Chez Cagnard, ça commence toujours de manière très simple et très pragmatique pour finir en délire surréaliste .En gros, un fils retourne chez sa mère planter sa tente dans le jardin. Pour faire quoi ? de l'art ? le père est absent mais il est contre. de joute verbale en dispersion de produits toxiques, la machine théâtro-marionnettique se met en branle. Les corps se démembrent, le fils brûle. le frère du fils devient un chien. le propos politique de délocalisation et d'anti-bio ressurgit par notes poétiques. le délire finale retourne à la terre. Et après ? Advienne que pourrave...
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Soirée lecture et rencontre avec Jean Cagnard et Catherine Vasseur, artistes associés de a Compagnie 1057 Roses, pour la sortie du roman de Jean Cagnard, Plancher Japonais paru aux éditions Gaïa.