amène aucune réflexion sur ce qui est censé constituer le sujet du livre. En sus, L'auteure fait sa maligne en utilisant les termes linguistiques "phonème" et "morphème", qu'elle ne maîtrise pas bien et confond avec les termes "signifiant" et "signifié". Était-ce bien la peine de se ridiculiser ainsi ? Je vous laisse juges. Et évidemment, c'est émaillé de citations d'une très haute volée culturelle, histoire de faire passer le vide abyssal du livre. Ca commence par Proust, ça finit par Edith Wharton, en passant entre autres par Bachelard. Et aussi par Bachelard. Ainsi que par Bachelard. Ce sont d'ailleurs les meilleurs moments du texte, au point que j'ai fini par me dire : "Pauvre idiote, pourquoi tu n'es pas plutôt en train de lire Bachelard ?"



Je vois bien ce qui peut intéresser les lecteurs de ce livre : c'est le sujet de départ. La maison moche qu'on va finir par aimer, les lieux où on a vécu, les liens qu'on tisse avec ses différents lieux de vie, la façon dont on s'approprie son lieu d'habitation. Un sujet qui interpelle pas mal de monde et qui pourrait se décliner à l'infini. Mais le sujet ne fait pas le livre, sinon ça se saurait. Et ce livre-là est creux, narcissique, consumériste, condescendant, méprisant. Entre autres. Nathalie Heinich fait mine de réfléchir à son sujet en nous jetant des citations et des clichés à la figure. Toute la pseudo-réflexion de l'auteure tient dans ces citations utilisées de manière égocentrique et bas-de-plafond. Et devinez un peu comment ça se termine... Avec Nathalie Heinich qui affirme qu'en écrivant ce livre elle est devenue alchimiste et a transformé grâce à son talent d'écrivain - c'est-à-dire en accumulant des petites notes qui parlent d'elle et de sa résidence secondaire sans jamais rien creuser - du plomb en or. Je vous assure que je n'invente rien, c'est écrit noir sur blanc. Oui, elle a osé.


Et moi qui trouvais que Bernard Werber avait les chevilles un peu enflées lorsqu'il se comparait à Jules Verne ! Désormais, je considèrerai Bernard Werber comme un parangon de modestie.




Masse critique Littératures
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J'ai sélectionné ce livre lors de la dernière masse critique, attirée par son thème, le mot " maison" éveillant toujours en moi une idée de chaleur, de réconfort, d'intimité.

L'auteure est sociologue. On pourrait s'attendre, au regard du titre, à une sorte d'essai socio-psychologique. Mais il est précisé qu'il s'agit d'un récit autobiographique. Dans le prologue, Nathalie Heinich rappelle qu'elle a déjà écrit sur les maisons de son passé " Maisons perdues". Voilà donc un sujet qui lui est cher.

La Retrouvée, c'est le nom qu'elle a donné à cette maison acquise il y a quelques années, en Haute-Loire. Il lui a d'abord semblé plutot laid, ce gros chalet au crépi gris. Mais elle s'y est vite attachée, imaginant toutes les transformations qu'elle y ferait pour l'enjoliver.

le texte commence par une lettre à des amies, où elle raconte ses premiers moments dans sa nouvelle demeure, les soucis des travaux, le froid, mais sa joie aussi de s'y sentir bien. Ensuite, c'est une chronique des jours qu'elle y passe qu'elle offre au lecteur, entrecoupée de réflexions et de citations d'auteurs, notamment celles, très justes, poétiques, de Gaston Bachelard.

La lecture es à la fois introspective et universelle, car si l'auteure livre son expérience personnelle, elle émet des idées qui touchent tout le monde, à propos de l'espace, de l'appartenance à un lieu, de son aspect réparateur, des jardins, de leurs bienfaits. Néanmoins, j'y ai vu beaucoup d'évidences.

J'ai aimé par contre ce qu'elle écrit concernant notre lien à une maison:" J'habite la maison en même temps que j'en suis habitée", cela la rend aussi lieu de création, d'inspiration.

Cependant, premier point qui m'a agacée, c'est le fait que les aménagements, les transformations, même si elle se plaint de temps à autre de leurs coûts, paraissent se faire facilement, on devine un milieu très aisé, assez éloigné du commun des mortels, avec moult aides et jardiniers. Mais j'ai toujours plaisir à assister à l'embellissement d'une maison laissée jusque là un peu à l'abandon. D'autre part, et c'est assez lié à ce que je viens de dire, je trouve assez prétentieux tous ces différents jardins créés...

Mon ressenti reste globalement positif. Je conclurai par cette phrase de Philippe Simay, si vraie, si juste:" Habiter, c'est prendre soin du monde et de soi-même ". Merci pour cet envoi!



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Personnellement, je ne me serais pas précipité sur ce livre. En feuilletant les pages, on croit vite comprendre qu'il n'y a pas d'histoire structurée, pas dialogues soutenus entre protagonistes, même pas de protagonistes en vérité. D'entrée on peut se dire que ça va être prise de tête et interprétations psychanalytiques à faire soi-même... et ce n'est vraiment pas mon truc... Mais, l'éditeur m'a fait parvenir un exemplaire en me demandant de le lire, alors quand je l'ai reçu, je ne l'ai pas directement rangé dans ma bibliothèque, je l'ai laissé sur la table de la salle à manger (ma salle à manger, pas celle de la "maison") puisque j'avais promis d'y jeter un oeil. Quelques jours plus tard, je l'ai ouvert à une page au hasard, et j'ai lu qu'il y avait sept jardins dans le jardin de l'auteure ou de la maison, j'ai tourné les pages au hasard et j'ai appris qu'il fallait remplir le poêle de bois quand il neige. Je me suis rappelé cette maison que j'ai habitée avec mes enfants, cette autre que j'avais louée pour les vacances. Je me suis dit "OK, ça change". Quelques jours plus tard, une fois de plus je suis passé devant le livre, et j'ai lu deux ou trois autres passages au hasard, et je me suis fait avoir... J'ai commencé à prendre plaisir, non pas à me prendre la tête en cherchant du sens, ce que certains pourront sans doute faire avec plaisir, mais à être dans cette intimité que propose le livre, l'intimité d'une personne, d'une histoire, d'une pensée. Alors, après l'avoir découvert sans vraiment y faire attention, j'ai décidé de le reprendre du début. A ce moment, j'ai compris qu'il y avait cette histoire, qu'il y avait ces dialogues, qu'il y avait des protagonistes. Enfin je crois, parce que je ne suis pas certain que ce n'est pas moi qui y ai apporté tout cela, car l'auteure s'amuse apparemment à juste en écrire assez pour qu'à la fin de chaque petits passages on lève les yeux au ciel pour imaginer sa propre histoire, son propre rôle, dans cette maison, ou dans une autre que l'on a connue, dans une autre que l'on voudrait connaître. Un livre qui fait appel à ce que vous êtes en un mélange savant avec ce qu'est l'auteure. Je l'ai refermé il y a quelques jours en me disant : "Bah oui, quand même...". Alors, franchement, si vous cherchez autre chose de temps en temps, passez quelque heures dans cette maison vous fera grand bien.
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Je remercie tout d�ord chaleureusement les éditions Thierry Marchaisse et Babelio ainsi que l𠆚uteur Nathalie Heinich pour ce très bel objet qu𠆞st ce livre, la maison qui soigne, Histoire de « La retrouvée ». C𠆞st en effet un très joli papier, une jolie couverture, un format ni trop grand ni trop petit qui nous invite à rencontrer l’objet, le lieu et bien plus encore qu𠆞st la maison.
Lire La maison qui soigne, c𠆞st se laisser entrelacer par les murs et les objets, les atmosphères et les matières, l𠆞space et le lieu qui en disent long sur les êtres. En l’occurrence, en filigrane, c𠆞st le passé de Nathalie Heinich que nous lisons, ses peines et ses joies, ses refuges aussi au travers du soin accordé à la maison choisie. La maison comme vecteur pour se trouver soi, le temps d’un instant à la fenêtre, à regarder le paysage, lors d’un passage de quelques jours seule ou accompagnée. Une table achetée par son père pour elle dans sa jeunesse, qui se retrouve dans ce lieu des années après alors que son père n𠆞st plus. Ce sont toutes ces émotions qui nous traversent et qui nous démontrent à quel point la matière, les murs, les objets, le jardin, le soin qu’on y accorde sont les vaisseaux de nos refuges.
A lire. Très riche sur le plan psychanalytique et très poétique.
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En résumé : Contemporain. Un recueil de textes autour de la maison, ce lieux de vie que l'on habite autant qu'il nous habite.

En détail :

La maison qui soigne” livre à travers une série de textes courts, l'histoire qu'entretient l'autrice, Nathalie Heinich, avec sa maison de vacances. le lecteur suit, de manière décousue et réorganisée en thématiques, l'achat de cette demeure, les déboires des travaux et l'entretien parfois compliqué d'un lieu restant souvent inhabité. Là se trouve l'entièreté de l'intrigue de ce roman, il s'agit d'une lecture calme et contemplative. Ces textes sont tour à tour des récits, des réflexions jetées sur le papier, des correspondances avec une amie, des extraits de carnets personnels. Tous autour du lien qui se crée entre nous et notre lieu d'habitation, ce lieu qui nous ressemble ou que nous désirons voir nous ressembler, qui doit être notre refuge mais aussi celui où nous invitons des personnes extérieures. C'est ce lien qu'explore la narratrice : comment une maison qu'elle trouvait même au départ un peu moche, finit par devenir son coin de paradis.

Le texte retranscrit le plaisir de l'autrice à aménager et emplir ce lieu qu'elle s'approprie. Les bibliothèques à remplir, les lampes à chiner, les plantes à installer dans le jardin. le récit tourne parfois à l'inventaire, mais sans lourdeur : les textes restent courts et les descriptions de l'aménagement sont entrecoupées d'anecdotes et de réflexions. Cette maison sera la dernière et l'on sent la détermination de la narratrice à en faire son lieu de vie idéal, somme de tous ses désirs de décoration et de confort.

Nathalie Heinich est une sociologue qui a publié de nombreux ouvrages en lien avec son domaine de compétences (la sociologie de l'art et l'identité féminine notamment).“La maison qui soigne”, qui fait suite à “Maisons perdues”, est un texte plus personnel.

De la même autrice : Maisons perdues
Dans le même genre : Au coeur des maisons, de Donatella Caprioglio
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Vidéo de Nathalie Heinich
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Pour en parler, Guillaume Erner reçoit : Nathalie Heinich, sociologue et directrice de recherche au CNRS (Centre national de la recherche scientifique) Mathieu Lours, historien de l'architecture et spécialiste des cathédrales et du patrimoine religieux
Visuel de la vignette : Fabien Barreau / AFP
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