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EAN : 9782953883411
320 pages
La Lune Sur le Toit (01/02/2013)
3.8/5   52 notes
Résumé :
Sacha, Jo et leurs amis appartiennent à la Génération H. Amateurs de skunk, de double zéro, de pollen, de charasse ou d'aya, ils passent leurs journées à fumer des deux ou trois-feuilles, à tirer des bangs, à se faire tourner des shiloms et des pipes en tout genre.
Un été au milieu des années 90, la petite bande part sur la route explorer toutes les facettes d'un nouveau style de vie alternatif qui s'offre à elle dans un road trip haschisché et musical. Alla... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
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Tout d'abord, je tiens à remercier Babelio et les éditions La lune sur le toit pour l'envoi de Génération H d'Alexandre Grondeau. A peine reçu, je l'ai déballé, regardé et tourné dans tous les sens afin de bien l'apprécier. La couverture pour commencer : représentative du titre. Une photo en noir et blanc d'une jeune femme, avec une attitude provocatrice, en train de fumer un join. Première impression, je fais ce que je veux et je vous em...
Comment raconter le périple d'une bande de potes de 17 ans qui ne font rien d'autre que fumer, boire en écoutant de la musique ou en jouant à la console ? C'est le challenge que relève Alexandre Grondeau dans son livre. Tout est une question d'atmosphère dans cet ouvrage et les fumeurs de cannabis s'y retrouveront sans problème.
Dès le prologue, l'auteur nous plonge dans l'ambiance. Nous sommes en 1995 ,une époque pas si éloignée et pourtant complètement différente: les mp3 ou 4 n'existaient pas, on pouvait fumer dans les lieux publics.. .
Donc, 1995, une bande de potes embarque dans un train en direction des vacances. Joins, bières et musique sont de la partie. le décor est posé.
Première impression également, celle que l'auteur a souhaité très rapidement user et abuser du vocabulaire des fumeurs de hashish. C'est parfois un peu" fumeux " pour moi (oui je sais, le jeu de mot est facile.') et j'ai dû sérieusement me rapprocher de mon dictionnaire favori et même de cette encyclopédie si célèbre sur Internet !
Au travers de Sacha et de ses amis, on se trouve immergé dans l' univers des fumeurs de haschich : leurs soirées de fumette et bien alcoolisées ; des soirées à refaire le monde au travers des vapeurs de drogue. Et je tiens à souligner à ce propos l'échange croustillant sur la politique entre l'ancien militant des JCR de 35 ans et cette bande de jeunes qui n'est pas encore en âge de voter.
Trips (bon ou mauvais ), expériences, rencontres... le livre est ponctué de ces petits moments qui rythment les vacances de Sacha , entre festivals de musique (country, tecknival ou encore reggae) et rencontres parfois surprenantes (et oui, il y a plus de points communs qu'on ne le pense entre l'archétype du surfeur blond et bronzé et le fumeur de hash !). J'avoue le passage de Sachant et Johan à la feria de Dax ma bien fait rire, mais j'ai trouvé parfois un peu cliché les différentes aventures des deux amis.
Le livre est agréable à lire. le style de l'auteur et les courts chapitres permettent une lecture facile et assez addictive. Je trouve que c'est une bonne description de cette période de l'adolescence où l'on s'interroge beaucoup sur le monde , où tout parait acquis et où l'on pense que rien de mal ne peut arriver. L'avenir ? On verra cela plus tard. D'ailleurs la fin du livre m'a un peu laissée sur ma faim.
Pour résumer en quelques mots : drogues, potes, reggae et sexe, une variation du sex and drug and rock 'n roll de Ian Dury.
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Nous sommes toujours les beaufs du voisin !


1995 : Sacha et Johan, deux amis de 17 ans décident de consacrer leurs vacances d'été en un road trip dans le sud de la France. Entre drogues, filles, musiques, ils expérimentent toutes les expériences possibles dans un seul but : la totale liberté. Vont-ils y arriver ou la désillusion sera-t-elle au bout du voyage ?


Un livre en demi-teinte et ce pour différentes raisons. Si j'ai pris un plaisir certain à cette lecture, je n'ai pu m'empêcher d'être dérangée par quelques côtés.
Pourquoi plaisir ? parce que dans un certain sens, je me suis retrouvée dans ce texte, même si je suis plus âgée de quelques années. Mais étant la fille de parents sévères, j'ai acquis "ma liberté" à peu près à cette époque. J'ai bien connu le symptôme "post 68". Nous allions refaire le monde, mais mieux que nos aînés qui avaient baissé les bras. Ils étaient rentrés dans le moule polico-économique, nous bassinant avec des mots qu'ils n'avaient pas eu à gérer dans leur jeunesse : crise et taux de chômage élevé. Travaille bien à l'école et tu pourras t'en sortir ! Comment gérer le besoin de liberté et le très terre à terre bilan économique d'une fin de mois difficile. Sans parler du fantôme "sida". Quand votre prof de bio vous libère en fin d'année scolaire en vous disant de faire attention aux moustiques et aux seringues sur les plages, pas de quoi trouver cette période nostalgique. Et pourtant, à la description des cheveux longs, doc Martens et jeans troués, je n'ai pu m'empêcher de sourire et de faire remonter les souvenirs.
Et puis, il y a eu le côté négatif de cette lecture. Sous des allures provoc', j'ai trouvé ce livre très conventionnel. Des Sacha, j'en ai rencontré plusieurs qui, après un week-end de fêtes et de rave (rêves ?), reprenaient une vie d'incertitude entre lycée et prises de tête parentales. J'attendais quelque chose d'un peu plus profond qu'une longue litanie de planages suite à la prise de drogues. Je n'ai pu m'empêcher de sourire quand il pense que le rap et le reggae sont le summum de la subversion musicale alors que déjà, le rap devenait commercial avec des radios telles Skyrock and Co. Certes, cela restait certainement des morceaux accessibles mais libre à chacun d'approfondir. Alors pour un jeune chercheur d'émotions, il me parait incroyable qu'il n'ait pas croisé ceci :
crisis feeds the lunacy
all fear the new machine
consumed democracy returns a socialist regime
it's laid to rest without contest
all hail the new incompetence
making you see what to believe
a drone in a world of anarchy
(1994, Slayer, Fictional reality, Divine intervention)

Ok, cela ne passait pas à la radio et cela ne passe toujours pas 20 plus tard. Aussi, je n'ai pu que me poser la question ? Sasha est-il vraiment ce qu'il semble être, à savoir un chercheur ? Pour moi, si nous nous étions croisés, je l'aurais certainement catalogué comme un baba Beauf, se cantonnant à ce qu'il connait pour reprendre après un interlude, une vie avec un avenir déjà établie par les parents et la société. Et qui 20 plus tard se retourne avec nostalgie sur une jeunesse qui n'a pas survécu à la trentaine bedonnante d'une vie sédentarisée.
Après le fond, j'ai aussi était gênée par la forme. Enfin, gênée est un grand mot. Mais cela m'a empêché d'entrer totalement dans l'histoire et pourtant de m'en sentir proche : le roman est décrit par un ado de 17 ans. Vraiment 17 ans ? Bon ok, disons que Sacha soit intelligent, plus mature que la moyenne. Ou alors, l'écrivain n'aurait-il pas fait un mix avec ses souvenirs d'alors et ses émotions actuelles ? Cela donne un personnage ambigu pas tout à fait crédible dans ses sensations, ses réflexions. Un tantinet anachronique.
Mais avant tout, plus j'avançais dans ma lecture, et plus j'étais rejetée par une écriture très masculine. Même si les filles gravitent autour de notre duo, elles restent des personnages d'une autre planète, incompréhensibles mais d'une compagnie plaisante et éphémère. Les copains avant tout (classique) ! Aussi, j'avais hâte de connaitre la fin. L'amitié mourante et un amour naissant ? La fin de l'été annonçant le retour au bercail ou un nouveau départ ? Et bien j'attends toujours les réponses ! Et franchement, je déteste les livres qui nous laissent sur notre faim (fin ?!) sans une piste de réflexion. Ce ne fut pas une lecture désagréable, mais elle ne me laissera pas un souvenir inoubliable…
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Johan et Sacha , deux jeunes ados contestataire, avides de sensation fortes et de liberté se lance dans un road trip estivale en quête de musique et de rencontres. Toujours plus convaincu, a chaque nouvelles destination, à chaque nouvelles rencontres que leur chemin est le bon, qu'ils détiennent le secret pour avancer vers la liberté.
Présenter comme LE livre de toute une génération je reste déçu du manque de connections intergénérationnelle. Peu être que je ne suis pas la cible et si c'est la cas je m'interroge alors sur la vraie porté de ce roman . Dans une France ou le haschich se banalise pour une population âgé de 15 à je crois qu'il n'y a même pas d'âge de fin, l'ensemble des générations me semble concerné.
Un manque de connexion intergénérationnelle. En effet, même si on retrouve un trentenaire artiste de rue finalement rentrer dans son village natal pour y travailler , une bande d'ex soixante-huitards, joueurs de djembé ou encore un jeune cadre fumeur de joint insoupçonnable , nous n'avons pas une vue de ce monde par ces personnages sans cesse reprit par nos deux explorateurs des temps modernes , instigateur de liberté , détenteur de la vérité, libérateur d'âme emprisonné..
L'escapade de cet été sur la route qui nous est comté reste néanmoins l'un des moments les plus marquants de toutes les générations confondus qui ont grandi dans ce nuage de fumée. On peut discuter, mais il y a une chose de sur c'est que l'évènement choisi pour mettre en place ce thème, la situation évoqué, ne pouvait être autre que celle-ci. Un été comme il en n'a été donné à certain de vivre. Une sorte de rite mystique que tout le monde à entendu, vu ou vécu. Une sorte de mutation. Un passage vers un nouveau soi-même, mais lequel ?
Aucune réponse à toutes les multiples interrogations qui peuvent se présenter lorsque ce thème est évoqué. Il n'y a pas vraiment de sens à toutes cette histoire qui reste au final en suspend. Un petit peu comme si chacun pouvait avoir le mot de la fin. Une histoire éphémère, utopique qui rappelle bien que la réalité n'est pas là et pourtant…
C'est bien dommage que l'auteur n'est pas été plus loin dans son enquête pour mettre en avant avec plus de profondeur ce qu'il laisse entendre lorsque l'un des personnages finis par dire, après multiples rencontre :
« on passe les uns à coter des autres, égoïste… », « me laissant seul face à moi, à mes choix, à mes doutes ».
Je ne pense pas que remettre des couches sur les méfaits du cannabis fut été une piste à explorer, mais pour un juste équilibre des histoires de toutes les personnes à qui s'adresse ce livre il eut été sans doute indispensable de créer un parallèle sur la réalité qui peut soudainement venir se coller à une soi disant liberté. Créer un parallèle ou une finalité, envisager un futur, plutôt que de rester figer dans l'été 95. Mais peu être que M. GRONDEAU n'a dans ses recherches trouver aucun futur, car peu être s'est t-il aperçu qu'on ne sort jamais vraiment de ces années. Peu être n'y a-t-il en fait aucun parallèle à faire si ce n'est le même.
C'est à mon sens dans un souci d'impartialité qu'il aurait pu être expliqué les réels dommages collatéraux que peut parfois engendrer le haschich et cela en aurait fini de faire taire les inepties abracadabrantes que certains ont bien voulu nous servir.
Génération H reste tout de même un livre sympathique à lire, vous replongeant dans ces folles années qui n'ont pas de prix. Des années qui vous marque aux fers, laissant des souvenirs indélébiles qui jusqu'à la fin susciteront d'avantages de sourires que de pleurs.
Recommandé aux avertis.
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La couverture représente parfaitement l'histoire. On comprend dès le début pourquoi ce titre, Génération H, même si sa "couleur" nous aide grandement. C'est donc une couverture que je trouve simple et belle, comme quoi c'est pas une couverture élaborée qui fait tout. Il s'agit donc de l'oeuvre de Alexandre Grondeau, un auteur français et qui a déjà écrit Pangée en 2012. Génération H est son second roman est il est sortit en 2013. On suis donc une bande d'amis qui sont partit pour faire un tour de France, alternant entre les festivals, les soirées et de quoi fumer, tout en faisant des rencontres inattendues et de nouvelles expériences.


Je tiens déjà à remercier Babelio et l'événement Masse Critique, qui m'a permit de recevoir ce livre. Je ne savais pas vraiment à quoi m'attendre en commençant cette lecture, malgré un résumé assez explicite. J'avais donc hâte de rencontrer les différents personnages et de les suivre dans leur
premières vacances communes. En tout cas, cela m'a facilement donné envie de partir aussi, découvrir la France avec mes potes.
A mon plus grand regret, je n'ai pas directement accroché à ce roman et même à la fin j'avais encore un peu de mal. J'avais le sentiment que rien ne se passait vraiment dans l'histoire, que l'on retrouvait toujours les mêmes actions, les mêmes événements mais avec un lieu et un personnage différent. Mais avant cela, j'ai trouvé un prologue qui m'a bien fait rire ! Dès le début, on voit qu'il ne s'agit pas d'un roman sérieux, d'une sorte de témoignage, de mise en garde contre l'alcool ou contre la drogue / le tabac. Mais un simple récit qui raconte des vacances de jeunes d'une autre époque. En effet, l'histoire se déroule en 1995, durant l'été, et je n'étais pas encore née (seulement à la fin de cette année). J'ai donc pu découvrir les tendances, les façons de penser etc de l'année de ma naissance et j'ai trouvé cela intéressant, même si cela n'a pas vraiment changé de nos jours.


J'ai vraiment apprécié la plume de l'auteur, on voit qu'il s'y connait dans ce milieu et il utilise un vocabulaire particulier et on y trouve également des explications sous forme de notes, qui sont relativement pratique ! Il fait également de nombreuses descriptions que j'ai adoré, on se rend vraiment compte du lieu où se passe l'histoire et on s'imagine donc beaucoup plus facilement le déroulement de l'histoire. Il nous fait donc totalement rentrer dans ce milieu, on intègre cette bande de jeunes en vacance, comme si on était un des leurs.


Je tiens également à parler de la bande son de ce livre. Elle se trouve en totalité à la fin du livre, mais on retrouve les différents morceaux à certains moments de l'histoire. Bref, celle-ci est particulièrement réussie ! C'est des chansons que j'adore pour la plupart, surtout celle interprété par Nirvana, d'ailleurs le paragraphe où elle se situe est celui que j'ai du relire le plus de fois, car j'étais totalement heureuse qu'on cite mon groupe préféré !


Pour conclure, j'ai été contente de lire ce livre, même si je n'ai pas totalement accrochée à l'histoire et aux personnages, j'ai aimé découvrir la France à travers un nouveau point de vue !
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Un pur road-trip qui nous emmène du Gers à Bordeaux, en passant par Sète et les Landes, un roman comme une étude sociologique a posteriori d'une génération nomade, idéaliste et discrète. Tant que le cannabis, la ganja, la weed, le shit, la beuh, le haschisch... bref: la "fumette" reste illégale, toute la culture qui y est liée reste cachée, ignorée. Pourtant il y a une culture forte, avec ses codes, ses musiques (ah, quelle playlist de ouf dans le bouquin!), ses habitudes, son langage, sa mode, son "matos", mais surtout une volonté de contrer la société qui donne des ordres, une spiritualité et une envie de planer pour le plaisir et pour méditer, pour prendre de la hauteur, pour partager du bonheur...
C'est la première fois qu'un roman me parle "vrai" à propos de cette époque (été 1995), du moins je me suis reconnue et j'ai reconnu beaucoup de situations vécues ou vécues par procuration par des potes: l'infoline pour le prochain Teknival, les allures de cannabis cup de certains festivals reggae, les campings sauvages, le squat en musique sans voir passer l'heure, les envies de ne pas rentrer, les envies d'ailleurs , et les fumeurs qui finissent toujours par tomber sur l'un des leurs! Mais aussi les abus et les expériences inconnues, l'errance et les dangers de se perdre soi-même.
C'est une belle claque littéraire et culturelle, nostalgique aussi sans doute de cette frénésie et de cette énergie à toujours avancer vers de nouvelles rencontres et de nouvelles histoires.
C'est une claque juste avec des mots, pas besoin d'un shilom ou d'un pétard!... Mais bon, si vous proposez...
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Citations et extraits (17) Voir plus Ajouter une citation
Les troubles de l'humanité ne changent pas, ce sont les mots pour les décrire qui évlvent au gré des civilisations et des époques. La nôtre se cache derrière des mots bien pensés, des phrases bien construites , un ton posé et calme pour donner l'impression que nous maitrisons notre destin. Grand-père n'a pas Alzheimer, il perd la tête ; Maman n'a pas un cancer, elle est gravement Malade ; Papa n'est pas mort, il est parti là-haut ; Jean-Phi n'est pas psychotique et maniaco-dépressif, il est bipolaire. J'aimerais tirer au bazooka sur toutes ces conventions sociales, une bonne fois pour toutes, histoire qu'on puisse enfin se regarder dans le blanc des yeux, montrer ce qui se cache dans nos coeurs, dans nos âmes, mais tout cela est peine perdue. L'humanité poursuit sa route et l'hypocrisie bien-pensante l'accompagne sans doute.
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En le voyant ainsi, je nous imaginais dix ans plus tard, dans un pays où la prohibition aurait cessé et où il existerait des spécialistes de ganja et de cannabis, comme il existe des œnologues. A l'instar des bars à vins, où l'on déguste les meilleurs crus avec un spécialiste qui vous parle de terroirs, de vignobles, de climats, nous pourrions passer la porte de fumerie de haschisch pour découvrir les meilleures herbes et les haschischs les plus rares introduits par un docteur ès fumettes.
"Ne rêve pas trop".
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"Les vies se croisent, les destins se séparent, les affinités d'un moment disparaissent comme se gravent les souvenirs dans mon coeur."
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Conscient de cette vaste fumisterie qui consistait à nous promettre une belle vie, mais toujours après des efforts interminables, j'avais donc décidé de commencer mon existence en prenant ma retraite.
L'idée était loin d'être sotte. Ne sachant pas de quoi l'avenir était fait (imaginez que je meure demain écrasé par une voiture, j'aurais été bien idiot de ne jamais avoir tiré sur un shilom d'afghan), autant profiter un maximum du présent et des années merveilleuses où mon cœur et mon corps me laissaient libre de tous les excès.
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La vie est dure, la vie est belle. On y souffre, on y baise, on s'y oublie, on s'y perd.
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