La couverture n'est pas des plus belles, mais elle est représentative du récit qu'elle contient. Au début, j'ai eu du mal avec le style de l'auteur. On suit Victor, ses pensées et ses actions. Il a beaucoup de connaissances et utilise parfois des tournures de phrases assez datées. J'ai bien vu que l'histoire se déroule de nos jours. Il y a pleins de petits détails qui peuvent laissé penser qu'on peut croiser Victor ou Camille dans la rue ou dans un bar. J'ai surtout aimé les références au monde de la bibliophilie et des salons qu'on peut trouver sur Paris. Je sens que l'auteur à dû travailler dur et rapidement pour créer ce roman. Dans la première partie du livre, j'ai trouvé qu'il y avait trop d'extraits des oeuvres d'auteurs dont il s'inspire pour faire des faux. Ce n'est pas le roman le plus passionnant de l'année, mais je me suis surprise à le lire rapidement. Enfin finir... non ! Car mon édition a un petit soucis. J'ai deux fois le passage de la page 129 à 160 et c'est sur ce petit problème qu'il s'arrête. Je n'ai donc pas la fin de l'histoire.
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Morceaux de satire, histoire d’amour, comédie, il y a de tout dans ce petit roman de Philippe Cohen-Grillet (Haut et court, au Dilettante, voici deux ans), foutraque et un peu bâclé sur les bords. L’humour n’est pas toujours léger [...], le rythme est parfois pataud ; il n’empêche qu’un charme se dégage de ce livre érudit et négligé.
Lire la critique sur le site : Chro
Philippe Cohen-Grillet présente "Usage de faux"
Victor Goupille est un faussaire, talentueux sinon génial. Pour se distraire et (bien) gagner sa vie, il façonne des lettres et manuscrits plus vrais que nature. Sous sa plume naissent des...