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EAN : 9782350875255
160 pages
Editions Héloïse d'Ormesson (02/05/2019)
4.09/5   40 notes
Résumé :
Marina mène une vie accomplie, et ressemble à ce qu'on appelle communément une jeune femme heureuse. Elle regrette juste de ne pas connaître l'amour passion ! La chance lui sourit quand elle retrouve sur les réseaux sociaux Thorsten, un flirt d'adolescence, toujours aussi beau et séduisant. Leur attraction magnétique suffit pendant quelques mois à les convaincre du bonheur. Mais au fils des mois, cette liaison enivrante se fissure, révélant une réalité plus sombre. ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (19) Voir plus Ajouter une critique
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On les nomme manipulateurs ou pervers narcissiques, on les dit incapables d'aimer ou d'éprouver de l'empathie. On les décrit aimables en société et tyranniques dans l'intimité. On a créé des tests sur internet pour les démasquer, qui se concluent tous par la même injonction : « Fuyez ».
Vous savez qu'ils existent, il paraît qu'il y en a même de plus en plus, que notre époque en fait pousser comme du chiendent.
Mais voilà, une fois que vous avez démasqué votre partenaire, comme Marina l'héroïne de ce roman, il est déjà trop tard, vous êtes sous son emprise. Votre chat vous avait pourtant prévenu, il le déteste et le mord depuis le début, et comme tous les autres signes, vous n'aviez pas voulu comprendre. Votre vie n'a plus de sens sans lui, vous ne savez plus respirer, plus bouger, plus rien décider. Et puis vous lui avez fait un enfant, vous n'avez plus d'amis, vous ne voyez plus vos parents, vous avez perdu votre job, alors à quoi bon.
Torsten répond à ces critères. Il apparaît comme le sauveur dans une période de doute amoureux de Marina. Très vite, elle va s'isoler avec lui, dépendre de lui sexuellement, «il n'a jamais connu ça », elle le rend fou, il est le miroir d'une image idyllique d'elle même. Image qui n'existe pas, qui disparaîtra très vite et qu'elle passera le reste de sa relation à essayer de retrouver.

Sous le double regard de Malek, l'écrivain du roman et celui d'Eric Genetet, le lecteur assiste impuissant, haletant, désespéré, à la descente aux enfers de Marina. On voudrait lui hurler de partir, de changer la serrure, de ne pas lui faire d'enfant, de cesser de lui donner de l'argent. Mais le livre ne nous obéit pas, Marina doit aller au bout de son épuisement, de sa dépression, le roman dépeint parfaitement le piège, le labyrinthe sans issue de cette relation toxique, avec au bout, très peu d'espoir, seulement l'envie de le tuer, qu'il disparaisse enfin. Et l'écriture salvatrice, en témoin, car rien ne valent les mots que l'on pose pour comprendre enfin.

Un court roman très subtil, où chaque protagoniste prend la parole pour une analyse psychologique très aboutie. Un récit ultra prenant, un regard nouveau sur cet amour illusoire.
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« Tu me penses, je te extraordinaire, je te sueur, je te langue, tu me vertiges, je te tiramisu, je te risques, tu me sexes. » C'est sur ce mode poétique, emprunté à Ghérasim Luca que Torsten séduit Marina. Marina, c'est un peu toi, c'est un peu moi… Sauf qu'elle vit en couple avec Malek un homme obsédé par son écriture qui ne veut pas d'enfant. « Tu me bonheurs, je te rayon de soleil, je t'extraordinaire, tu me certitudes, je te miracle, tu m'étoiles filantes. » Alors, après sa rupture avec Malek, elle se laisse charmer par cet homme, retrouvé sur Facebook qui a tout pour lui : le physique, le verbe, le sourire, le magnétisme.

Car magnétique il l'est. Charismatique aussi. Son odeur qui rappelle les effluves d'une plage est envoûtante, ses gestes tendres sont addictifs, son regard est fascinant. Marina est une femme de tête. Elle exerce un métier passionnant, dirige 50 personnes, est respectée dans sa fonction. Elle prend des décisions, les met en application et son équipe la suit sans sourciller. Elle ne s'en laisse pas conter, elle n'a rien d'une femme fragile.

Pourtant, elle va tomber dans les griffes de cet homme qui souffle le chaud et le froid. le chaud beaucoup, souvent, surtout au début jusqu'à la rendre accro. le froid ensuite, pour la blesser, la fragiliser, la punir.

C'est toute l'intimité d'un couple qui est décortiquée ici par Eric Genetet, des papillons dans le ventre, aux plus fortes désillusions, aux incommensurables blessures. Il répond avec talent à l'expression « avoir quelqu'un dans la peau », quand la raison elle-même s'éteint et que ne subsiste que le besoin du corps, la toute-puissance d'une présence, la dépendance suprême.

Torsten est un homme torturé… torturé depuis sa plus tendre enfance par un père tyrannique. « C'est notre père qui nous élevés, à coup de baffes dans la gueule (…) il ne fallait pas moufter. » Ses attentes sont énormes, son aptitude à dénigrer l'autre monumentale. « J'ai besoin qu'elle se montre à la hauteur de notre histoire. » Inutile de préciser que Marina ne sera jamais à la hauteur de cet homme qui a des exigences impossibles à satisfaire et qui ne respire qu'en emportant l'autre par le fond. Sa stratégie est infaillible : « (…) plus la souffrance de Marina est grande, plus il devient lui-même. Un virus pathogène, euphorisant au début, a gangréné chaque atome. Pendant 6 mois, Torsten a injecté dans le corps de Marina des shoots de bonheur puissants avant de tarir sciemment la source. »

La descente aux enfers psychologique est amorcée. Même le sexe devient un enjeu majeur pour rabaisser l'autre : « Le sexe est l'avocat d'un procès qu'ils font au bonheur accusé de s'être installé trop tôt, trop vite, dans un endroit interdit. » La manipulation mentale qu'il exerce sur elle, la faisant douter de tout, même de la réalité vécue est sans limites. Il joue alors sur les traumatismes de cette femme élevée sans tendresse par une mère absente pour la réduire à un paillasson qu'il piétine à sa guise.

Eric Genetet s'immisce dans ce couple pour en décortiquer chaque protagoniste, partant de blessures liées à l'enfance. Il démontre comment, un homme bien sous tout rapport, devient une tique capable d'annihiler toute raison, suçant inlassablement le sang de sa victime en y instillant une maladie s'attaquant au système nerveux. Il prouve combien la guérison est épineuse quand le cerveau voudrait, mais que le corps abdique.

Son écriture, extrêmement poétique sublime les émotions du début, quand il devient si rapidement impossible de vivre l'un sans l'autre, malgré la douleur, la perversité de l'un et le masochisme inconscient de l'autre. « Il répond à toutes mes envies, avant que j'en aie envie. Il n'y a plus rien sur terre, à part nous, et le tiramisu, bien sûr. Nous sommes en fusion, certains que nous ne pourrons plus jamais respirer l'un sans l'autre. » Les émotions sont exacerbées, résonnent dans vos tripes de lecteur, et si, par malchance, vous avez croisé dans votre vie ce genre de personnage hautement toxique, vous revivrez avec netteté chaque situation ayant contribué à vous faire plonger. Ainsi, vous devenez le témoin privilégié d'une chasse sans merci et de la mise en place d'une stratégie de destruction de l'autre implacable.

L'ascendant, la domination d'un être sur l'autre est le thème principal de ce roman. L'auteur démontre admirablement bien comment, à travers de simples mots, sans jamais lever la main, on peut irrémédiablement détruire un être humain. Ce livre est aussi sublime dans les premières pages que glaçant dans les dernières. Il souffle, comme Torsten le chaud et le froid, et c'est sacrément réussi !

Lien : https://aude-bouquine.com/20..
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C'est un samedi comme d'habitude je vais à la librairie Hisler de Metz, il y a une rencontre avec l'auteur Éric Genetet qui vient à 15h dédicacer son dernier roman.
Je me mets activement à la lecture de Un bonheur sans pitié avant que l'auteur nous raconte comment lui ai venu l'idée de ce livre qui est tiré d'une histoire vraie mais romancé.
Pour ma part impossible de le lâcher car le sujet m'interpelle beaucoup, je suis restée à lire jusqu'à 18h.
Je me suis complétement engloutie dans cette histoire très prenante et j'ai passé un excellent moment de lecture.
J'étais dans un état second et énervée par les comportements des personnages dans ce récit, beaucoup d'émotions m'ont submergé.
Chaque personnage raconte sa version de l'histoire.
C'est la première fois que je lis un livre devant l'auteur mais aussi car le sujet m'a frappé en plein coeur, il y a du vécu et du survécu.
Il fallait que je le lise ce livre car je me sentais un peu concerné par cette histoire qui touchera beaucoup plus la sensibilité des personnes ayant déjà eu une histoire d'amour où d'amitié avec un pervers narcissique.
Comme il nous a expliqué c'est vrai que la victime est parfois aveuglée par son amour et parvient difficilement à se détacher de ces personnes toxiques et malades.
Ce sont de très bons comédiens qui arrivent souvent à leur but, la destruction de l'autre, il l'étouffe à petit feu.
L'histoire de Marina était merveilleuse au début, romantique et passionnée mais après quelques mois de bonheur, l'histoire va virer au cauchemar.
C'est a vous de découvrir leur histoire, je ne dévoile rien.
Manipulation mentale, reproches, isolation, Torsten arrive à prendre emprise sur elle et à lui prendre tout son oxygène, elle va sombrer et devenir que l'ombre d'elle-même.
Je pense aussi que par manque d'amour on peut-être aussi coupable de ces situations pénibles et heureusement la vie fait qu'un jour on ouvre les yeux et on s'échappe loin de ces personnes négatives. il ne faut pas reproduire les boucles de la vie mais réussir à les casser afin d'aller de l'avant et de rester libre pour rencontrer un jour l'amour véritable.
On peut aussi rencontrer des gens aimant qui nous guérisse de ce passé qui nous a fait mal pendant longtemps.
Je ne peux que vous conseiller ce très bon roman qui m'a fait un bien fou et il m'a permis de mieux me comprendre. La littérature est la meilleure des thérapies.
Je pense aller découvrir les autres romans de cet auteur dont l'écriture est très prenante.
Lien : https://sabineremy.blogspot...
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Né en 1967, Éric Genetet a publié quatre romans : le fiancé de la lune (2008), Et n'attendre personne (2013), Solo (2013) et Tomber (2016). Il a été pendant vingt-cinq ans, animateur à la radio (France Bleu), à la télé (TeléAlsace) et chroniqueur pour différents médias en Alsace (Zut, Poly, Passions Vin, Sport Alsace, Strasbourg magazine...). Il vit et écrit à Strasbourg.

Ce roman raconte l'histoire de Marina une jeune femme active d'une trentaine d'années tombée amoureuse de Torsten, ancien ami de lycée retrouvé sur les réseaux sociaux et qui semblait l'y attendre. Une relation s'installe fusionnelle et enivrante qui ne durera cependant que six mois au bout desquels Torsten montrera alors son vrai visage de manipulateur pervers.

J'ai sombré dans ce roman avec Marina. Une ambiance lourde, violente, terrible où l'on peine à reprendre son souffle. A la limite parfois du supportable. Tout y est : perversité, isolement (par rapport à la famille et aux amis de Marina, lecture des SMS…), manipulation, violence psychologique, jalousie pathologique, harcèlement, dénigrement (la traitant de folle, d'irresponsable…), perte de confiance en soi, humiliation, intimidation, menaces (de partir, de lui prendre ce qui lui est le plus cher…), tyrannie (fenêtre ouverte toutes les nuit contre son gré, choix des sorties…), colères, changement d'humeur, argent… Auxquels Marina répond par la peur, l'incrédulité, l'attachement aveugle, le manque, la culpabilité, le déni.

Et alors que Torsten continue en dehors de son couple, avec ses amis, à afficher sourire affable et bonhommie, Marina dépérit, rabaissée et salie. Et nous suffoquons avec elle.

C'est une lecture très dure et à la fois impossible de la lâcher une fois commencée. A se demander constamment où cela va-t-il les mener… nous mener? On redoute le dénouement que finalement on ne qu'applaudir! Un coup de coeur que je recommande.

Lu dans le cadre du coup de coeur des lectrices de Version Femina. Un très grand merci à eux et aux éditions Héloïse d'Ormesson pour leur confiance et pour m'avoir permis de découvrir cet auteur et son roman.
Lien : https://czumbiehlfaure.wixsi..
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Compte tenu de sa personnalité hautement dérangée (et plus encore dérangeante), il n'est pas étonnant que le pervers narcissique soit source d'inspiration pour de nombreux auteurs. Pour ma part c'est avec le roman Entraves d'Alexandra Coin que j'ai fait la connaissance littéraire de ces individus aussi nocifs que nuisibles (je connaissais le spécimen, mais n'avais jamais rien lu sur la question).

Au début du récit Marina quitte le mec avec qui elle vit une relation dans laquelle elle ne s'épanouit pas. Suivront quelques semaines de questionnements et de doutes avant qu'elle ne croise le chemin (d'abord sur fesse de bouc puis dans la vraie vie) de Torsten. Durant six mois on partagera leur passion idyllique, pleine de coeurs roses, de guimauve fondante, de nuages floconneux et tutti quanti… Une mise en scène soigneusement préparée par Torsten afin que Marina soit totalement raide dingue de lui.

Puis Torsten tombe le masque et révèle sa véritable nature. On s'enfonce alors crescendo dans le monde vicié du pervers narcissique, il déploie alors tout un arsenal pour détruire et rabaisser l'autre jusqu'à lui faire perdre tous ses moyens et surtout toute confiance en soi et toute estime de soi. Éric Genetet décrit parfaitement cette inexorable descente aux enfers jalonnée de multiples formes de violences psychologiques (humiliations, insultes, dénigrement systématique, jalousie maladive, isolement…).

L'auteur construit son roman en alternant entre les passages où il donne la parole à ses personnages (Marina, Torsten et d'autres) écrits à la première personne, et ceux où il porte un regard extérieur sur la vie du couple, écrit à la troisième personne, exposant les faits sans véritablement prendre parti.

Éric Genetet maîtrise totalement le profil psychologique de ses personnages, il nous implique pleinement, en spectateur impuissant, dans la vie (et la longue agonie) du couple. Même si l'ambiance du récit est résolument glauque et sombre, l'écriture de l'auteur reste malgré tout lumineuse et poétique.

Un roman court, mais nerveusement éprouvant. Évidemment face à Torsten le lecteur aura souvent des envies de meurtre, surtout quand il se fait passer pour une victime incomprise, ou qu'il se réfugie derrière son enfance difficile. Mais l'apathie de Marina sera toute aussi exaspérante, vous aurez plus d'une fois envie de la secouer, de lui gueuler de se sortir les doigts du cul et de quitter ce connard.

Une lecture coup-de-poing qui pointe du doigt une intolérable réalité pour les nombreuses femmes victimes de pervers narcissiques. Pour le coup on aimerait croire que tout ceci n'est que fiction, mais ce serait se voiler la face ou pratiquer la politique de l'autruche.
Lien : https://amnezik666.wordpress..
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Citations et extraits (21) Voir plus Ajouter une citation
Ses poèmes empruntés à Prendre corps de Ghérasim Luca qu’il me fait découvrir : « Tu me penses, je te extraordinaire, je te sueur, je te langue, tu me vertiges, je te tiramisu, je te risque, tu me sexes. »
Alors Marina en profite même si son souffle est court et dit qu’elle doit lui parler, que c’est important. Il répond que ce n’est pas la peine, qu’il sait, que c’est inutile de l’accabler, que février est déjà suffisamment compliqué comme ça, qu’il garde le chat.
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En partant travailler, j’écris des mots doux sur des morceaux de n’importe quoi que je laisse traîner partout dans l’appartement. Lorsque je rentre, je retrouve les siens, comme des bouffées d’air pur : « tu me bonheurs, je te rayon de soleil, je t’extraordinaire, tu me certitudes, je te miracle, tu m’étoiles filantes », l’amour m’a transformée. S’il me le demandait, je lui donnerais tout. Je ressens un manque énorme dès les premières secondes de ses absences, comme si j’avais quinze ans. Je pense à lui à chaque moment. On ne m’a pas menti sur les papillons qui volent dans le ventre des filles amoureuses. Je veux que la vie dure une éternité. C’est aussi beau qu’un massif de haute montagne en hiver, et dans la neige à perte de vue les seules traces sont celles de nos pas.
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Marina m’a appelé, elle avait l’air totalement désemparée. Au bistrot où on se retrouve, elle regarde partout si le loup n’y est pas. Elle a l’impression de faire une bêtise, comme une petite fille qui ne rentrerait pas directement après l’école. Torsten travaille pourtant à plusieurs dizaines de kilomètres. Autour d’un café, elle me raconte son histoire, mais je crois qu’elle ne me dit pas tout de sa violence, ni de sa souffrance. Elle relativise, sinon pourquoi ce serait-t-elle dans cet état ? J’essaye de comprendre, sans accabler Torsten. Il a dû pas mal morfler quand même. On dit que la relation que l’on entretient avec sa mère détermine toutes les autres.
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Dans une main, il tient une bouteille vide, qu’il finit par lâcher. Elle roule sur le sol et stoppe sa course au pied
de la bibliothèque. Il rit. Marina observe cet homme qu’elle admirait tant, il y a presque deux ans. Elle n’est plus
la fille enchantée qui n’imaginait rien d’autre que le bonheur, elle est triste, comme ces femmes qui témoignent à
la télé, le cerveau retourné, le visage décharné. Elle était persuadée d’être à l’abri, de ne jamais "créer" ce
genre de couple aux sentiments perdus, cette relation trouble qui se reflète dans leur miroir sur pied trouvé sur
Internet. Elle veut dormir, s’enivrer d’un lourd sommeil pour oublier.
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