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EAN : 9782749933634
284 pages
Michel Lafon (08/06/2017)
2.93/5   28 notes
Résumé :

Ils sont beaux, riches, américains. Ils ont décidé de partir ensemble découvrir Rome, puis Syracuse. Michael est écrivain, ancien lauréat du prix Pulitzer.

Sa femme Lizzie est une journaliste en perte de vitesse. Finn est restaurateur et Taylor, son épouse, se dévoue entièrement à l'éducation de leur fille unique, Snow, une enfant énigmatique qui fait aussi partie du voyage. Tout est en place pour qu'ils passent des vacances de rêve dans des ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (16) Voir plus Ajouter une critique
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Deux couples d'américains aisés , décident de partir en vacances ensemble . Au programme: l'Italie et la Sicile , Rome puis Syracuse.
Ça a l'air idyllique , sur le papier , mais en réalité on se demande pourquoi ils font voyage commun . Dans le passé , Lizzie est sortie avec Finn, il leur reste une espèce de nostalgie amoureuse de ce qui aurait pu être, et un désir trouble de ce qu'ils pourraient faire ...
Aujourd'hui Lizzie (journaliste sur le déclin) est mariée à Michael ( écrivain célèbre , ancien lauréat du prix Pulitzer ) , qui subit un blocage créatif . Ils habitent à New-York .
Dans le deuxième couple, Finn (restaurateur) est marié à Taylor ( parfaite WASP coincée), responsable de l'office de tourisme de sa petite ville de Portland.
Eux , sont accompagnés de leur fille de dix ans , Snow. C'est une étrange enfant, presque mutique , que la mère élève de façon fusionnelle .
Et si amener des bagages est normal pour qui part en voyage, eux, vont venir avec leurs névroses, leurs trahisons et leurs mensonges .
Agitez tout ça dans un décor inconnu , rajoutez une enfant zarbi et vous aurez une idée de ce qui les attend comme souvenirs de vacances .
J'ai souvent pensé au "Talentueux Mr Ripley", pour le coté luxe, soleil et léger malaise . Mais ici, je ne parlerai pas de suspens car j'avais tout deviné , hélas, à la moitié du roman .
Chaque chapitre est porté à tour de rôle par la voix d'un des quatre personnages, seule la fillette reste mystérieuse .
Je les ai trouvé légèrement antipathiques , autocentrés. Les époux sont volages ,Taylor est aveuglée par l'amour (malsain) qu'elle porte à sa fille , et Lizzie est un peu fade , alors que, c'est peut-être par elle qu'aurait pu venir l'attachement , l'identification, l'empathie.
Un roman agréable, dommage qu' il ne m'ait pas davantage surpris ...
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Bienvenue ! Bienvenue dans l'Amérique de la côte Est, où les gentils habitants n'ont pas de problèmes particuliers mais sont tout à fait capables de s'en créer. En effet, ils n'ont pas de problèmes financiers, pas de problèmes de santé, ils ne risquent pas vraiment d'être au chômage ou de ne pouvoir payer leurs frais médicaux. Non, tout va à peu près bien, que ce soit à New York ou dans le Maine. Prenez par exemple Lizzie et Michaël. Ils ont tous les deux dépassé la quarantaine, n'ont pas d'enfants, et ne semblent pas s'être posé la question d'en avoir ou pas. Lui est un ex-écrivain prodige qui affirme travailler sur son nouveau roman, elle est journaliste, et peine à trouver des piges – ce qui ne les empêche pas de vivre assez bien. Ils forment un couple uni, à la sexualité active, plus comme des adolescents en goguette que comme un couple marié depuis près de dix ans. Cela n'empêche pas Michaël d'avoir une maîtresse – histoire classique – une jeune réceptionniste à qui il a promis la lune – c'est à dire quitter sa femme et se mettre en couple avec elle. Aujourd'hui comme hier, tout lecteur normalement constitué sait que cela n'arrive jamais.
De l'autre côté, nous avons Finn et Taylor. Finn est restaurateur, il travaille beaucoup, est attiré par une jeune femme pêcheur, qui est tout le contraire de sa femme. Attiré, mais il n'est pas allé plus loin – pas encore. Taylor est le personnage qui m'a le plus intéressée, sans doute parce qu'elle représente vraiment la mère de famille WASP par excellence : toujours parfaite, elle a beau travaillé à l'office de tourisme de Portland, elle a une relation fusionnelle avec sa fille unique Snow, qu'elle ne quitte quasiment jamais.
Snow. La seule personne dont on n'entend pas la voix dans ce roman, ou si peu. Deuxième personnage le plus intéressant parce que nous n'aurons jamais son point de vue – les quatre autres personnages sont tour à tour les narrateurs du récit de cet été à Syracuse. Elle est encore une enfant, elle ne montre pas une personnalité très définie. Chacun de ses gestes, de ses actes, de ses paroles semblent scrutés, interprétés, surinterprétés par trois des adultes qui l'entourent. Snow est une page blanche qui reflète la personnalité des autres, par la manière dont ils la voient. le seul a avoir une interprétation presque « simple » de ses actes est son père, puisqu'il cherche, comme presque tous les parents, la preuve que cette enfant si semblable à sa mère est une Dolan, malgré tout.

Snow qui est au coeur de tout, avec ce prénom à double sens. D'abord parce que sa mère fait tout pour la protéger, que ce soit des microbes (abondance du gel désinfectant, soin apporté aux chambres d'hôtel successives) que de tout ce qui pourrait entacher sa « pureté » – il est des mots qu'on ne prononce pas devant elle, des oeuvres que l'on ne saurait montrer. Snow qui découvre un pays, une culture. Snow qui suscite l'intérêt de Mickaël, comme une jeune fille qu'il faudrait initier. A quoi ? Là est la question. La culture ? Pas si sure. Peut-être ai-je l'esprit un peu mal tourné mais Mickael et ses mensonges à répétition n'est pas la personne à qui je confierai l'éducation artistique de ma fille unique.
Il faut dire aussi que le récit nous est raconté après coup, ce qui fait que les personnages peuvent mettre l'accent sur ce qui, à leurs yeux, a entraîné le drame. Reste à définir ce qu'il est, pour chacun d'eux, et les conséquences pour chacun.
L'été dernier à Syracuse est une histoire de couples, mais pas que. Il met à jour les petites et grandes lâchetés de chacun. Certains s'en accommodent très bien, d'autres moins, mais au final ils ne changent pas leur conduite. Leur confort avant tout. Vive l'American way of life.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
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J'ai eu l'occasion de découvrir la version française de ce roman en avant-première, la sortie officielle étant prévue début juin. C'est par l'intermédiaire de la plate-forme NetGalley.fr que l'éditeur m'a offert la version Kindle de ce livre. Je l'ai lu cette semaine, en quelques jours, le roman étant assez court.

Avant de commencer ma lecture, je ne savais pas vraiment quoi penser du résumé :

Michael et Lizzie, deux New-Yorkais respectivement écrivain et journaliste, partent pour une semaine en Italie avec Finn et sa femme Taylor accompagnés de Snow, leur fille de dix ans surprotégée et surangoissée. Lizzie l'a décidé, ils iront d'abord à Rome puis à Syracuse, sur la côte sicilienne.

Tout sépare les deux couples – milieu social, idées politiques et passions –, mais le décor idyllique fait de bons vins, de gelati et de ciel bleu devrait être celui de vacances paradisiaques. Pourtant, même loin de chez eux, les secrets du passé et les infidélités du présent refont surface. Lizzie et Finn, qui ont eu une histoire des années auparavant, flirtent à nouveau ; Michael, quant à lui, cherche le courage de dire à Lizzie qu'il veut la quitter afin de vivre au grand jour sa relation avec Kath, une jeune serveuse.

Dans un paysage inondé de soleil, les journées s'égrènent lentement. Entre désaccords et reproches, les deux couples sont mis à l'épreuve et, déjà fragilisés par le temps, se fissurent davantage. Dans une ambiance de plus en plus délétère, les mensonges sont mis au jour. Et la jeune Snow, plongée au coeur de ce quatuor dissonant, devient malgré elle le catalyseur d'un drame inévitable.

L'idée de suivre deux couples américains en vacances en Italie ne m'emballait pas vraiment, mais j'avais l'espoir que ce ne soit que le prétexte pour une critique sociale. J'espérais aussi que le changement progressif d'ambiance annoncé par le résumé soit réussi et permette de transformer le ton et les thématiques du roman. Malheureusement, j'ai été déçu. A mes yeux, le roman ne décolle jamais et le changement d'ambiance est un échec.

Je pense que la première et principale raison qui m'a empêché d'apprécier ce roman tient dans ses personnages, que j'ai tous trouvés agaçants et inintéressants. Je crois qu'il n'y en a pas un pour rattraper l'autre : ni Taylor, petite bourgeoise qui gère l'office de tourisme de Portland et dont seule la bêtise rivalise avec la superficialité ; ni son mari Finn, chef cuisinier qui passe son temps à dragouiller toutes les filles qui passent ; ni Michael, l'écrivain mythomane dont la maîtrise lui fait la surprise de le rejoindre en Italie ; ni Lizzie, l'épouse de Michael qui vit un peu dans son ombre et excuse toutes les fautes de mari. Ne parlons même pas de Snow, la fille de dix ans de Taylor et Finn, transparente au début du roman mais dont le rôle sera capital dans le récit.

Le récit, parlons-en. Il est sans surprise, malgré les tentatives de brouiller les pistes. L'auteur essaye par la construction narrative du roman de ménager un semblant de suspense, mais je crois qu'il ne m'a fallu qu'un quart du roman pour comprendre ce qui allait se passer. J'espérais que cela soit une fausse piste mais la suite m'a malheureusement donné tort.

J'ai tout de même fait l'effort de terminer ce roman, car certains éléments sont tout de même réussis. J'ai notamment apprécié la façon dont est décrite la relation entre Snow et Michael, sorte de père de substitution qui contraste avec Finn, son vrai père.

Je regrette tout de même que ces quelques réussites soient noyées dans un ensemble stéréotypé et sans surprise. Une lecture à oublier, et cela tombe bien, car il ne s'agit pas d'un livre inoubliable ...
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Un roman à quatre voix... un voyage planifié et deux couples que tout sépare. Et au centre se trouve une jeune fille de 10 ans, qui malgré son mutisme, jouera un rôle prédominant!

Lizzie est une femme dans la quarantaine, au caractère franc et direct. Elle est parfois vue comme étant brutale et brusque dans ses propos bref, elle n'a pas la langue dans sa poche. Alors qu'elle devrait parfois se taire, les mots sortent sans y avoir pensé au préalable. N'empêche qu'elle a une belle joie de vivre et qu'elle est prête à tout pour satisfaire son mari Michael, même à mentir.

Michael est écrivain et surtout un menteur. Il ment sur presque tout. Il ment à sa femme, à son entourage. Sa vie est tellement peuplée de mensonges qu'il ne sait plus où est la vérité. Il n'a pas du tout envie de partir en voyage, d'ailleurs il aurait préféré annoncer à sa femme qu'il allait demander le divorce pour partir avec Kath. Mais au fil du voyage, il retombe peu à peu en amour avec Lizzie. Jusqu'au jour où une jeune femme blonde se pointe le nez à Syracuse.

Finn est l'ancien copain de Lizzie mais depuis il s'est marié à Taylor et ils ont eu une fille, qui aujourd'hui, a dix ans. Il se décrit lui-même comme étant un fin manipulateur. Il tente par tous les moyens de convaincre Lizzie de quitter Michael. Mais celle-ci ne se laisse pas faire. Toujours est-il que Finn se donne pour excuse d'être un grand restaurateur pour cacher plusieurs d'éléments à sa femme dont son abus d'alcool, drogue et autres...

Taylor est une mère hyperprotectrice, et ce depuis qu'elle a eu sa fille. Elle est devenue anxieuse et angoissée. Elle a une forte propension au snobisme et est un peu trop attachée à l'argent. Très peu ouverte au rapport rapproché, ce qui est possiblement la cause de sa distance avec Finn. En fait, elle ne vit plus que pour sa fille Snow, jusqu'au point de parler à la place de fille et de tout décider pour elle.

Quant à Snow... que dire? Elle est vraiment perturbée. Il est assez difficile de saisir sa personnalité. Elle est tellement sous les jupes de sa mère, mais cela cache un trouble profond et malsain. Il y a quelque chose de machiavélique en elle et on lui pardonne tout, simplement en raison de son âge. Vraiment c'est perturbant!

Et tout partira en vrille à leur arrivée à Syracuse. Les événements vont s'enchaîner et éclater!

Je reste très mitigée sur ce roman. Les personnages sont détestables. Ils ont tous un petit quelque chose de dérangeant et de dérangé! L'intrigue en elle-même est très intéressante et l'on a hâte de voir comment les événements vont s'imbriquer l'un dans l'autre, malgré que la fin soit totalement prévisible. N'empêche que je n'avais pas prévu à quel point Snow jouerait un si grand rôle. Et l'arrivée de cette jeune fille blonde à Syracuse est un élément déclencheur qui ajoute beaucoup de piquant à la lecture. Et on a hâte de passer les chapitres l'un après l'autre afin d'avoir le point de chacun des personnages. D'ailleurs, c'est un aspect de la narration que j'ai beaucoup apprécié.

Au final, un roman où l'intrigue est assez intéressante et dont les personnages sont tellement détestables par moment qu'on aurait le goût de les secouer un peu. Malgré tout, je n'ai vraiment pas ressenti de coup de coeur pour ce roman!

Lien : http://alapagedesuzie.blogsp..
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Ce livre n'est pas juste ce qu'il paraît. On le commence en sachant qu'il s'est passé quelque chose, quelque chose de grave, probablement. Mais on ignore de quoi il s'agit, si ce n'est que cela concerne Snow, une enfant de 10 ans.
C'est un roman choral, où les 4 voix des adultes qui l'ont entourée cet été-là se mêlent, chapitre après chapitre. Chacun va donner sa version de l'histoire, se contredisant parfois les uns les autres, apportant des nuances. On a l'impression de se trouver dans une salle d'interrogatoire, à la place d'un policier qui interrogerait des témoins. Des suspects ?
Cela va commencer du choix de départ en vacances ensemble, de celui de la destination, puis on va entrer dans les détail du voyage en lui-même, jour après jour. On va entrer dans leur intimité, découvrir ce que les autres ignorent, et comprendre le comportement de chacun.
L'autrice réussit à donner à tous ses personnages une voix qui lui est propre, et elle n'en épargne aucun. Tous ont un beau bouquet de défauts, même si certains essaient de se présenter sous leur meilleur jour. Malgré cela, elle réussit à les rendre tous attachants, ou du moins juste assez pour qu'on veuille les comprendre. J'ai tout de même eu beaucoup de mal à accepter le comportement de Taylor qui un bon gros problème dans sa façon d'aborder la maternité, ce qui fait que j'ai beaucoup plaint Snow.
La seule qui n'intervient pas, c'est justement elle. Cela renforce l'aura de mystère qu'elle dégage, d'autant que sa mère parlant systématiquement à sa place, on aura vite tendance à vouloir décrypter ses moindres faits et gestes. Très honnêtement, plus j'avançais dans le livre, plus cette gosse m'a mise mal à l'aise. C'en est arrivé à un point où j'éprouvais de la répulsion à son égard, et où j'avais envie de la juger comme l'adulte qu'elle n'était pas pour son comportement. Faut dire qu'elle est loin de l'image que l'on peut avoir d'une enfant de 10 ans qui aurait des couettes et jouerait tranquillement dans son coin, ou ferait l'intéressante auprès des adultes qui l'entourent.
Non, vraiment, cette enfant m'a dérangée. Mais comme ce n'est qu'une enfant, ce sont les adultes autour d'elle que j'ai eu envie de secouer. Ceci dit, cela pose la question de l'innocence des enfants, de leur naïveté supposée, de ce qu'ils peuvent comprendre d'une situation ou non... Jusqu'au bout, on restera dans le doute sur ces sujets-là.
Comme je le disais plus haut, on a l'impression d'être en plein interrogatoire, et cela amène évidemment un côté un peu voyeur. Cela ajoute rapidement au malaise, mais donne également envie de tourner les pages.
Ce roman a un petit quelque chose du thriller, avec une tension qui monte crescendo, le tout dans un décor parfait et lumineux, calme et immuable, complètement à l'inverse de ce que l'on va découvrir peu à peu concernant les différents personnages et situations qu'ils vont traverser.
Je tire mon chapeau à l'autrice pour avoir su me surprendre dans sa façon de mener la narration, et surtout pour ses personnages desquels elle a vraiment brossé un portrait fin et nuancé.
Lien : http://delaplumeauclic.blogs..
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Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
Les gens qui ont de l'argent et de l'influence possèdent l'équivalent de la carte de Monopoly " Vous êtes libérés de prison", ce qui leur permet de se tirer de n'importe quel mauvais pas .
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Nous n'avions pas d'enfants . Nos enfants , c'était nos bobards. Peut-être pas nos enfants, mais en tout cas notre chien. Nous deux, avec nos mensonges, formions une famille.
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Je suis catholique .(...) Je nage dans la culpabilité en permanence. Je prendrai la vie avec de la culpabilité en accompagnement.
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S'il m'entendait, Finn serait choqué, même s'il n'était pas le père de Snow, mais pas Michael car c'est un écrivain, et les écrivains ont plus d'indulgence pour les remarques cruelles. Je dirais qu'elles les fascinent. Elles les déculpabilisent, les dédouanent de leurs propres vacheries. Du coup, ils se sentent autorisés à faire ce qu'ils considèrent comme un droit : se nourrir de leurs amis pour créer des personnages qui conviennent aux besoins de leurs fictions.
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- C'est une réplique de "la Dolce Vita"
- Quoi donc ?
- La phrase que Snow a répétée.
-" Vous me prenez pour une actrice ? "
- Ouais .
- C'était une citation ?
- La femme du type qui se suicide dans le film.
-Grand dieux ! C'est la faute de Lizzie , je suppose. Elle a dû lui raconter
- Celle de Michael, plutôt.
- Honnêtement, Finn, pour toi , Lizzie n'est jamais responsable de rien. Pendant le repas, elle a été très claire : son père l'a élevée avec de la cuisine chinoise, des film étrangers et Grégory je-ne-sais-quoi. Et le film qu'il préférerait par-dessus tout, c'était "la Dolce Vita " .
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