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Infinity 8 tome 1 sur 8
EAN : 9782369812579
96 pages
Rue de Sèvres (25/01/2017)
3.03/5   19 notes
Résumé :
Croisière intergalactique de L'infinity 8, jour 15. Le vaisseau est bloqué par un gigantesque amas d'artéfacts, de bouts de planètes et de sépultures. L'infinity 8 est-il condamné à finir sa carrière englouti dans ce répugnant mausolée géant? Le sort de 88 000 passagers de 257 races différentes est en jeu... Les meilleurs agents du spacio-paquebot ont intérêt à se surpasser pour le sortir de ce pétrin. L'agente Yoko Keren, plus préoccupée de trouver un géniteur idéa... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (10) Voir plus Ajouter une critique
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J'ai emprunté le 1er fascicule de cet "infinity 8" à la bibliothèque en voyant le nom de Trondheim. En général, je trouve ces b.d plaisantes même si elles ne sont pas inoubliables. Je trouvais également le concept intrigant.

Et bien j'ai trouvé ça totalement naze.
Le scénario (quel scénario ?) ne raconte rien. L'histoire (quelle histoire ?) est confuse, les enjeux (quels enjeux ?) sont inexistants, les personnages (quels personnages ?) sont fadasses. Tout ça est très fouillis mais sans avoir un côté bordélique sympathique, "infinity 8" est juste brouillon et bâclé.
Il n'y a rien de pire qu'une comédie pas drôle. Et bien, je n'ai pas ri, ni même souri une seule fois. Les dialogues tombent à plat et l'humour est assez lourd, voire beauf.
Je n'ai pas non plus été emballée par le dessin. Sans être laid, il ne dégage aucun charme, aucune personnalité.

Je me suis tellement ennuyée à la lecture de ce 1er fascicule (seulement 36 pages pourtant !) que je ne vais pas perdre mon temps à lire les suivants, je m'arrête là.

Challenge B.D 2017
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Je n'avais jamais vraiment prêté attention à cette série à la bibliothèque, mais cette fois-ci, j'ai jeté un regard un peu plus attentif parce que je cherchais quelque chose pour mon gamin. Et j'avoue avoir été surpris par les noms des auteurs sur la couverture : Trondheim et Zep ??? Des auteurs que je n'imaginais pas du tout s'attaquer au format des comics américains. Lewis Trondheim avec sa série Ralph Azham est un plaisir de lecture que je partage avec mon gars. Autres surprises, d'abord seul Lewis Trondheim participe à tous les album, le dessinateur et le second scénariste changent à chaque tome, et l'histoire se passe à chaque fois en huit heures, les huit mêmes heures dans chaque volume car le capitaine du vaisseau spatial à le pouvoir de faire huit reboots d'affilée, donc toutes les histoires se passent en même temps dans une continuité temporelle différente. J'adore ce genre de concept, ce genre de délire de geek, un régal pour le fan de pulp SF que je suis. L'humour de Lewis Trondheim par dessus, c'est du pur bonheur.
Dans cette première partie, le vaisseau spatial transportant presque 1 million d'individus de 257 races se trouve bloqué sur sa route par un mausolée errant dans l'espace, un cimetière de la taille d'un système solaire, rempli de cadavres, de tombes de toutes les espèces de la galaxie. L'agent Yoko Keren va devoir sortir dans l'espace pour découvrir la raison de la présence de ce cimetière spatial. Mais une race nécrophage va venir semer la pagaille dans cette mission.
La mise en page est dans l'esprit des comics américains, le graphisme n'est pas toujours très travaillé, parfois un peu brouillon, mais certaines illustrations grandioses en pleine page viennent apporter du lyrisme rococo à l'aventure, dans l'esprit d'un Druillet. Ce premier tome est très gore, mais cet aspect est traité avec humour, parodie, j'y ai d'ailleurs retrouvé un peu de l'humour de la série Ralph Azham, qui oscille avec brio du plus trivial au plus fin. Les personnages sont tous bien trouvé. J'ai vraiment envie de continuer dans cette série, c'est du bon délire de pulp SF.
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http://dcafeine.blogspot.be/2017/06/infinity-8-t1-et-t2-trondheim-et-des.html

Dans le tréfonds d'une galaxy lointaine navigue le vaisseau de classe-A : l'Infinity-8. Sa destination ? la Galaxy d'Andromède. Sa cargaison ? pas moins de 900.000 passagers de toutes races parti faire bronzette les doigts de pieds bien écartés s.v.p.

C'est a son bord qu'officie la jeune et jolie Yoko Keren, agent de police qui porte fièrement le lycra comme une seconde peau et qui est en charge de faire respecter l'ordre d'une poigne de fer ... mais à sa manière; D'autant plus qu'elle à sur ces fesses le lubrique le lieutenant Reffo et le capitaine du vaisseau à la forme tentaculaire et qui a l'habilitée de pouvoir rebooter jusqu'à 8x un moments afin de faire une boucle dans le temps et d'éviter certains désagrément :)

Mais une situation d'urgence vient de survenir : le vaisseau vient de faire un arrêt inattendu suite à l'encontre d'un amas d'artefact d'origine inconnue façon gros dépotoir, surtout qu'il est rempli de vestige symbolisant la mort sous toute ces formes; que ce soit des morceaux de villes, des débris , ou autres.

L'agent Keren va devoir investiguer et s'assurer qu'aucun danger n'y est caché ... mais c'est sans compter certains passagers Kornalien, qui non content d'être de sacré nécrophage, sentent cette bonne odeur de mort les appeler.

Sexy, fun , décomplexé, ... voilà un sympathique Space Opera qui aura le mérite de vous mettre l'eau à la bouche avec ce premier épisode d'un cycle comportant pas moins de 8 numéros; Proposé aux éditions "Rue de Sèvres" , ce projet à pour origine le duo Olivier Vatine et Lewis Trondheim.

Alors je freine un peu tout de suite avant de continuer cette critique, mais celle-ci ne porte que sur les deux premiers cycles, je n'ai point eu entre mes fraîches mimines les deux derniers épisodes;

Alors, c'est bien ?

Chaque cycles ou épisodes de cette série est l'opportunité de vivre une nouvelle aventure mais sous un tout autre angle car un simple élément, l'effet papillon, va donner une toute nouvelle direction. La preuve en est le deuxième épisode ou l'agent doit mené l'enquête mais elle est surtout en train de tombé sous le charme de se jeune mouvement qui à le vent en poupe et portant fièrement la croix gammée.

Encadré par une charte graphique crée par deux main gantés (et clouté), j'ai nommé Olivier Vatine et Lew Trondheim, chaque récit est tenue par un graphiste différent offrant au lecteur l'avantage de retrouver facilement notre équilibre et nous offrir une cohérence et continuité entre chaque cycle temporels (oui je sais une continuité quand on parle de reboot ça fait très euclidien).

Scénaristique-ment les deux premières histoires sont très originales et complètement différentes. Des dialogue qui mon mouche à chaque crochet de page (mouche ... crochet ... non ?) et le graphisme, étant confié à un auteur de talent différent, est simple et sans chichi (c'est pas du Goya non plus hein) vous fera une lie qui donnera un moment d'évasion à nos chères esprits; d'autant que les dialogues sont amusants, frivole et même parfois sérieux.

L'on passe donc un très bon moment de lecture; à cela vous rajoutez une jolie couverture et je pense que cette série aura du succès si elle est diffusée correctement chez tous nos libraires.

Les deux premiers épisodes sont disponibles façon cartonnée , genre bd classique ou également en format comics très très sympathique.

Sauront-ils s'échapper de ce mystérieux amas d'artefacts morbide ? Huit aventures, Huit possibilités ... à vous de choisir la votre
Lien : http://dcafeine.blogspot.be/..
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Gueuleton royal dans la galaxie.

L'infinity 8 n'est pas un vaisseau spatial comme les autres.
C'est une arche de Noé, dans laquelle pas loin d'un million d'êtres sont entassés. Des humains biens sûr, minoritaires en comparaison de tout un tas de formes des vies extra-terrestres.

Et parmi elles, des Kornaliens. Gentils mais... nécrophages.
Rien de bien méchant en soi, mais lorsqu'ils dévorent des cadavres, ils commencent à devenir royalement dingues.
Alors, lorsque le vaisseau est stoppé par tout un tas de reliques morbides, çà va rapidement être l'hystérie dans l'espace.

L'agent Yoko Keren se sentira bien seule, pour calmer tout ce petit monde, qui va vite décider que leur vaisseau était un cercueil en puissance, de quoi se régaler...

C'est du Trondheim, donc c'est un brin déjanté.
Le scénario fait un petit peu sourire, sans plus, et les dessins sont corrects, sans plus aussi.
Á lire une fois par curiosité mais on s'attendait à mieux.
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http://dcafeine.blogspot.be/2017/06/infinity-8-t1-et-t2-trondheim-et-des.html

Dans le tréfonds d'une galaxy lointaine navigue le vaisseau de classe-A : l'Infinity-8. Sa destination ? la Galaxy d'Andromède. Sa cargaison ? pas moins de 900.000 passagers de toutes races parti faire bronzette les doigts de pieds bien écartés s.v.p.

C'est a son bord qu'officie la jeune et jolie Yoko Keren, agent de police qui porte fièrement le lycra comme une seconde peau et qui est en charge de faire respecter l'ordre d'une poigne de fer ... mais à sa manière; D'autant plus qu'elle à sur ces fesses le lubrique le lieutenant Reffo et le capitaine du vaisseau à la forme tentaculaire et qui a l'habilitée de pouvoir rebooter jusqu'à 8x un moments afin de faire une boucle dans le temps et d'éviter certains désagrément :)

Mais une situation d'urgence vient de survenir : le vaisseau vient de faire un arrêt inattendu suite à l'encontre d'un amas d'artefact d'origine inconnue façon gros dépotoir, surtout qu'il est rempli de vestige symbolisant la mort sous toute ces formes; que ce soit des morceaux de villes, des débris , ou autres.

L'agent Keren va devoir investiguer et s'assurer qu'aucun danger n'y est caché ... mais c'est sans compter certains passagers Kornalien, qui non content d'être de sacré nécrophage, sentent cette bonne odeur de mort les appeler.

Sexy, fun , décomplexé, ... voilà un sympathique Space Opera qui aura le mérite de vous mettre l'eau à la bouche avec ce premier épisode d'un cycle comportant pas moins de 8 numéros; Proposé aux éditions "Rue de Sèvres" , ce projet à pour origine le duo Olivier Vatine et Lewis Trondheim.

Alors je freine un peu tout de suite avant de continuer cette critique, mais celle-ci ne porte que sur les deux premiers cycles, je n'ai point eu entre mes fraîches mimines les deux derniers épisodes;

Alors, c'est bien ?

Chaque cycles ou épisodes de cette série est l'opportunité de vivre une nouvelle aventure mais sous un tout autre angle car un simple élément, l'effet papillon, va donner une toute nouvelle direction. La preuve en est le deuxième épisode ou l'agent doit mené l'enquête mais elle est surtout en train de tombé sous le charme de se jeune mouvement qui à le vent en poupe et portant fièrement la croix gammée.

Encadré par une charte graphique crée par deux main gantés (et clouté), j'ai nommé Olivier Vatine et Lew Trondheim, chaque récit est tenue par un graphiste différent offrant au lecteur l'avantage de retrouver facilement notre équilibre et nous offrir une cohérence et continuité entre chaque cycle temporels (oui je sais une continuité quand on parle de reboot ça fait très euclidien).

Scénaristique-ment les deux premières histoires sont très originales et complètement différentes. Des dialogue qui mon mouche à chaque crochet de page (mouche ... crochet ... non ?) et le graphisme, étant confié à un auteur de talent différent, est simple et sans chichi (c'est pas du Goya non plus hein) vous fera une lie qui donnera un moment d'évasion à nos chères esprits; d'autant que les dialogues sont amusants, frivole et même parfois sérieux.

L'on passe donc un très bon moment de lecture; à cela vous rajoutez une jolie couverture et je pense que cette série aura du succès si elle est diffusée correctement chez tous nos libraires.

Les deux premiers épisodes sont disponibles façon cartonnée , genre bd classique ou également en format comics très très sympathique.

Sauront-ils s'échapper de ce mystérieux amas d'artefacts morbide ? Huit aventures, Huit possibilités ... à vous de choisir la votre
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critiques presse (1)
BoDoi
27 janvier 2017
Le premier tome, co-écrit par Zep et dessiné avec fougue par Dominique Bertail, donne le ton, en faisant la part belle à l’action et à l’humour, dans une sorte de romance hollywoodienne pleine de tentacules, à la fois tendre et tordante.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Citations et extraits (1) Ajouter une citation
- vous pouvez arrêter avec ce sourire idiot ?
- je ne puis maîtriser ma joie.
- la joie d’avoir bouffé du cadavre... bravo...
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