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De rouages et de sang tome 1 sur 2
EAN : 9782381670560
360 pages
Scrineo (17/03/2022)
4.03/5   92 notes
Résumé :
Plongez dans les bas-fonds d'Arkantras, où le danger se cache à chaque coin de rue...
Depuis quelque temps, une menace plane sur les bas quartiers d'Arkantras... Le bruit court qu'une créature avide de chair humaine enlèverait les enfants à la nuit tombée pour les dévorer. Que diable, Rowena, jeune orpheline passionnée de mécanique, se moque bien de ces histoires à dormir debout ! Jusqu'au jour où son ami, Œil-de-Pirate, disparaît lui aussi dans d'étranges ci... >Voir plus
Que lire après De rouages et de sang, tome 1 : Les disparus d'ArkantrasVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (70) Voir plus Ajouter une critique
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J'avoue, je suis faible, dès que l'on parle de steampunk, je craque. C'est peut-être mes côtés scientifique et imaginaire qui arrivent à se retrouver en un même « endroit » et du coup, je ne peux pas résister. Dans tous les cas, lorsque j'ai vu la couverture et lu le résumé de « de rouages et de sang », j'ai tout de suite voulu en savoir plus. En franchement, j'ai passé un bon moment avec Rowena et Eugène dans la ville d'Arkantras mystérieuse et surtout dangereuse.

De rouages et de sang commence par nous présenter nos deux héros. Rowena, jeune orpheline débrouillarde qui a un don pour la mécanique et qui vit dans les bas quartiers. Elle a pour seul compagnon un chat au joli nom de Monsieur Gratouille et un vieil homme bourru au passé plutôt nébuleux. Eugène, lui, est un jeune aristocrate déchu, idéaliste mais qui a beaucoup de mal à s'en sortir seul et qui n'a pas encore trouvé sa raison de vivre. Si Rowena est très mature du haut de ses treize ans, Eugène à dix-huit ans fait beaucoup plus enfant pleurnichard. Deux héros aux antipodes qui vont pourtant se retrouver confronter à une même histoire sanglante : la disparition mystérieuse d'enfants et de sans-abris des bas quartiers.

Du moment où les disparitions entrent en jeu, et que nous avons plus ou moins cerné nos deux héros, les choses se précipitent et deviennent de plus en plus glaçante. Difficile de quitter le roman car on a envie de découvrir la vérité, et surtout le danger qui pèse sur Rowena et Eugène plonge le lecteur en apnée. Quelques indices nous laissent présagés un complot assez horrifique… La société d'Arkantras ne nous permet pas d'imaginer autre chose de toute façon. Un monde d'inégalités, où les riches et la police ont tous les droits tandis que les pauvres soumis à des règles strictes qui les oppressent ne font que survivre. Si vous cherchez un peu de gaieté… passez votre chemin.

La mécanique par le biais du steampunk nous offre cependant cette petite échappatoire fascinante. Outre les machines du quotidien, on y voit aussi la magie d'un membre mécanique et l'émerveillement de Rowena devant les prouesses de technologies qu'elle découvre. de rouages et de sang se veut autant critique vis-à-vis de la science qui dans ses dérives broie l'incroyable, et de la société toujours du côté des plus riches ou des plus puissants. Ne vous fiez pas à l'âge de Rowena, le roman n'a rien de tendre ou de jeunesse. D'ailleurs la jeune fille a grandi beaucoup trop vite pour encore être considérée comme une enfant. Et pour ma part, même si j'aurais préféré qu'elle ne subisse pas tout cela, j'ai trouvé l'histoire plus intéressante avec tous ces éléments mis en avant.

Là, où malheureusement, j'ai eu un peu plus de mal, c'est avec Eugène. Il arrive à évoluer au fil du tome, mais il n'était pas vraiment sympathique jusqu'à la toute fin (et encore). Plein de préjugés, un peu chiffe molle, à pourtant dix-huit, et ayant décidé de mettre un grand coup de pied dans la fourmilière qu'est l'aristocratie, je m'attendais à autre chose. Je n'ai pas non plus compris pourquoi l'auteur a décidé d'être « ombrageuse » avec la famille du héros. Il y a des non-dits qui au final, quand on découvre la vérité, ont quelque chose d'assez malsain, et qui n'apporte rien pour moi. Difficile de cerner le personnage, qui au contraire de Rowena, est plus un « outil » pour le roman plutôt qu'un vrai protagoniste.

Le premier tome de de rouages et de sang est très prometteur. Abordant des sujets sérieux et mettant en scène des héros peu ordinaires, on y retrouve de l'action, des frissons et une critique de la société et de la science. Un roman contemporain surprenant et bien plus adulte qu'il n'y parait.
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Rowena est orpheline. Elle a été formée pour devenir une mécanicienne, dans le but de réparer des aéronefs volés. Mais son tuteur a été tué. Elle se retrouve donc à survivre seule dans les rues d'Arkantras, accompagnée de Monsieur Gratouille, son chat avec une patte mécanique et de drôle de lunettes d'aviateur. Elle vole ainsi des pièces d'aéronefs pour les revendre.

Eugène Bassompière est journaliste. Son dernier article a fait la une du journal pour lequel il travaille. Toutefois, Eugène vit dans les bas quartiers d'Arkantras, malgré ses origines aisées. Un sujet va lui être confié par son chef, enquêter sur les disparitions d'enfants dans le quartier industriel.

Nous avons affaire à une petite fille vaillante, qui fait tout pour survivre dans le quartier industriel, où elle vit seule avec son chat et sans foyer. Son seul contact régulier est un vieil homme borgne et balafré, a qui elle procure des pièces pour assembler des automates.

Puis nous avons Eugène, fils de bonne famille dont le destin semble avoir basculé. Celui-ci se retrouve à vivre dans ce quartier pauvre, où il a du mal à se sentir à l'aise, manquant d'ambition et de courage. Mais nous allons le voir se révéler au cours de son enquête sur ces disparitions et croiser la route de Rowena.

L'univers proposé par l'autrice est assez sombre. Nous sentons le complot se dessiner et découvrons un univers peu glorieux et surtout macabre dans cette ville industrielle. L'étau se resserre sur nos deux protagonistes et nous ne pouvons lâcher le livre sans savoir ce qu'il va leur arriver.
L'intrigue est bien menée, et la plume de l'autrice est fluide. J'ai passé un très bon moment de lecture dans cet univers steampunk et j'ai hâte de connaître la suite de cette duologie, prévue pour la rentrée 2022.

Je remercie Scrineo et NetGalleyFrance de m'avoir permis de découvrir cette autrice et ce livre.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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Je ne connaissais pas A.D. Martel mais le résumé et la couverture m'ont irrésistiblement attirée, ayant besoin de lectures un peu moins “sérieuses” !

Les deux héros sont jeunes et très dissemblables. Rowena est une jeune adolescente orpheline qui vit de débrouilles et connait bien les bas-fonds d'Arkantras qu'elle parcourt avec son chat Monsieur Gratouille. Elle est particulièrement douée pour la mécanique et revend des pièces volées.

Eugène est un jeune journaliste issu de l'aristocratie dont il a été banni pour avoir “trahi” sa caste en publiant une enquête dénonçant la corruption. Bien qu'il vive dans la partie déshéritée de la ville, il n'a toujours pas pris conscience que son regard reste celui de son milieu de naissance et continue à réagir comme un enfant gâté. Il faudra que des enfants défavorisés disparaissent et qu'il rencontre Rowena pour se décider à ouvrir les yeux et prendre sa vie en main.

Roman difficile à poser qui ne manque pas de moments glauques dans le monde souterrain aussi bien qu'à la surface où l'on se rend vite compte que ces inégalités entretenues cachent quelque chose de plus dramatique et malsain ! Dérive scientifique, exploitation des humains, corruption, détournements technologiques... tout est là pour faire un bon roman.

L'auteure nous prend la main et nous emmène où elle veut et j'ai galopé à la suite de Rowena en regrettant que la fin de ce tome arrive si vite !! La jeunesse des personnages principaux n'en fait pas pour autant un roman jeunesse car il y a beaucoup de passages sombres et violents.

#Derouagesetdesang #NetGalleyFrance

Challenge Mauvais Genre 2022
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Grâce aux éditions Scrinéo, que je remercie, j'ai lu : Les disparus d'Arkantras, tome un de la série de rouages et de sang de A.D. Martel.
Depuis quelque temps, une menace plane sur les bas quartiers d'Arkantras...
Le bruit court qu'une créature avide de chair humaine enlèverait les enfants à la nuit tombée pour les dévorer.
Que diable, Rowena, jeune orpheline passionnée de mécanique, se moque bien de ces histoires à dormir debout !
Jusqu'au jour où son ami, Oeil-de-Pirate, disparaît lui aussi dans d'étranges circonstances...
Résolus à le retrouver, Rowena et son fidèle chat à la patte mécanique, Monsieur Gratouille, s'enfoncent dans les profondeurs d'Arkantras.
De son côté, Eugène Bassompière, un journaliste issu de la bonne société, se voit chargé d'enquêter sur ces disparitions.
Sur les traces du monstre, les destins d'Eugène et Rowena vont s'entremêler.
Que se passe-t-il réellement dans la ville ?
Et si la vérité s'avérait pire que tout ce qu'ils pouvaient imaginer ?
Les disparus d'Arkantras est un premier tome prometteur avec lequel j'ai plongé dans les bas-fonds d'Arkantras, où le danger se cache à chaque coin de rue.
Rowena est une jeune fille de 13 ans, mais elle est orpheline et habituée à la dureté de la vie. Il ne faut pas se laisser avoir par son jeune age, car c'est une enfant sacrément mure pour son age. J'ai beaucoup aimé ce personnage, que j'ai trouvé bien travaillé.
Par contre, j'avoue avoir un peu moins apprécié Eugène, le jeune journaliste de 18 ans. Il est certes plus vieux que la jeune orpheline mais ses réactions sont souvent moins matures ! Il vient d'une bonne famille, il n'a pas vu assez de choses pour être totalement crédible. Je vous avoue qu'il m'a parfois agacé !
Malgré tout, ce duo est intéressant.
L'histoire est bien ficelée, avec une seconde partie plus sombre une fois l'intrigue bien en place.
J'ai apprécié de plonger avec eux dans les bas-fonds d'Arkantras, et je trouve ce roman jeunesse de style steampunk réussi.
Ma note : quatre étoiles.
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(lu en avant-première, lecture terminée le 15 mars 2022)
Avant tout, je remercie les éditions Scrinéo et NetGalley d'avoir proposé ce livre en « libre-service », permettant aux lecteurs intéressés de découvrir ce chouette livre en avant-première – sa sortie officielle n'était programmée que pour… demain (le 17 mars) !
Parmi la production déjà prolifique de cette autrice et compatriote (oui, j'aime bien le dire !), ce n'est pas le premier livre que je lis : j'avais découvert sa plume pétillante grâce à « Je vais buter mon boss », une comédie romantique aux multiples rebondissements dont je garde un très bon souvenir – mais qui n'a rien à voir avec le présent livre ! Ici, nous sommes dans un monde très clairement steampunk, sans aucune hésitation ; pour moi c'est le tout premier du genre, et c'est une belle surprise !
Et je ne peux oublier de dire, mais vous le voyez, que cette couverture est vraiment magnifique ! à me demander si je ne vais pas, en plus, acquérir le livre-objet juste pour le plaisir…

Ma lecture avait pourtant mal commencé : je sortais d'un autre livre (que je ne citerai pas par respect pour son autrice), fantasy médiévale cela dit, qui présentait également un univers très manichéen, ce qui m'avait dérangée. Or, ici aussi on est dans un monde très manichéen : d'un côté les (très) riches qui détiennent le pouvoir dans tous les domaines, de l'autre côté les (très) pauvres qui triment du matin au soir dans les usines, enfants compris, et là on parle des moins défavorisés, car les mendiants et autres démunis sont nombreux, sans aucun espoir d'un quelconque avenir plus brillant que ce monde de vapeur et de vacarme.
Mais voilà : ici, d'emblée, l'autrice nous présente des personnages bien campés et à qui on s'attache très vite malgré leurs défauts. La jeune Rowena (elle a l'âge de ma fille ! 13 ans…) survit en volant diverses pièces de métal qu'elle revend au marché des Halles ou à l'un ou l'autre client particulier, dont un certain et énigmatique Oeil-de-Pirate. Toujours accompagnée de Monsieur Gratouille, son adorable chat portant lunettes d'aviateur et un membre mécanique, elle défie tout et tous pour se construire sa propre vie malgré les nombreux dangers d'une ville qui ne veut ni d'orphelins, ni de filles trop douées en mécanique. En parallèle, on suit le chemin très improbable d'un jeune journaliste, Eugène : issu de la noblesse de la ville, un article explosif qu'il a osé écrire quelques années plus tôt a provoqué sa déchéance et lui a fermé toutes les portes. Il se retrouve à devoir enquêter sur de mystérieuses disparitions d'enfants de la plèbe, prétendument enlevés par une bête féroce qui sème la terreur…

La force de ce roman est donc bien là : dans ces personnages très bien dessinés, dont on découvre des bribes de passé, les rêves et espoirs, les failles aussi, tout au long de l'histoire, tandis qu'ils portent réellement une intrigue pleine de rebondissements. Dans cette écriture toujours aussi pétillante et visuelle, on a vraiment le sentiment de faire un bout de chemin avec eux. C'est à travers leur histoire propre que l'on découvre peu à peu le fonctionnement de cette cité d'Arkantras ; c'est avec leurs jambes et leurs yeux qu'on part sur la piste du (ou des) mystérieux kidnappeur(s). C'est à leurs côtés, aussi, que l'on touche à plusieurs thématiques graves, les plus évidentes étant : la pollution bien évidemment, typique de ce siècle de révolution industrielle (même imaginaire), et qui résonne de façon tellement alarmante de nos jours ; ou la maltraitance animale, mais en dire plus serait divulgâcher.
En outre, on découvre peu à peu que nos deux personnages sont en quelque sorte « en miroir » : Rowena est délurée tandis qu'Eugène n'a pas de c* (et en est conscient !) ; Rowena est une enfant sans famille mais peut compter sur l'amour de son chat et la bienveillance bourrue d'Oeil-de-Pirate tandis qu'Eugène a connu l'amour pendant une grande partie de sa vie avant de se retrouver quasi seul au monde ; l'un et l'autre vont peu à peu s'apprivoiser, mais on n'est qu'au tout début d'une relation qu'on espère voir évoluer en vraie amitié. Dans le prochain tome peut-être ?...

Ainsi, c'est en compagnie de ces personnages marquants que l'on va de rebondissement en rebondissement, car ils sont nombreux, et toute une série de révélations qui parsèment ce livre, avec une petite concentration dans les dernières pages. Ce sont de ces révélations qui laissent bouche bée et puis, en y réfléchissant un peu plus avant, on se rend compte qu'elles ont été amenées d'une façon ou d'une autre. En effet, ces confidences qui éclatent tout à coup sont certes surprenantes, mais en même temps elles trouvent leur place dans l'histoire comme les pièces d'un puzzle tout à coup évidentes, car tout se tient, tout est parfaitement maîtrisé sous ces airs d'aventure sympathique destinée à la jeunesse. Pour moi, l'autrice prouve ainsi toute la maîtrise de son art, et j'ai hâte de pouvoir lire la suite des aventures de nos héros, annoncée dans un cliffhanger insupportable, et heureusement prévue pour dans quelques mois seulement !
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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
𝑨𝒖 𝒇𝒊𝒍 𝒅𝒖 𝒕𝒆𝒎𝒑𝒔, 𝒆𝒍𝒍𝒆 𝒂𝒗𝒂𝒊𝒕 𝒂𝒑𝒑𝒓𝒊𝒔 𝒂̀ 𝒔𝒆 𝒎𝒐𝒒𝒖𝒆𝒓 𝒅𝒆𝒔 𝒄𝒐𝒖𝒑𝒔 𝒅'œ𝒊𝒍 𝒓𝒆́𝒑𝒓𝒐𝒃𝒂𝒕𝒆𝒖𝒓𝒔 𝒆𝒕 𝒅𝒆𝒔 𝒇𝒓𝒐𝒏𝒄𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕𝒔 𝒅𝒆 𝒏𝒆𝒛. 𝑬𝒉 𝒒𝒖𝒐𝒊, 𝒔𝒐𝒏 𝒔𝒕𝒚𝒍𝒆 𝒏𝒆 𝒍𝒆𝒖𝒓 𝒑𝒍𝒂𝒊𝒔𝒂𝒊𝒕 𝒑𝒂𝒔 ? 𝑻𝒂𝒏𝒕 𝒑𝒊𝒔 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒆𝒖𝒙 !
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Eugène ouvrit la légère farde et s'enquit du contenu.
-Il s'agit des disparitions dans les quartiers populaires, résuma le directeur.
-Mais monsieur..., objecta aussitôt Eugène, encore plus mal à l'aise. C'est un dossier pour la police, et puis, mon milieu de prédilection, c'est la bonne société. Je n'ai aucun contact dans...
Il laissa sa phrase en suspens, comme pour souligner le poids de ses arguments. Le directeur haussa un sourcil circonspect : ils n'avaient pas fait mouche.
-Dans quoi, Bassompière ? Qu'essayez-vous de me dire ? Que les petites gens ne valent pas la peine d'être aidées ?
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- Ce qui distingue le bon du mauvais enquêteur, agent Lewis, c'est de ne pas se satisfaire de la solution la plus commode qui soit.
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Sa chaise racla le sol et il se leva.
-Vous pensez que ce ne sont pas des fugues ? s'étonna le policier englué dans son incompétence.
Eugène hésitait entre rire ou pleurer. Il ne doutait désormais plus de la sincérité de l'agent Lewis, mais bien de son intelligence. Qu'il sache lire relevait déjà du miracle. Une témérité nouvelle monta en Eugène, et il répondit, le menton redressé :
-Ce qui distingue le bon du mauvais enquêteur, agent Lawis, c'est de ne pas se satisfaire de la solution la plus commode qui soit.
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Ses jambes augmentèrent leur cadence et il se mit à courir, à courir de toutes ses forces, comme si l’effort physique pouvait faire taire le feu d’artifice de douleur qui éclatait dans sa poitrine.
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