Je suis perplexe avec cet ultime volume. Les dessins sont toujours aussi sublimes, le monde des auteures est incroyable et leur imagination débordante. C'est ce que j'ai le plus apprécié dans l'ensemble de la série. La quête en elle-même fut moins palpitante, je pense que 3 tomes auraient suffit avec une accélération des événements. Dans ce tome, il y a beaucoup de parties muettes qui laissent les lecteurs imaginer les dialogues et les faits qui suivent le dénouement dans le froid. C'était sympa et malheureusement ça ne me marquera pas forcément...
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Ce quatrième et dernier tome conclut en beauté la série dédiée à "Olive", personnage atypique, drôle et tendre. le moins qu'on puisse dire est que ce tome est émotionnellement intense. On découvre enfin le sort des astronautes disparus et cela conduit à des scènes difficiles... Certaines scènes m'ont beaucoup émue. de manière générale, j'ai tout aimé dans cette BD, qu'il s'agisse de l'intrigue, des personnages, des dessins, de l'émotion transmise. Une série à découvrir absolument !
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Avec ce tome, on arrive au terme de l'aventure de notre jeune héroïne Olive. Sa colocataire Charlie lui vient en aide. On découvre alors l'ingéniosité de la jeune fille pour retrouver la trace d'Olive et la rejoindre. La situation prête à sourire et la ténacité des deux filles est palpable.
C'est aussi l'occasion de découvrir ce qui est arrivé au groupe d'astronautes et plus particulièrement à Lenny. Son périple au milieu de la neige et de la glace est remarquable. le mystère de sa disparition est levé mais il subsiste un côté fantastique dans le lien qui unit Olive et Lenny.
Le scénario est original et bien construit. Il y a beaucoup d'émotions. Les illustrations sont en parfaite adéquation avec le texte. C'est très beau. Les détails sont nombreux et les personnages très travaillés, notamment leurs expressions. Les couleurs sont superbes. C'est très harmonieux et un vrai plaisir pour les yeux.
Une conclusion réussie pour cette série à ne pas manquer.
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Clap de fin avec ce quatrième tome pour cette cette série. Charlie, sa colocataire, fera tout pour rejoindre Olive. Quant à Lenny, nous le suivons dans son périple au milieu de la neige et de la glace et comprenons le mystère de sa disparition. Toutes les questions trouvent une réponse donc et l'atmosphère est toujours aussi dépaysante et envoutante notamment grâce aux dessins et aux couleurs. Une série de très bonne qualité. #Olive #NetGalleyFrance
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Toujours pas.
Quatrième tome, j'arrive pas à adhérer à Olive, son monde intérieur partagé, ses pérégrinations dans l'Arctique les doigts dans le nez, vas-y que je voyage jusque là-bas et que je me promène dans le froid sans souci…
J'accroche pas aux personnages que je trouve un peu fades, aux dessins que je trouve un peu raide…
Je ne marche pas à l'histoire qui semble se dérouler logiquement mais qui pour moi est tellement improbable que je ne parviens à aucun moment à entrer dedans…
Bon, allez, c'est fini.
J'espère qu'Olive va aller mieux et arrêter de rêver…
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Poétique et superbe graphiquement, Olive se conclut en laissant le public sur la douce impression d'avoir vécu un voyage hallucinant et une aventure prenante et tendre. En quatre volumes les autrices ont réussi leur pari et ont fait de leur série une œuvre atypique à ressortir dès que l'envie d'évasion pointera le bout de son nez.
Lire la critique sur le site : BDGest
- On dirait toi ! Ça doit être des chamanes. Je les ai vus dans un guide. Ils communiquent avec des esprits dans des mondes invisibles... Un peu comme toi !
Caviar, poisson fumé, vodka…des gâteaux…ce garçon sait recevoir.
Dans le 170e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente le parcours de Missak Manouchian, récemment entré au Panthéon, à travers deux bandes dessinées sorties récemment chez Les Arènes BD et Dupuis. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec :
- La sortie de l’album Copenhague que l’on doit au duo Anne-Caroline Pandolfo et Terkel Rijsberg, publié aux éditions Dargaud
- La sortie de l’album Le champ des possibles que l’on doit au scénario de Véro Cazot, au dessin d’Anaïs Bernabé et c’est édité chez Dupuis
- La sortie de l’album L’homme miroir que l’on doit à Simon Lamouret et aux éditions Sarbacane
- La sortie de l’album The Velvet underground, dans l’effervescence de la Warhol factory que l’on doit à Koren Shadmi et aux éditions La boite à bulles
- La sortie de l’album Sept vies à vivre que l’on doit à Charles Masson et aux éditions Delcourt dans la collection Mirages
- La réédition de l’album Mauvaises herbes que l’on doit à Keum Suk Gendry-Kim et aux éditions Futuropolis
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