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Les maîtresses du temps tome 1 sur 5
EAN : 9782370720023
408 pages
(21/03/2014)
3.75/5   26 notes
Résumé :
Paris, 1698. Fille de bourgeois, insolente et garçon manqué, Suzon est placée à huit ans au couvent des Ursulines de Saint-Denis. Dans cette prison, elle se lie d'amitié avec Ederna, jeune aristocrate de Saint-Malo, qui lui raconte mille histoires de corsaires bravant la mer pour le Royaume. Rendue à sa famille à dix-sept ans, Suzon, toujours aussi rebelle, tombe éperdument amoureuse d'Antoine Carreau, chevalier de Léré.
Mais un duel lui arrache son mari, la... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (11) Voir plus Ajouter une critique
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Ce récit d'aventures formidable a tenu ma curiosité, ma soif de surprises, de rebondissements, de messages cachés, d'Histoire, de corsaires, de pirates et de navigation en haleine tout au long de ma lecture. Tous les éléments pour un roman parfait selon moi étaient ici réunis.
Des thèmes tels que la place des femmes au XVIII ème siècle, la littérature et l'écriture, la bourgeoisie, l'importance de la religion à cette époque, la vie en mer et bien d'autres encore contribuent fortement à la richesse de cette oeuvre.

La plume de l'auteure et notamment la narration des dialogues par cette dernière sont magnifiques. L'auteure s'approprie avec virtuosité le langage soutenu et poétique du contexte historique du récit de sorte que le lecteur est happé par l'écriture et tout de suite immergé dans les aventures faramineuses des personnages.

Ces derniers sont tout simplement incroyables et bien "travaillés". Ils ne sont pas présents par pur hasard. Chacun à un rôle précis et ils nous surprennent tous à un moment ou un autre. Chacun va être amené à participer (inconsciemment ou pas) aux péripéties du personnage principal; Suzanne.
Cette dernière a une force de caractère hors du commun. Elle rêve d'aventure et de découvertes et malgré les difficultés qu'elle rencontre dès son plus jeune âge, elle poursuit sa quête de liberté et d'épanouissement; même si elle soit faire des sacrifices pour parvenir à sa quête. Elle a le courage de se travestir et d'emprunter des noms qui ne sont pas les siens tout en sachant que cela la met en danger. C'est un personnage modèle selon moi; représentatif de la liberté et de la conquête des rêves.
Les personnages semblent d'autant plus réels qu'ils présentent de nombreux défauts physiques et de personnalité. Ils ne sont pas stéréotypés et ajoutent ainsi une touche d'originalité au récit.

J'aime beaucoup le projet de l'auteure qui consiste à créer une série de six romans, chacun mettant en scène un personnage féminin ayant une parenté avec les personnages principaux des romans précédents, le tout dans un cadre historique différent à chaque fois. Cela permet selon moi de découvrir les mentalités des différentes époques de l'Histoire avec pour point de vue celui d'une femme avec des ambitions, des préférences, des rêves, une personnalité et une apparence physique hétéroclites entre chaque tome.

Ce récit aborde avec beaucoup de justesse les sujets de l'esclavage, de la condition féminine ou encore de la colonisation et tout ce qu'elle engendre. L'auteur fait par conséquent référence à des personnages représentatifs tels que Montesquieu, Voltaire, Louis XIV ou Louis XV. J'ai adoré tout ceci car cela accorde au lecteur le plaisir de prendre conscience de certaines réalités de cette époque.

J'ai adoré les passages où le personnage principal se trouve en mer ou dans des contrées inconnues. Elle tisse des liens avec des personnages parfois mal intégrés dans leur société et qui sont très attachants.

Ce récit est une sublime découverte qui m'a fait voyagé. Elle est très enrichissante et les sujets abordés sont passionnants.

Il est très difficile de parler d'une oeuvre que nous avons adoré car nous souhaitons transmettre tout ce qui nous a plus dans cette dernière. Pourtant, nous avons l'impression de partager un moment presque intime que nous seuls avons vécus avec le récit et le dévoiler est comme ouvrir un cocon de bonheur pour en faire profiter les autres. C'est comme si nous, lecteurs, étions un peu égoïstes et voulions garder tout le plaisir qu'a pu nous procurer une lecture. Chacune se répercute bien évidemment de façon différente chez chacun; c'est ce qui en fait sa magie.
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Suzon est une fille pleine de vie, qui préfère jouer avec les garçons de son quartier de Paris plutôt que de se comporter comme une fille, pour le plus grand malheur de son père.
Ce dernier décide alors de l'envoyer au couvent des Ursulines en espérant que les bonnes soeurs arriveront à en faire une jeune fille convenable pour le XVIIIe siècle.
Là bas, elle fait la rencontre d'Ederna, une aristocrate de Saint-Malo qui lui raconte des histoires de corsaires et surtout lui décrit toute la beauté de la mer, faisant naître dans le coeur de la jeune parisienne une passion.
De retour à Paris, elle tombe amoureuse d'Antoine Carreau de Léré, un chevalier et décide de l'épouser.
Malheureusement, peu de temps après le mariage, il meurt après un duel.
Suzon décide de partir à St Malo pour retrouver son amie d'autrefois.
Son désir de prendre la mer et de découvrir le monde se réveille alors et elle prend la décision de se travestir en homme pour armer une frégate.

En commençant ma lecture, je me suis fait la réflexion que la première critique que je formulerai serait sur la quatrième de couverture qui dit à peu de chose prêt ce que je viens d'énoncer plus haut.
C'est bien ce texte qui m'a donné envie de choisir ce livre lors de la dernière masse critique mais je le trouvais trop explicite sur les événements. Finalement, cela ne décrit que les 50 premières pages du livre et ne nous permet pas, heureusement, d'appréhender le reste des aventures de Suzon mais j'aurai préféré garder la surprise de la mort du mari de l'héroïne.

Le livre commence donc sur la jeunesse de Suzon, ses années au couvent et sa rencontre du Chevalier.
Pendant tous ce temps, Suzon ouvre rarement la bouche pour faire naître des dialogues et ainsi la rendre "vivante".
Elle s'exprime un peu plus au cours du récit mais j'ai envie de dire que le mal est déjà fait.

Il m'a été difficile de m'attacher à ce personnage qui ne semble pas "réaliste".
Suzon m'a semblé plus comme un concept que comme un être humain. Elle incarne la femme qui ne se soumet pas au destin qu'on réserve généralement à son sexe.
Elle ressent parfois des émotions, pense, émet des idées et les exprime parfois aussi. Pourtant, elle me semble manquer du "souffle de vie du créateur".

La narration de l'auteure est donc très présente, nous relatant les événements au détriment de dialogues et de descriptions.
Cette manière de présenter les choses m'a fait penser à un conte ou à une épopée.
On pourrait même penser que c'est bien ce que voulait Louise Bachellerie car elle fait souvent allusion à l'Odysée que Suzon lit lors de son premier voyage en mer.

De plus la vie de Suzon prend une tournure qui tendrait à cette idée.
Il lui arrive pleins d'aventures qui semblent parfois même irréelles.
Pourtant, elle s'en sort toujours grâce à des hasards qui font bien les choses.

Autres éléments qui ne font pas très réalistes :
Malgré son sexe mais grâce à son travestissement et sa "bonne étoile" elle devient sans trop de difficulté lieutenant sur un bateau, écrivain de bord puis écrivain à succès.
Elle rencontre des hommes très compréhensifs concernant son goût pour se transformer en homme.
En même temps, la plupart des hommes qui la rencontrent tombent amoureux d'elle.
En plus d'être incroyable, ce dernier élément était un peu trop "eau de rose" pour moi.

En commençant la lecture de Suzon, je m'attendais au difficulté d'une femme du XVIIIe siècle à vivre sa vie comme elle l'entendait et c'est cela qui m'avait poussé à choisir ce livre.
Or j'y ai trouvé un livre pleins d'aventures plus rocambolesques les unes que les autres.
Ma lecture a été malgré tout agréable, l'auteure étant une bonne narratrice et nous donne beaucoup d'informations sur le monde à cette époque.
De plus, les aventures de Suzon m'ont donné envie de continuer ma lecture.
Seulement, je regrette de ne pas avoir trouvé ce que je cherchais et de ne pas avoir pu découvrir une femme révolutionnaire plus marquante.
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Je ne suis pas une grande amatrice de romans historiques. J'ai choisi celui-ci lors de la dernière opération Masse Critique (Merci Babelio!) pensant découvrir l'histoire d'une femme du XVIIIe siècle et de ses difficultés à exister en tant que telle à cette époque.
Un mot d'abord sur l'édition: magnifique! C'est un livre grand format à la couverture en papier "gommé" (comprendra qui pourra, veuillez m'en excuser), le papier est agréable au toucher. C'est un joli travail des éditions Delpierre. le style de Louise Bachellerie est agréable à lire, sans lourdeurs dans les descriptions, je regretterai seulement une certaine raideur dans les dialogues.
Concernant l'histoire, j'avoue avoir été quelque peu déçue. Je pense que c'est en grande partie à cause de la quatrième de couverture: je m'attendais en effet à une histoire de femme battante, désirant plus que tout briser les règles d'une société qui ne la laissait pas "vivre librement".
Suzon ne naît pas sous une bonne étoile. Elle veut être un garçon, elle a soif de liberté, ne se laisse pas faire et désire s'affranchir de ce carcan réservé aux femmes. Sa famille est horrible, elle passe son enfance dans un couvent… Seulement, je n'ai pas réussi à m'attacher à ce personnage, qui m'a laissé une impression de "stéréotype". Elle est belle, une beauté sauvage qui renverse le coeur de tous les hommes qu'elle croise, elle a du répondant, elle se travestie en homme afin de pouvoir vivre ses rêves. Mais dans bien des passages, c'est la chance qui joue en sa faveur en la sortant de mauvaises situations et non son courage, son tempérament ou son répondant. Suzon est parfois un personnage un peu passif assez éloigné de la femme décrite dans le résumé.
Je ne sais pas quoi dire pour terminer cette critique, à part insister sur le fait que je m'attendais à une fresque haute en couleur d'une femme prise dans une lutte pour la reconnaissance de son sexe… j'ai finalement découvert l'histoire (rocambolesque) d'une femme sur un fond historique qui finalement n'a pas énormément d'impact.
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J'ai beaucoup aimé le style de l'auteur qui emploie dans son récit les tournures de phrases que l'on pouvait trouver chez les auteurs du XVIIIème siècle. Cela nous permet de plonger encore plus dans l'histoire de Suzon car on a l'impression que l'histoire a été racontée par l'un de ses contemporains.
Dès le début de l'histoire, on apprend deux choses sur Suzon : son père lui reproche de n'être qu'une fille et c'est une forte tête.
Rebelle, garçon manqué, insolente, rien, ni les punitions, ni les brimades ne semblent pouvoir la faire plier. Expédiée au couvent sur les instances de sa belle-mère, les religieuses n'ont pas plus succès que le patriarche sur le caractère de la gamine.
C'est au couvent que Suzon va rencontrer Ederna qui a été mon personnage préféré du roman. Posée et plus conventionnelle que son amie, Ederna a aussi son petit caractère mais sait où est le devoir qu'elle doit à son rang et s'est résignée à faire un mariage dépourvu d'amour. Tout au long des aventures de Suzon, elle sera un peu son point d'ancrage. Sa maison, son époux, son frère, ses enfants, sont le cocon dans lequel Suzon se sent en sécurité et là où elle retourne à chaque fois qu'elle est confrontée à quelque chose de trop difficile. Ederna ne lui reproche jamais rien, ou quand elle le fait, c'est à demi-mot, avec douceur et sans jugement. J'ai vraiment beaucoup aimé ce personnage et sa famille. Plus que Suzon que j'ai souvent trouvé inconséquente avec sa façon d'agir avant de réfléchir et de prendre des décisions en dépit du bon sens.
Au début, Suzon ne se travestit en homme que pour pouvoir voyager en sécurité, le temps de rejoindre Ederna. le travestissement peut la conduire en prison et, si on peut comprendre qu'elle n'ait pas osé prendre la route avec des biens précieux en tant que femme, on se serait attendu à ce qu'elle ne tente pas le sort en recommençant.
Mais non, à peine arrivée à Saint-Malo, Suzon est prise par l'appel du large et, toujours sous sa fausse identité masculine, elle affrète un bateau pour aller jouer au corsaire, risquant ainsi sa propre vie (une femme s'embarquant comme homme sur un bateau risquait la peine de mort) et celle de son entourage (tout homme sur un bateau soupçonné d'avoir eu connaissance de la nature féminine d'un « matelot » est condamné à être pendu).
A travers les péripéties de Suzon, on découvre la vie en mer. La dureté des capitaines, la dureté impitoyable des éléments et des hommes : quand on ne meurt pas empoisonné par de la viande avarié ou durant une tempête, on a toutes les chances d'être frappé par une punition injuste dont l'issue est souvent la mort.
A côté de la vie en mer, on a un aperçu des débuts du règne de Louis XV, du commencement de la traite des nègres, à laquelle s'opposent déjà les philosophes, les salons parisiens, la piraterie…
Le roman se lit assez vite, même si la lecture est quelque peu ralentie par l'abondance de détails historiques qu'il faut le temps d'assimiler.
J'ai eu peur à plusieurs reprises, non seulement pour Suzon mais aussi et surtout pour son entourage qui n'est pas épargné.
La fin du roman prépare le suivant qui sera consacré à la génération suivante en la personne de Louise, la fille de Suzon.
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J'ai lu ce livre il y a 3 semaines maintenant, mais n'ayant en ce moment pas beaucoup de goût pour chroniquer, voilà seulement que je m'attelle à la rédaction de mon ressenti de lecture... Ce roman s'inscrit dans la pure tradition du roman d'aventures du XIXème siècle, il m'a d'ailleurs fait penser à ceux de Dumas, pleins de fracas et de péripéties rocambolesques, avec son lot de personnages archétypaux et ici une héroïne en quête éperdue de liberté et de fortune !

le monde est vu à travers les yeux de Suzon et ses arrêts intolérants mais jubilatoires, ce qui donne des passages comiques truculents. Au couvent, la jeune fille se lie d'amitié avec Ederna, qui possède le même trait de caractère insolent et rebelle mais que la jeune Malouine perdra à l'âge adulte tandis que Suzon optera pour une vie aventureuse défiant les conventions sociales de l'époque. L'auteure nous entraîne dans une suite ininterrompue d'aventures et nous fait voyager non seulement à travers la France mais également à travers les océans car Suzon embrasse à un moment une carrière de corsaire. le rythme est enlevé, trépidant, les dialogues savoureux (et fleurant bon le langage du XVIIIè siècle), si bien que l'on se sent complètement immergé dans ce récit plein de fièvre, de violence, de batailles navales et de rebondissements. L'auteure obéit aux codes du genre, et bien que d'ordinaire je sois rebutée par les facilités narratives et leur lot d'invraisemblances, ici cela ne m'a pas du tout gênée car elles étaient bien intégrées à l'histoire, et je les voyais plus comme un hommage aux romans de cape et d'épée que comme une maladresse.

L'auteure nous brosse toute une galerie de personnages, dont certains hauts-en-couleur : Suzanne Truchot, l'héroïne, véritable garçon manqué ne rêvant que d'aventures et se battant comme un homme ; Martine, sa nourrice dévouée ; le gueux Rantille, devenu mouche de la police (entendez espion) ; Ederna et son frère Elouan de Bonaban de la Gouesnière, amoureux malheureux mais bienveillant ; le chevalier Antoine Carreau de Léré, cadet de noblesse, poète et joueur ; l'arrogant et charismatique capitaine Thomas Raquidel de Kerguistin ; l'étrange gabier Claude le Cam, ne dédaignant pas quelques activités de pirate ; Hamard de la Planche, chirurgien éclairé et ami loyal ; Kimba, la touchante et fière esclave...

Rantille est le personnage qui m'a le plus touchée : apparaissant de prime abord comme l'ennemi de Suzon, on finit par deviner que son comportement est en fait motivé par l'amour profond qu'il lui porte... J'aurais d'ailleurs aimé que l'auteure s'attarde un peu plus sur ce personnage...

Pour conclure, un livre digne des romans populaires du XIXème siècle : le lecteur se sent embarqué dans le tourbillon des aventures vécues par l'héroïne. L'auteure nous promène allègrement dans les rues populaires du Paris du début du XVIIIè siècle, nous faisant côtoyer toutes les couches de la société, que ce soit dans une boutique bourgeoise, dans un couvent prisé par la noblesse, les maisons de jeux, les tavernes malouines ou le pont des navires corsaires du roi... J'ai souvent tremblé pour l'héroïne même si j'ai trouvé certains rebondissements un peu trop faciles. La lecture passe très rapidement et agréablement et je lirai sans aucun doute la destinée des descendantes de cette Suzon si indépendante et si déterminée !
Lien : http://parthenia01.eklablog...
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
-- Ce rustre aurait pu vous broyer les os si vous n'aviez été si agile...
-- Il me semble, monsieur, que je n'ai pas l'honneur de vous connaître, répliqua la jeune fille, se souvenant des leçons des Ursulines qui lui avaient appris aussi comment répondre aux compliments des inconnus.
-- Si fait, mademoiselle, et croyez que je le regrette ! Antoine Carreau, chevalier de Léré, pour vous servir...
-- Je n'ai point pour habitude, monsieur de faire la conversation au milieu de la chaussée !
-- Ne goûtez-vous point le plaisir d'échanger quelques mots avec qui ne demande qu'à entendre encore un peu votre voix ?
-- Je le pourrais goûter si je ne craignais de passer pour une catin !
-- Une catin ! Comme vous y aller ! Si vous étiez ce que vous dites, vous seriez, à l'heure qu'il est, dans la ruelle de monseigneur le Régent ! Et je vois bien à votre air angélique que vous êtes tout ce qu'il y a de convenable. N'êtes-vous point la fille du brave sieur Truchot qui tient commerce d'étoffes au fond de la rue ?
-- Je le suis, en effet.
-- Pour être sincère, je dois avouer que ma curiosité a été piquée dès le premier regard que j'ai posé sur vous. Et il m'avait semblé que le vôtre ne m'avait as toujours dédaigné...
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Quand la nature et un esprit pervers s'accordent pour tromper le monde, il n'est point de farce qu'on ne pût imaginer et il faut se garder de considérer une créature pour ce qu'elle prétend être...
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De par le roi, défense à Dieu de faire miracle en ce lieu.
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