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EAN : 9782363083210
126 pages
Arléa (05/01/2023)
3.94/5   8 notes
Résumé :
Paliki sait-elle que la première expédition en forêt amazonienne d'où elle veut ramener des photos des Yanomami changera pour toujours sa vie ? Avant de choisir définitivement de rester avec eux, elle alertera le monde sur ce qu'il faut bien appeler la destruction massive d'une communauté humaine ainsi que celle de la forêt où ils vivent.

En 1969, traversant la Sierra Parima, où les conquistadors de jadis situaient la cité d'Eldorado, une photographe... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Vie et mort des Yanomani

En retraçant la vie d'une photographe qui a choisi, après l'avoir côtoyée, d'intégrer la tribu amazonienne des Yanomami, David Hennebelle rend compte d'un désastre ethnique et écologique. Une mise en garde qui se lit comme un roman d'aventure.

Paliki est photographe. Après parcouru le Pérou, la Colombie et le Brésil et réalisé de nombreux reportages pour différents magazines, elle part dans le Nordeste va accompagner une expédition dans la forêt amazonienne pour y approcher les Yanomami. Ces «semi-nomades, chasseurs-collecteurs et agriculteurs sur brûlis, vivent en communautés dispersées, dans la forêt tropicale humide d'Amérique du Sud.»
Mais le groupe va surtout être confronté à la pluie, l'humidité qui va avoir raison de leur matériel ainsi qu'à la faim alors que leur progression s'annonce bien plus difficile que prévue sur ce territoire qui «s'étend entre le Venezuela et le Brésil, de part et d'autre de la sierra Parima, la chaîne de montagnes qui sépare le bassin de l'Orénoque, au nord, de celui de l'Amazone au sud.»
Si, après ce fiasco Paliki ne renonce pas et va tenter de trouver les moyens de retourner auprès des Yanomamis, c'est qu'elle a compris que pour eux, «la forêt englobe tout ce qui est nécessaire à leur existence; elle abrite les esprits et les rites, elle est le théâtre luxuriant de leurs rêves.»
Grâce à une bourse obtenue auprès d'une fondation américaine, elle peut retenter l'aventure. Mieux préparée et plus déterminée que jamais, elle va réussir à les approcher et à se faire accepter par le groupe. Auprès d'eux et dans des conditions pourtant très difficiles, elle va finir par réaliser des centaines de clichés.
C'est alors que le gouvernement va décider le percement de la transamazonienne. Un nouveau combat, inégal, va s'engager pour préserver les tribus. Mais tout comme avec les conquistadors, des siècles auparavant, la bataille est perdue d'avance. D'autant que les moyens supérieurs des ennemis s'accompagnent d'autres fléaux comme les maladies. Paliki va alors intervenir pour préserver un territoire à ceux qui l'ont désormais intégrée à leur communauté.
Dans ce roman scindé en quatre parties intitulées la traversée, la défloration, la lutte et vers la flamme, David Hennebelle rend hommage au travail de la photographe Claudia Andujar et s'appuie sur l'expédition Amazone-Orénoque dirigée par Alain Gheerbrant pour dénoncer un massacre perpétré au nom du progrès.
Ce nouveau siècle sera-t-il le dernier pour le poumon vert de la planète? Et cette catastrophe écologique marquera-t-elle la fin de la planète? Ce livre, court et factuel, est un compte-rendu des errements d'une civilisation et une mise en garde.


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En 1969, Paliki, photographe, part en expédition au coeur de la forêt amazonienne où elle découvre la tribu des Yanomami, qui s'étend du Brésil jusqu'au Venezuela. Fascinée par ces hommes et ces femmes qu'elle photographie avec bienveillance, elle apprend leur langue, leurs croyances et partage leur quotidien.

Voici un bien joli texte de David Hennebelle qui, à travers le personnage de Paliki, nous fait découvrir le travail photographique de Claudia Andujar.

L'auteur nous fait ressentir toute la gentillesse, la pudeur et la subtilité de Paliki qui a à coeur de nouer des liens avec ce peuple. Si la photographie est la première raison de son expédition, elle l'abandonne finalement et tente de vivre d'égal à égal avec eux, en dehors de tout jugement et de tout ethnocentrisme, au fil des années.

Une belle leçon d'humanité et d'humilité... J'ai été émue par ce texte sensible et juste, puis révoltée par les dernières pages qui nous confrontent aux violences subies par la tribu.

Claudia Andujar a su faire entendre leurs voix et leur a littéralement donné un visage. Elle a oeuvré pour leur défense et leur survie, malgré les pressions gouvernementales sur sa personne, face aux dangers de la déforestation, de la maladie et des massacres.

Un texte intense, qui retrace le portrait d'une artiste engagée et qui nous donne à voir, à travers son objectif, la vie des Yanomami, avant les drames à venir...

Je recommande vivement !
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Un livre né de la rencontre d'une femme blanche avec les Yenomami, communautés d'indiens semi-nomades de la forêt amazonienne.

Dans les années 69, Paliki part pour une mission en forêt amazonienne. Elle veut devenir photographe et souhaite réaliser un reportage sur les Yanomami. Un séjour au milieu d'eux lui permet de les comprendre et de les apprécier. Elle souhaite les photographier mais découvre avec stupeur que le flash des photos leur fait peur. Il pourrait figer les morts auprès des vivants et ils les hanteraient pour toujours. Il est hors de question d'aller à l'encontre de ces croyances auxquelles elle prête une grande attention.

Soucieuse de les respecter, elle fera plusieurs séjours avant d'être acceptée et de pouvoir les photographier librement et ouvertement.
Mais peu à peu cette communauté de vie à priori provisoire devient sa norme. Elle ne reviendra plus à Brazilia et reste auprès d'eux pour partager leur vie.

Ce roman se lit d'un souffle. Ce souffle est celui de la vie des peuples natifs de l'Amazonie qui sont chassés peu à peu de leurs territoires par les garimperos. Mais surtout par l'appât du gain des grands groupes internationaux, poussés par la gouvernement actuel du Brésil, et qui n'hésitent plus à défricher la forêt amazonienne.
Le poumon de la planète est en danger. Ce n'est plus un abri sûr pour les peuples qu'il a longtemps protégés, et sa disparition programmée est une catastrophe pour l'homme.
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Avec Vers la flamme, David Hennebelle aborde un sujet malheureusement récurrent, le massacre des Yanomami, l'extinction de leur culture ancestrale et la destruction de leur environnement : la forêt amazonienne.
Paliki va les rencontrer pour les photographier avec respect et bienveillance. Mais l'expédition est un échec et elle doit rentrer avec ce goût d'inachevé.
Après de nombreux efforts, elle arrive à réunir assez de fonds pour repartir dans cette forêt qui contient tout ce dont ce peuple a besoin, nourriture, matériaux, et même les esprits, les xapiri. Au fil du temps, elle laisse de côté son projet de photographie pour s'immerger complètement dans la culture de ce peuple accueillant au point d'en faire partie, malgré la blancheur de sa peau et la douceur de ses cheveux.
Malheureusement, le gouvernement de Jair Bolsonaro, contre tout respect de la planète, agrandit son plan de transamazonienne, véritable condamnation à mort de ce peuple qui ne peut lutter avec les tronçonneuses, les engins, les armes à feu, les maladies inconnues jusqu'alors et la culture occidentale qui attire certains jeunes Indiens. Les massacres continuent.

Derrière le personnage de Paliki, David Hennebelle rend hommage à l'immense travail de Claudia Andujar, elle aussi photographe et activiste. Pour entrer en contact avec les Yanomami, ces derniers ne possédant pas d'écriture, elle les a fait dessiner. de cette façon, ils lui ont raconté leur quotidien, les rituels chamaniques, leur rapport à l'environnement, etc.
On retrouve dans le roman certaines de ses photos célèbres, comme, entre autres, le visage d'un enfant à fleur d'eau et les portraits en pied des Yanomami, avec pour seule identification, non pas un nom ou un surnom, mais un chiffre, fait exceptionnel qu'ils aient accepté de poser, car contraire à leurs croyances. Ces photos ont fait l'objet de nombreux reportages dans des magazines internationaux et d'expositions.

J'ai particulièrement apprécié les passages en pirogue sur le fleuve entouré de la puissante forêt, la relation avec les Yanomamis et la nature. Détails précis, ambiance vécue, ressenti des éléments. Par contre, j'ai trouvé que le calendrier avançait trop vite dans la deuxième moitié, ce qui enlevait la notion de roman pour se transformer un peu en compte-rendu.
N'est reste pas moins le besoin de dénoncer par cette voix supplémentaire cette catastrophe humaine et écologique mise en oeuvre au nom du profit.

Je tiens à rendre hommage à Ropni Metyktire, né vers 1932 au Brésil, grand chef du peuple kayapo. Figure mondiale de la lutte pour la préservation de la forêt amazonienne et de la culture indigène, il a traversé mers et océans pour tenter de combattre ce qui semble aujourd'hui irréversible.

Lien : https://elansud.com/auteurs/..
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
– Croyez-vous possible de regagner la confiance de ceux que l’on a trahis? lui demanda Paliki.
– On peut l'espérer, lui répondit-il. Il en va de la photographie comme de la musique. Ils ont aimé Mozart mais se méfiaient des appareils qui le faisaient entendre.
Prendre l’image des hommes signifiait aussi retenir celle des esprits, les empêchant de cheminer librement, pour venir à leur rencontre. En ces photographies, les Yanomami craignaient de voir l'âme des morts à tout jamais emprisonnée.
Les explorateurs l'avaient ignoré. Paliki ne se le pardonnait pas. Elle pleurait. Elle revoyait l'éclat de ses flashs: ils avaient désordonné l'univers tout entier, sa merveilleuse immobilité. Elle pensait qu’il n’y aurait plus d’abandon: celui, heureux, que les siècles avaient préservé. p. 34
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(Les premières pages du livre)
Les Yanomami sont des semi-nomades, chasseurs-collecteurs et agriculteurs sur brûlis, vivant en communautés dispersées, dans la forêt tropicale humide d'Amérique du Sud. Le territoire qu’ils occupent depuis mille ans s'étend entre le Venezuela et le Brésil, de part et d'autre de la sierra Parima, la chaîne de montagnes qui sépare le bassin de l'Orénoque, au nord, de celui de l'Amazone au sud. La forêt englobe tout ce qui est nécessaire à leur existence; elle abrite les esprits et les rites, elle est le théâtre luxuriant de leurs rêves. Les «Blancs» se sont introduits sur la terre des Yanomami dans les premières décennies du XXe siècle.

La traversée
La vie de Paliki avait commencé par les abandons soudains, les peurs infernales. L'année 1962, elle avait fait l'acquisition d’un boîtier photographique. Elle cherchait un moyen de se relier aux autres. Sa vie s'écoulait lentement, rongée par une solitude invariable. Rien, n'avait réussi à l'en arracher. Elle n'en parlait à personne et personne ne s'en souciait.
Seule, elle parcourut le Pérou, la Colombie, le Brésil surtout. On lui confia des reportages; des rédacteurs de magazines en vogue retenaient ses clichés. D’autres prenaient congé d'elle en peu de mots, arguant de la faiblesse irrémédiable de son sexe. Elle photographiait des familles de pêcheurs, des planteurs de café, des prostituées et des homosexuels rejetés des mégapoles, des paysans désespérés du Nordeste, honteux de leur misère.
Le magazine Realidade avait commandé un reportage long et coûteux, dans l’État de Pará.
Elle rencontra les Indiens Kayapo. Elle aima leur joie pure. Elle ne savait pas leur langue: elle usa de sourires. Elle apprenait dans les regards. Elle fit d’eux des portraits doux et insouciants qui s'étalaient en pleine page, en quadrichromie.
Les nuits, elle rêvait à des projets de longue haleine pour documenter et comprendre leurs cérémoniaux. Un ethnologue brésilien lui avait parlé d’une expédition qui se montait pour traverser la sierra Parima depuis le Venezuela.
Elle obtint d'y participer. Tout devenait possible pour son art. Elle se sentait poussée à s'y aventurer, à ne jamais prendre de repos avec lui.
Elle était jeune encore. Il fallait oublier.
Elle découvrait que le hasard et la photographie pouvaient disposer du cours entier d'une existence.
Dans les derniers jours de mars 1969, elle partit loin au nord.
Dans le bassin du fleuve Orénoque.

Les pirogues se trouvèrent lancées au milieu du fleuve. Un dédale d’îlots les dissémina; le courant était fort. Des Indiens grands et musculeux se relevèrent, enfonçant profondément dans les flots de longues perches de bois clair. Le signal du départ avait été donné sous une timide éclaircie. Les nuages étaient chassés au loin. Ils allaient s'empiler en tas sombres, au pied de la Cordillère orientale.
Les jours d'avant, Puerto Ayacucho avait bruissé de conversations intriguées, de fébriles préparatifs.
La pluie battait les lourdes caisses de matériel et de pacotille. L'excitation grandissait. Un attroupement s'était formé sur la berge. Dans l’eau, des enfants riaient, tout en nageant contre le courant. Ils étaient nombreux; ils voulaient voir et comprendre. Après les provisions de café, de riz et de viande séchée, on avait embarqué les moustiquaires et les hamacs, le grand fût d'essence, un groupe électrogène. Paliki avait profité de ces journées d'attente pour lire d'anciens récits d'exploration.
La sierra Parima fascinait mais son évocation n'était jamais empreinte de quiétude. Sur ses sommets, les conquistadors de jadis y avaient situé la mythique cité d’Eldorado. Dans les causeries du soir, on dépeignait des forêts inextricables, des pluies insensées, les fleuves emportés en chutes vertigineuses. Chacun se demandait avec anxiété comment il échapperait au venin des animaux, aux tribus inhumaines.
Les pirogues étaient comme des balançoires. Des vagues noires se dressaient, puis déferlaient à contre-courant. On pagaya énergiquement pour éviter de grands tourbillons. Au loin, on entrevit une barrière d’écume d’un blanc aveuglant: un seuil rocheux empêchait le passage. Il fallait débarquer. Le portage se fit sous une lourde averse, puis la navigation reprit devant une grande île. Une brume humide l'enveloppait de reflets argentés. L'eau redevint profonde et calme; le courant ne se voyait plus. Le silence se fit.
Déjà, le fleuve commençait à s’élargir. Dans son téléobjectif, Paliki observait les rares fondations qui étaient posées sur les rives herbeuses: quelques fragiles cases de chaume et de pisé. Leurs habitants en semblaient partis. Dans la lumière irisée du matin, elle voyait seulement paraître la robe blanche d’une chèvre ou l'encolure d’un cheval.
La végétation se serra et s’éleva. De temps à autre, le cri d’un singe hurleur retentissait. La forêt ne forma bientôt plus que l’unique paysage. Les pirogues longeaient de petites îles toutes rondes, d’un vert impénétrable et bleuté.
La lumière baissa: il restait une heure avant la nuit. On installa le bivouac sur une plage boueuse. Des tortues couleur de terre s’y tenaient. La lampe à huile et le feu qu'on alluma attirèrent immédiatement une myriade de papillons blancs et bleus. Chacun s’allongea dans son hamac, laissant le temps au cuisinier de confectionner le repas. On oublia le fleuve pour ne plus songer qu'à la forêt qui les enveloppait de ses frôlements étranges. Ils mangèrent du riz déposé sur des feuilles de bananier. Le chef d’expédition était enthousiaste. Il narrait d'anciennes aventures. Il exagérait mais Paliki l'écoutait, le sourire aux lèvres. Elle se trouvait faite pour une vie aventureuse.
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Paliki ne croyait pas à un quelconque dieu, seulement à la force d'esprit des hommes.
Elle n'avait recueilli que des bribes de cette mythologie. Un matin de pluie, elle échangea un moment avec le jeune chaman qui parlait portugais.
- Comment allez-vous? demanda-t-elle.
- Vous le voyez comment je vais.
Le visage de Paliki s'empourpra. Le chaman comprit son embarras. Il dit:
- Les Yanomami ne posent jamais cette question. Ils se saluent en demandant: à quoi rêves-tu? C'est le plus important.
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Vidéo de David Hennebelle
Retour en vidéo sur la présentation des coups de coeur de nos libraires pour la rentrée littéraire 2018 !
Merci aux 50+ les participants de notre première rentrée littéraire. Retrouvez la liste des livres présentées sure notre site : https://www.librairiemartelle.com/239-a-la-une-presentation-rentree-litteraire.html
Fabien présente « Frère d?âme » DAVID DIOP - ÉDITIONS SEUIL https://www.librairiemartelle.com/98022-litterature-francaise-grand-format-frere-d-ame.html
Fabien présente « Et j'abattrai l'arrogance des tyrans » ABDECKER MARIE-FLEUR - ÉDITIONS FORGES VULCAIN https://www.librairiemartelle.com/99950-romans-historiques-et-j-abattrai-l-arrogance-des-tyrans.html
Alice présente « En nous beaucoup d'hommes respirent » MARIE-AUDE MURAIL - ÉDITIONS ICONOCLASTE https://www.librairiemartelle.com/101058-litterature-francaise-grand-format-en-nous-beaucoup-d-hommes-respirent.html
Alice présente « Arlo Finch » JOHN AUGUST - ÉDITIONS MILAN https://www.librairiemartelle.com/103929-romans-11-et-plus-arlo-finch--tome-01---le-mystere-des-longs-bois.html
Sophie présente « Le malheur du bas » INES BAYARD - ÉDITIONS ALBIN MICHEL https://www.librairiemartelle.com/99441-litterature-francaise-grand-format-le-malheur-du-bas.html
Sophie présente « Trancher »   AMÉLIE CORDONNIER - ÉDITIONS FLAMMARION https://www.librairiemartelle.com/100691-litterature-francaise-grand-format-litterature-francaise---trancher.html
Pierrick présente « Les enfants de coeur » HEATHER O'NEILL - ÉDITIONS SEUIL https://www.librairiemartelle.com/98019-litterature-etrangere-grand-format-les-enfants-de-coeur.html
Pierrick présente « La vraie vie » DIEUDONNE ADELINE - ÉDITIONS ICONOCLASTE https://www.librairiemartelle.com/101059-litterature-francaise-grand-format-la-vraie-vie.html
Pierrick présente « Trois fois la fin du monde » SOPHIE DIVRY - ÉDITIONS NOIR BLANC https://www.librairiemartelle.com/100106-litterature-francaise-grand-format-trois-fois-la-fin-du-monde.html
Pierrick présente « Le mur invisible » MARLEN HAUSHOFER - ÉDITIONS ACTES SUD https://www.librairiemartelle.com/52870-litterature--etrangere-format-poche-le-mur-invisible-babel-44.html
Clémentine présente « Le manuel de survie à l'usage des jeunes filles » MICK KITSON - ÉDITIONS MÉTAILLÉ https://www.librairiemartelle.com/101280-litterature-etrangere-grand-format-manuel-de-survie-a-l-usage-des-jeunes-filles.html
Clémentine présente « Dans la forêt » HEGLAND JEAN - ÉDITIONS GALLMEISTER https://www.librairiemartelle.com/35864-litterature-etrangere-grand-format-dans-la-foret.html
Clémentine présente « My absolute darling » TALLENT GABRIEL - ÉDITIONS GALLMEISTER https://www.librairiemartelle.com/70704-litterature-etrangere-grand-format-my-absolute-darling.html
Clémentine présente « Lèvres de pierre » NANCY HUSTON - ÉDITIONS ACTES SUD https://www.librairiemartelle.com/99056-litterature-francaise-grand-format-levres-de-pierre---nouvelles-classes-de-litterature.html
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