Précair perd son travail et un bras tombe. Il faut deux mains pour être boulanger. Précair perd ses jambes quand sa femme le quitte. Puis Précair perd la tête, se déshumanise et semble être devenu un vrai chien. Parabole loufoque et métaphorique sur la société du travail, avec ses ‘gentils monsieurs' qui aident mais pas vraiment. Ce qui avait pris les allures d'une fable bien campée, bien séquencée, malgré l'absurde des situations, sombre dans un grand foutoir sans queue ni tête, un trou noir en quelque sorte.
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Voilà, les deux hommes se serrent la main, toutes les mains, et partent chacun de leur côté, vers ce qui est écrit. C'est beau.
C'est de l'art, ça ne mord pas.
Soirée lecture et rencontre avec Jean Cagnard et Catherine Vasseur, artistes associés de a Compagnie 1057 Roses, pour la sortie du roman de Jean Cagnard, Plancher Japonais paru aux éditions Gaïa.