La plus grande détresse est celle où l'on voit souffrir et mourir l'être à qui nous liait l'amour, non pas l’amour "fou", mais cet amour qui est compréhension et connaissance de "l’individuum ineffabile". L’homme que la mort d’autrui voue à la solitude, découvre qu’en tant qu’homme, la solitude a toujours été son destin.
J'hésite, cependant, à me dire athée, car le mot "Dieu" a peu à peu perdu, pour moi, toute signification. Il me paraît sans objet, et je ne crois pas qu'il y ait lieu de nier ce qui n'est rien.